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Cdt. L'ours
Respect diplomatique : 446 ![]() 05/11/1016 ETU 23:58 ![]() ![]() |
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[ RP privé réservé aux membres du secteur 2. Tous les membres du secteur 2 sont par contre les bienvenus a se joindre sur ce rp si ils le souhaitent] Even if a samurai’s head were to be suddenly cut off, he should still be able to perform one more action with certainty. If one becomes like a revengful ghost and shows great determination, though his head is cut off, he should not die. Cale du vaisseau cargo XT-266-YH. Zone de chargement. Dans la zone de chargement peu éclairée du vaisseau, l’ours se récite mentalement les mantras qu’on lui a appris depuis sa naissance. Voila, on y est. Personne ne parle. Quelques regards s’échangent, admiratifs, déterminés. Mais aucune crainte qui ne transpire. Il n’y a ici que des guerriers d’expérience. Qu’y a-t-il à dire vraiment de toute façon ? L’instant est personnel, solennel. D’autres ours autour de lui sont en train de l’aider à enfiler son armure de combat. C’est une énorme armure en titane au blindage amélioré recouvrant l’entièreté de son corps et agrémenté de quelques armes diverses. L’armure pèse une tonne mais rien que des ours solides et entraînés ne peuvent supporter. On leur accroche une ceinture permettant de tenir le fourreau de leur sabre via une mini boucle gravitationnelle et de ranger un pistolaser de l’autre côté. L’ours sort le sabre de son fourreau et réalise quelques passes d’armes contre lui-même. Il fends l’air de quelques coups horizontal avant de finir par un grand vertical. Autour de leur chef, une cinquantaine d’autres ours sont en train d’être équipés de la même manière. Ce sont les guerriers d’élite de la civilisation Ideogi, force spéciale spécialisée dans les situations particulièrement dangereuses, violentes et également dans les assassinats politiques. Enfin bon… il n’est pas question aujourd’hui de faire dans la dentelle… Une lumière rouge clignotante s’active dans la zone, signe qu’ils arrivent a destination. Une fois l’armure bien fixée, on continue les préparations en installant un jet pack sur le dos de chacun. La lumière rouge change alors pour une verte et la porte de la zone de chargement commence à s’incliner à la manière d’un pont-levis, de bas en haut. Tandis que la rampe de chargement s’abaisse petit à petit et que la lumière du jour se met à envahir la pièce, on place sur la tête de l’ours son casque de combat. Un bruit sourd retentit alors dans le vaisseau qui tremble un peu mais tient bon. L’ours en profite pour observer un instant l’horizon qui se dévoile devant lui. A l’intérieur du casque, différentes données défilent concernant tout ce qu’il a besoin de savoir pour mener a bien sa mission, composition du lieu, météorologie, présence avéré d’ennemis, chances de réussite de la mission… La rampe est désormais totalement abaissée. L’ours et ses hommes s’avance un peu plus sur celle-ci et contemplent ce qu’il y a au dessous d’eux. Une ville immense. Au dessus de celle-ci une bataille. Leur bataille. La dernière probablement. Les corvettes ont fait leur travail, réussissant tant bien que mal a dégager autant que possible l’espace aérien pour donner une chance au cargo d’arriver jusqu’ici. Les dernières corvettes sont en train de se sacrifier pour que le cargo ne soit pas plus touché. C’est bon... Ils ont la cible en visuel. En même temps, comment la rater ? C’est la plus haute tour de toute la mégalopole. Impossible de ne pas bien viser, a son sommet trône une gigantesque piste d’atterrissage flanquée non pas d’un H mais d’un énorme GS jaune. La Goldman Tower. Un nouveau tir touche le vaisseau. Ils sont déjà trop près de la zone de sécurité interdite autour de l’imposant centre du pouvoir de la goldman suck’s. Leur destination finale. Ils sont prêts. L’ours prends une grande inspiration... puis il se lance en premier, immédiatement imité par tous les soldats d’élite. Leurs pattes martèlent l’acier du sol tandis qu’ils courent le long de la rampe. Puis s’élancent dans le vide.
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Cdt. L'ours
Respect diplomatique : 446 ![]() 06/11/1016 ETU 00:12 ![]() ![]() |
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Score : 3
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La chute libre est compliquée. Tout va très vite. Les ours utilisent leurs jet packs pour donner de petites propulsions de gauche a droite afin d’éviter les tirs de canons qui arrivent dans leur direction. L’ours a peine le temps d’en esquiver un premier qu’un deuxième arrive déjà droit sur lui. Nouvelle impulsion et le tir passe juste a côté. La force du souffle engendrée l’envoie tout de même valdinguer dans les airs. Il peine à se stabiliser. Merde. Il va rater la piste d’atterrissage, la dépasse. C’est là que le jet pack entre vraiment en scène. Stabilisation effectuée il met les pleins gaz vers le haut et remonte les derniers étages de la tour avant d’atterrir sur la plate-forme. D’autres ours ont déjà posés le pied dessus et commencés a engager les ennemis qui sortent en nombre par la porte d’accès donnant sur le toit. Un peu moins d’une dizaine d’ours n’ont déjà pas pu rejoindre le toit. L’ours sort à son tour son pistolaser et se met à tirer dans le tas. L’attaque est soudaine et les armures trop efficaces. Les ours balayent les gardes armées et foncent vers la porte. Ils s’engouffrent alors dans la tour.
