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Cdte. BlackWolf
Respect diplomatique : 375 25/09/1016 ETU 17:51 |
Score : 5
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Dans la matinée, alors que ce cycle ne semblait guère différent de tout les autres, l'opération "Punition Divine" avait été lancé. Elle avait été un franc succès même si les objectifs secondaires n'avaient pas été totalement remplit, le résultat était là ! Quarante-trois chasseurs légers et Cinquante-trois frégates corsaires avaient été neutraliser, handicapant l'infame imposteur : Saint Jean-Batiste. Une base des Silver Wolfs avait même été reconquit. Cerise sur le gâteau, l'un des hommes de ce soit disant prêcheur de la paix, qui devait sûrement être en charge de l'administration de la Base dérobé, avait été capturé et acheminé vers la Mother Base des Silver Wolfs pour un interrogatoire. Leurs attaques ne seront sûrement pas les dernières et donc, pour prevenir cela, Black Wolf ordonna d'obtenir des informations de cet individu par n'importe quel moyen. Prison de haute sécurité batisé "High Cloud", situé en suspension à envions deux kilomètres du sol sur une planète top secrète. Dans une salle où se trouvait des instruments d'enregistrements, une vitre sur l'un des murs, une machine à café et des chaises, deux hommes assis, tout deux vêtu d'un costume noir au lieu de l'habituel treillis que porte les Silver Wolfs, parlaient : Tout est prêt, je vais y aller. Les directives sont simples, il doit parler et par n'importe quel moyen si il refuse. Il avait dit sa première phrase en montrant du menton la vitre qui donnait sur une petit pièce qui avait pour seul mobilier, une table et deux chaises. Les murs étaient d'un blanc éblouissant pour quelqu'un qui n'était pas habitué, ce qui nous aurrait presque fait manquer l'homme qui était solidement attaché à l'une des chaises. Le deuxième homme hocha la tête et mis un casque sur ses oreilles lorsque le premier homme partit pour rentrer dans la pièce qui, à bien y réflechir, ressemblait très fortement à une salle d'interrogatoire. Quand il entra, l'homme attaché ne le lâcha pas des yeux tandis qu'il s'approchait de l'autre chaise vacante et, avant de s'asseoir, qu'il la retournait pour avoir le dossier vers la table. D'un ton grave et sincère, il lui dit : Écoute bonhomme, je suis de ton côté moi mais je ne vais pas pouvoir t'aider longtemps donc met toi à table et dit nous toutes les informations que tu pourras sur les plans de "Saint Jean-Batiste". Cela nous permettra de sauver beaucoup de vies car lors de vos attaques, seul nos colons et civils ont été touché. Cautionnerais-tu des actes terroristes ? Les attaques mené n'était ni plus, ni moins que des attaques faites par des fanatiques, tuant au nom d'un Dieu qui se dit "d'amour". Montre moi que tu n'est pas comme eux. Ces derniers mots prononcé, la pièce resta silencieuse. L'homme en costume attendait à présent la réponse du sbire de Jean-Batiste.
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Cdt. Saint Jean-Baptiste
Respect diplomatique : 373 26/09/1016 ETU 18:28 |
Score : 6
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Le sbire essayait par tout les moyens de garder son calme, il se rappela les ordres prononcés avant les attaques : "Si vous donnez une seule goutte d'information à l'ennemi, c'est l'excommunication, et vous savez ce qu'il arrive au excommuniés". Le sous fifre resta silencieux de longues secondes. Après 39 d'entre elles Il dit doucement : Jamais... Jamais je ne vous donnerai d'information, je le jure sur ma foi ! Mon père me sauvera des griffes de païens comme vous.... Euh non Saint Jean-Baptiste voulait qu'on hurle quand on prie ou quand on parle a des hérétiques. JAMAIS... Euuh JAMAIS je ne vous donnerai d'information, je le jure sur ma foi ! Il arreta de parler, il suait à grandes gouttes, la pression que le regard de son interrogateur et ce qu'il pourrait subir après une telle déclaration faisait battre son coeur à une vitesse phénoménale.