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Cdt. Waren Stark
Respect diplomatique : 102 ![]() 06/11/1016 ETU 00:42 |
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Le centre du pouvoir de la Goldman est attaqué par ce qu'il reste des forces de l'empire du commandant L'Ours. C'est une attaque désespérée, les maigres corvettes se font pulvériser par les lourdes défenses de la planète. Pire, la flotte Starkienne vient d'arriver sur place afin d'anéantir définitivement l'envahisseur. Les freggers ne font aucune pitié, devant ces imposants monstres de métal, n'importe qui aurait fuis, pourtant la flotte étrangère poursuit son attaque, sans aucune chance de victoire, mais comme animée pas un autre objectif... Waren Stark est dans son bureau entouré de tout l'état major, ne craignant rien derrière les bouclés déflecteurs de la Goldman Tower. Alors que ses généraux rient devant le carnage que leurs vaisseaux font, Stark lui reste impassible et regarde la bataille qui a lieu plus haut, à travers les vitres de son bureau. Soudain une explosion fait accélérer la décente d'un vaisseau de débarquement. *Nul doute, la bête est sortie de sa tanière et elle se lance dans sa dernière bataille* pensa t'il. Les généraux comprennent à leur tour, un peu tard ce que contient ce cargo qui vient d'être sévèrement touché. -Monsieur il faut vous mettre immédiatement à l'abris! Un commando vient de poser pied en bas de la tour! Stark se retourne et les regarde avec un regard glacial. -Vous vous préparez à repousser ces individus. -Mais monsieur?! -J'ai dit! Vous vous préparez à recevoir l'ennemi comme il se doit! Les samouraïs viennent de poser pieds au sol...
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Cdt. Abalam.
Respect diplomatique : 107 ![]() 06/11/1016 ETU 03:37 |
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Dans le hall principal de l'imposante Goldman Tower, une ravissante hôtesse se tient derrière un comptoir marmoréen et discute avec le garde en service. "William, tu peux aller livrer ce colis à l'adresse indiqué sur le paquet ?" "Encore des fleurs ?" Le garde prit le paquet et entreprit d'inspecter l'étiquette. Il finit par sourire, un air presque triomphant sur le visage, et fit mine de chuchoter : "Garde le pour toi, mais c'est déjà la 3ème fois cette semaine, même adresse. Je me demande bien pour qui c'est ..." "Dis, si ça se trouve, Mr Stark, c'est un grand romantique. Il me fait penser à un type d'une histoire d'amour que j'ai lu y'a pas longtemps ..." "Ah parce que tu lis des bouquins toi ?" "Tss... C'était un connu, tout le monde l'a lu... Mais je ne me souviens plus..." "Hum, ouais, mais tu sais à qui sont destiné tous ces bouquets toi ou pas ?" "Hum, je ne suis pas sur, mais on raconte des trucs, par ci par la ... Et moi je pense que c'est Ath..." Mais notre amie colporteuse n'eu pas le temps de finir sa phrase, car elle fut coupée par un autre gardien qui venait d'apparaître. "Salut la compagnie !" Les trois échangèrent des politesses puis les deux chargés de la sécurité partirent en patrouille. Resté seule, la jeune femme sorti une sorte de téléphone qu'elle brancha sur son PC. Quelques manipulations plus tard, elle rangea l'objet de son méfait, juste au moment où les portes du hall s'ouvrirent.