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Cdte. BlackWolf
Respect diplomatique : 375 26/09/1016 ETU 19:48 |
Score : 4
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L'interrogateur parut déçu. Comme tu voudras... Il sortit calmement de la pièce afin de retourner avec son collègue, s'assit à côté de lui et dit d'un ton usé : Fais le entrer, je suis sûr qu'il sera plus causant après être resté quelque temps, seul, avec lui. Ça prendra le temps qu'il faudra mais il craquera. Son collègue acquiesa une nouvelle fois ses propos et avant qu'il appuit sur un bouton rouge à proximité de lui, ils mirent tout deux des casques anti-bruit. Dans la salle d'interrogatoire, une trappe se trouvant à droite du prisonnier et qui se fondait parfaitement au mur, s'ouvrit. Une unité Clap Trap(http://tinyurl.com/hcgyl62) atterit dans la salle dans un fracas métalique. Elle mit quelques secondes à se réactiver et, subitement, elle se mit sur sa roue en poussant un grand cri de victoire avec la voix la plus agaçante de l'univers. En se relevant, elle avait tourné le dos à l'homme qui était attaché. Ah ! Bah ça alors ! On m'avait dit que j'aurrai un copain pour jouer si je prenai ce drôle de toboggan... Il se retourna et tout joyeux en le voyant, il dit : Ah te voilà ! Moi je m'appel EN3RVATOR 666, et toi ? Sans même attendre sa réponse, il s'avança vers lui et s'arrêta à quelques centimètres de sa chaise. Je suis sûr qu'on va être les MEILLEURS AMIS du monde, allez tape m'en cin...deux je veux dire ! Il resta quelques instants la main en l'air, dans un silence gênant. Ah oui, c'est vrai, tu es attaché ! Il baissa sa main et enchaina, comme si il n'entendait pas ce que pouvait dire le pauvre homme. Tu es pas très causant mais c'est pas grave, je t'aime bien quand même ! Et pour te le prouver, je vais te chanter une chanson : Le robot chanta encore et encore la chanson. À chaque fois qu'elle semblait se finir, il la reprenait du début comme si cette boucle infernale ne finissait jamais.
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Cdt. Saint Jean-Baptiste
Respect diplomatique : 373 27/09/1016 ETU 18:37 |
Score : 3
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Le sbire fut surpris de voir tomber dans la salle un claptrap, il le regardait gigoter et dire des âneries, il fut un peu attendrit et dit : Ah, un claptrap, ça faisait longtemps, je me souviens il y en avait quelques un quand je travaillais sur Pando AAAAAAAAAAAAAHHHHHHH. Nooooon arrêtes robot, si tu veux qu'on soit amis, arrêtes ce son ignoble je t'en prie ! Le sbire ne changea pas d'avis, il était confiant et tenta de resister à la torture auditive, mais plus les boucles d'enchainaient, plus il se sentait perdu, il fit une introspection sur son existence et sur ce qu'il le mena a finir enchainé sur une chaise a écouter une telle musique en boucle. Après quelques heures, il brisa le silence : D'accords monsieur le païens, je vais parler mais d'abords arretez ce bruit insuportable, je n'en peux plus, Dieu me pardonnera mon péché.
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Cdte. BlackWolf
Respect diplomatique : 375 27/09/1016 ETU 21:34 |
Score : 3
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Aaaah les ClapTraps, rien de mieux pour délier les langues ! C'est se qu'avait pensé notre protagoniste lorsqu'il avait vu, au bout de quelques minutes, le visage de leur pauvre victime se tordre...de douleur peut-être ? En tout cas, le cri qu'il avait du pousser, si il se fier à l'expression de son visage, aurrait ravi et même impressioné Saint Jean-Batiste lui même ! Les heures passaient et il était déjà resté plus longtemps que ne le devrait n'importe quel être vivant à proximité d'un ClapTrap. Enfin, faut dire que les liens l'aidaient beaucoup ! Lorsqu'il sembla enfin jeter l'éponge, l'homme donna un petit coup de coude à son collègue et il lui fit signe de retirer son casque anti-bruit. Malgré la vitre, le son parvenait quand même jusqu'à leurs oreilles. Bien sûr, il était faible mais même à cette sonorité, ça leur tapait déjà sur le système. Fait le disparaitre,TOUT DE SUITE ! Le deuxième interrogateur ne fut jamais aussi heureux d'exécuter un ordre ! Il frappa du poing un bouton. Dans la pièce, il eu soudainement un bruit métallique et le ClapTrap cessa de chanter. Tiens, qu'est-ce qui se PAAAASSSSSE.... Sur le plafond, un carré s'était ouvert et une sorte d'aspirateur en sortit et il aspira le ClapTrap qui disparut dans un cri aigu. L'homme entra une nouvelle fois dans la pièce et s'écria, sur un ton de plaisenterie : Nan, mais sérieusement ?! Même quand il disparait, il est énnervant ! Il eu un court silence le temps que l'investigateur aille s'asseoir. Bon, tu vas parler maintenant, n'est-ce pas ? Commençons par le commencement : Je m'appelle River, Daniel River. Et toi ?
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Cdt. Saint Jean-Baptiste
Respect diplomatique : 373 28/09/1016 ETU 18:39 |
Score : 1
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Le sbire se remit de ses émotions, une terrible torture comme celle ci lui laisserait des séquelles sans doute. Après avoir entendu la question du païen il répondit : Euh, je m'appelle Paul MMMMCMXCIX, quand on entre dans l'armée on nous donne le nom Paul et un numéro romain. Mon vrai nom c'est euuh, Dieudonné Novelo.
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Cdte. BlackWolf
Respect diplomatique : 375 28/09/1016 ETU 19:02 |
Score : 2
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Daniel sourit. Bien, à présent que les présentations sont faites, passons aux choses sérieuses. Il dit d'un ton inquisiteur : Je veux toutes les informations que tu pourras me donner sur ce Jean-Batiste, c'est à dire : -Ces futures plans tel que des attaques ou autre. -Vos planètes sont elles bien défendu. Si oui, il me faudrait une estimation. -De combiens disposez-vous de vaisseaux. -Quel est votre avancement technologique. Et quand je dis "je veux", c'est tout de suite car si tu veux, j'ai plein d'autres "copains" comme En3rvator 666 et je suis sûr qu'ils seraient tous ravi de venir te voir et en même temps.
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Cdt. Saint Jean-Baptiste
Respect diplomatique : 373 29/09/1016 ETU 19:39 |
Message édité -
Score : 0
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Ah non pas plus de ça je vous en supplie. Euh je ne suis que de la chair a canon moi monsieur, je ne sais pas grand chose, euh, pour la protection, Saint Jean-Baptiste dit tout le temps que DIEU NOUS PROTÈGE GRÂCE A LA FOI QUE NOUS LUI ACCORDONS. Et pour les attaques il prévoit de CONVERTIR TOUT SES HÉRÉTIQUES EN DISTRIBUANT DES PAINS. Euh je sais pas le nombre de vaisseau mais mon chiffre devrait vous aider peut être et puis euuh, bah pour la science, euh il disais quoi déjà ? Euuh, LA SEULE VRAIE SCIENCE C'EST LES ENSEIGNEMENTS DE DIEU, j'ai pas compris pourquoi mais je le crois. Il avait parlé d'un grand projet mais personne ne sait rien... Pardonnez moi mon père, Pardonnez moi mon père, Pardonnez moi mon père, Pardonnez moi mon père...
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Cdte. BlackWolf
Respect diplomatique : 375 30/09/1016 ETU 18:00 |
Score : 2
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Il poussa un soupir, il savait qu'il n'en tirait rien de plus. Très bien, tu vas être conduis dans ta cellule alors. Il se leva et juste avant de sortir. Ah et pour info, je pense pas que t'en resorte un jour. Alors vas y, demande à ton Dieu de t'aider. Quoi, il peut pas ? Dommage ! Il disparut dans un rire qui faisait presque froid dans le dos et la salle qui était blanche et éclairé devint soudainement noire et sombre. S'ensuivit un crissement métallique et la pièce s'enfonça à grande vitesse vers le bas. Elle chuta pendant une dizaine de minutes et ralentit enfin dans un nouveau crissement mais celui-là était assourdisant. La voix d'une femme retentit de hauts-parleurs invisible : Bonjour prisonier 2814, vous êtes arrivé à votre destination finale. Ah et j'oubliais : Bienvenu en Enfer ! Elle rit d'un rire sadique et la pièce redevint silencieuse laisant le sbire seul dans le noir ténébreux de sa cellule, situé dans la prison la plus sécurisé des Silver Wolfs, là où personne ne sort et sombre dans l'oubli.
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Cdte. BlackWolf
Respect diplomatique : 375 30/09/1016 ETU 18:43 |
Score : 3
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La phase deux de l'opération "Punition Divine" avait été lançé avec succès durant la nuit et Black Wolf l'avait conduit elle même à bords de son vaisseau amiral batisé "Ça va faire mal". Orbite planète anciennement appelé "CATHEDRALE DE NOTRE DAME", Centre de contrôle du "Ça va faire mal". Black wolf arborait un sourire malicieux et elle semblait plutôt entousiaste. Un des hommes aux commandes lui parla : Nous sommes arrivé Boss, qu'est ce qu'on fait ? C'est donc ici qu'il se terre ? En disant cela, elle pianota sur des commandes et soudainement, cette musique retentit : Alors les gars, on vous a jamais apprit la politesse ? Il faut frapper avant d'entrer ! Elle continua de pianoter sur des boutons et les canons du vaisseau se mirent à rugir. Tadatatata ta datatata ta datatata ta datatata, yes j'adore ! J'adore ! Allez, il n'y a pas de raison qu'il n'y ait que moins qui m'amuse ! Elle arrêta de pianoter mais elle resta appuyé sur un dernier bouton et elle dit d'une voix solennelle : Mes amis... Perdant son ton solennelle. ...j'offre un verre à celui qui envoit le plus de ces imbéciles au près de leur Dieu ! Allez tous à vos vaisseaux ! Elle lâcha le bouton et la jeune femme alla à une des vitres pour admirer le spectacle de la planète, fumante, envahit par un essain de vaisseaux. Elle semblait ne s'être jamais autant amusé. Quelques heures après, la planète était tombé sous la puissance des Silver Wolfs portant un très lourd coup à Jean-Batiste. Serait-ce la fin pour lui ?
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