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Cdt. L'ours
Respect diplomatique : 446 ![]() 09/11/1016 ETU 10:50 ![]() ![]() |
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L’ours et son escouade avaient réussis à progresser un peu dans la Goldman Tower, non sans mal… Les gardes de la tour étaient lourdement armés et se défendaient très bien. Les systèmes de défense de la tour piloté par l’IA leur posaient également de très nombreux problèmes. Mais les Ours étaient habités d’une détermination sans faille, prêts a mourir et refusant de reculer devant l’ennemi. Ils se jetaient corps et âmes dans la bataille, faisant fi des grenades et des tirs lasers qui avaient déjà fauchés tant de leurs compagnons. Menée par leur chef, la troupe d’ours féroces arpente les couloirs de la Goldman Tower, tuant quiconque se met en travers leur chemin, en se fiant aux plans que leurs espions avaient réussis à obtenir avant leur venue ici. Au détour d’un couloir, ils arrivent enfin devant une grande porte en métal renforcé qui affiche fièrement en son centre les initiales WS. L’entrée des quartiers personnels de Waren Stark… Mais le problème reste entier. Devant la porte se dresse un immense champ de force conçu par la sécurité de la tour. Champ de force infranchissable, même avec les armures si résistantes des ours. Quiconque s’y aventurerait ne trouverait que la mort. Un soldat, expert en démolition s’approche du champ de force et se met à l’observer, à l’analyser. Après quelques instants il se retourne vers L’ours et lui fait un non de la tête. Signifiant que rien de ce qu’ils avaient avec eux ne pourrait le faire exploser. Tandis que les autres membres de l’escouade sécurisent le couloir, scrutant attentivement chaque recoin pour vérifier qu’il n’y a aucun explosif caché, se mettant en position a chaque sortie du couloir d’où peut provenir des ennemis, détruisant les caméras présentes à divers endroits, un soldat s’approche de l’ours et lui demande : « Chef, qu’est ce qu’on fait ? Il faut qu’on se déplace. On rebrousse chemin et on cherche une des autres entrées ? » L’ours reste à fixer la grande porte devant lui, sans dire un mot. Après quelques secondes, il s’assoit a terre, en tailleur, puis retire son casque. Le soldat se fait plus pressant « Chef ? Qu’est ce qu’on fait ? - On attends… réponds l’ours d’une voix très calme. Puis dit à l’attention d’un de ses hommes Laisses une caméra en état de marche. Je veux qu’il sache qu’on se rapproche… » Devant la grande porte, l’ours et ses hommes semblent bloqués. Sans compter que des hommes de main de Stark ne devraient pas tarder a rappliquer. Mais L’ours reste assis, patiemment, à attendre quelque chose. Un signe du ciel peut être ?
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Cdt. Waren Stark
Respect diplomatique : 102 ![]() 09/11/1016 ETU 11:09 |
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Pendant ce temps quelques étages plus hauts... Le quartier général de Waren Stark a été bouclé. Sur les écran de contrôle on pouvait voir le déplacement d'hommes toujours plus nombreux se rapprochant inexorablement du petit groupe d'ours désormais cerné. L'un des généraux pris la parole. -Ahah ils sont fais comme des rats! Bande d'incapables! Monsieur puis-je donner l'ordre de lancer l'assaut? Il commençait a approcher l'holo-communicateur de sa bouche comme si finalement il n'attendait pas de réponse. Stark lui était debout les bras croisés dans le dos, fixant l'écran de surveillance montrant les intrus bloqués devant la porte... Il regardait intensément la scène et eu un sourire en coin lorsque L'Ours fixa la caméra comme en signe de défi. -Non... Coupez le champs de force et laissez les rentrer. Le Général bafouilla en entendant cette réponse pour laquelle il ne s'était pas préparé. -Mais...mais monsieur, nous les tenons... -Pour la dernière fois général, vous les laissez rentrer ou je vous envoie seul leur rendre visite. Le général déglutit et exécuta immédiatement, sachant pertinemment que Stark ne plaisantait pas. Waren alla se rassoire et se servir un verre à son bureau une fois le champs de force désactivé.
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Cdt. L'ours
Respect diplomatique : 446 ![]() 12/11/1016 ETU 12:29 ![]() ![]() |
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Assis en tailleur devant la grande porte, l’ours médite, les yeux fermés. Deux petites minutes s’écoulent a peine et soudain le champ de force entourant la porte s’éteint, désactivé a distance. La porte s’ouvre alors d’elle-même. Les ours s’affolent, se mettant a viser de tous les côtés. Ce n’est pas normal disent-ils. Est-ce un piège ? demande l’un d’entre eux. L’ours, lui, prends son temps pour se relever. Juste avant de replacer son casque sur la sa tête, il jette un regard appuyé en direction de la caméra. Cela ne lui dit rien qui vaille. Mais il est trop tard pour faire machine arrière. Les ours commencent alors leur avancée dans le quartier général de la tour réservé a Waren Stark. Très vite les premiers soldats arrivent et des combats s’engagent. Les tirs fusent et leurs ennemis deviennent de plus en plus féroces et entrainés, ce qui s’en ressent dans l’intensité des combats. Les hommes de Stark commencent véritablement à sortir leur arsenal de guerre. Puis, ce sont des droïdes de combat qui surgissent d’un couloir, certains portant des armes encore non répertoriées a ce jour dans les bases de données militaires. Des dossiers top secrets de la stark industry à n’en pas douter. Tuer un homme est assez facile si on a de quoi et si on sait où viser. Mais des robots, sans chair ni systèmes vitaux, c’est une autre paire de manches. Les ours se mettent alors a tirer des salves avant de bondir en rugissant, a l’assaut des droïdes. Ils entreprennent alors de les démembrer a mains nus, usant de leur seule force acquise par des années d’entraînement et des prédispositions naturels a la force physique. Mais ceux-ci ne se laissent pas faire évidemment. Alors que l’ours est aux prises avec un droïde, celui-ci lui tire deux tirs de blasters en plein dans le ventre. L’ours tombe en arrière, puis comme animé d’une rage intense re-saute immédiatement sur son adversaire, l’amenant au sol. Sa griffe saisit le visage du robot et lui fracasse violemment le crâne sur le sol, par deux fois. Il se relève alors et le saisit par les jambes avant de l’envoyer voler à travers l’une des grandes baies vitrées qui se trouve sur un côté du couloir, spectatrice muette d’un combat enragé. Le droïde s’envole a travers la vitre et part finir sa chute 35 étages plus bas, se disloquant en de nombreux morceaux. … Quelques minutes de lutte violente après, les ours ont enfin réussis a neutraliser tous les droïdes… Mais lorsque L’ours se retourne pour voir comment vont ses hommes, il réalise alors qu’ils ne sont déjà plus qu’une douzaine et que bon nombre d’entre eux gisent morts sur le sol. Est-ce que ça suffira ? Se demande-t-il alors intérieurement. La place n’est plus au doute, il faut continuer. Ils pressent alors le pas, fonçant dans les dédales de couloirs qui composent la tour, en direction du bureau de Stark. Ils passent le coin d’un long couloir quand soudain…
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Cdt. L'ours
Respect diplomatique : 446 ![]() 07/12/1016 ETU 10:14 ![]() ![]() |
Score : 6
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Un sacrément long couloir même... piégé dans une faille spatio-temporelle de surcroit, imaginez la galère... Heureusement, les ours allaient enfin pouvoir en sortir...
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Cdt. L'ours
Respect diplomatique : 446 ![]() 07/12/1016 ETU 11:14 ![]() ![]() |
Score : 6
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Ils sortent du couloir et enfoncent une porte, l’ours a leur tête. Une vaste pièce très lumineuse. Il n’y a pas grand-chose, ni grand monde. Vers le fond de la pièce un bureau, devant une immense baie vitrée qui donne a voir l’horizon. Seule une silhouette se tient derrière le bureau, debout. L’ours a déjà l’arme tendue dans sa direction. Son œil le reconnaît immédiatement. Transmets l’information au cerveau. Feu. La balle l’atteint en pleine tête, lui arrachant une partie du visage mais il reste debout. Quelque chose cloche. L’ours s’approche du bureau et une fois arrivé à son niveau remarque qu’il ne s’agit pas de celui qu’il pensait avoir tuer. C’est une réplique en carton, grandeur nature, à l’effigie de Waren Stark. L’ours inspecte le bureau et voit un papier plié en deux devant l’ordinateur. Il s’en saisit et l’ouvre. Sur la feuille, ne sont écrits que les trois syllabes : « AH…AH…AH... » Il comprend aussitôt. Mais trop tard. Il crie à ses hommes de se barrer et commence a faire de même en direction de la baie vitrée. Mais avant qu’il ne l’atteigne… Boum. L’explosion part de sous le bureau pour se propager dans toutes les directions, projetant l’ours à travers l’immense fenêtre, dans le vide… Son armure lui sauve la vie. Mais la chute va l’achever. Plus de 150 étages en chute libre. C’est raide. Il tombe. Il est désorienté. Il tombe. Le jetpack. Mais oui, le jetpack ! Il appuie… il appuie mais rien ne se passe, probablement trop endommagé par l’explosion. « Marches putain… » Il tombe… C’est long.
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Cdt. Abalam.
Respect diplomatique : 107 ![]() 08/12/1016 ETU 13:20 |
Score : 4
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Dans le coin de l’œil de l'Ours, quelque chose apparu au milieu des nuages. Une forme ténébreuse, presque surréaliste, se rapprochait vers lui. Plus les contours de la chose devenaient nets, plus le reste devenait flou, obscur. L'obscurité fini par engloutir l'Ours, abolissant les notions de distance et d'espace. Ou en était il dans sa chute ? Des créatures inquiétantes commencèrent à faire leur apparition. D'ailleurs, n'était ce pas là son esprit qui lui jouait des tours ? Après tout, même le plus courageux des guerriers craint la mort autant qu'il chéri la vie. Était-ce vraiment la fin ? A ce propos, la chute n'aurait elle pas du s’arrêter ? Il ressenti comme une sorte de soulagement, puis sa vision fini par complètement se brouiller, ne laissant place qu'a l'infini du néant. ... Quand il rouvrit les yeux, ses fiers guerriers le veillait au milieu des décombres de la Goldman Tower, ébahis. "Il est en vie ..."
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