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Cdt. O-
Respect diplomatique : 237 ![]() 21/01/1017 ETU 18:49 ![]() ![]() |
Score : 7
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(Pour voir l'origine de ce RP, ce qui est mine de rien assez important pour piger celui-ci, allez voir ce précédent post, "Un doigt dans le trou", bonne lecture! : http://www.apocalypsis.org/assemblee/viewtopic?c_topic=10864&c_forum_page=3. CONTRAIREMENT A CE DERNIER RP, ce post-ci est ouvert aux réponses ;) ) Il y a de cela 17 cycles galactiques, un grand trou s'était ouvert dans l'Assemblée Galactique, et plus spécifiquement, dans la réalité. Comme pour toutes les autres tâches et autres dégâts matériels, on avait confié le problème à l'équipe de nettoyage et de maintenance et on l'avait dûment et administrativement oublié. Une simple relocalisation des caméras avait suffit pour pallier le problème d'ici à ce que l'équipe d'entretien ait réglé le problème, puisque les hologrammes entrants n'auraient plus à constater la disgracieuse singularité. Les gens présents physiquement n'avaient qu'à pas regarder, et de toute façon, vu ce qu'on avait constaté au fond du trou, on ne tenait plus beaucoup à y jeter un œil qui ne soit pas celui d'un expert dévoué avec abnégation à sa tâche. En dépit de leurs compétences tout à fait honorables, celle-ci se révéla cependant incapable de réparer cette faille dans le tissu de l'univers. Même avec beaucoup de bande adhésive. Alors on laissa simplement un grand rideau devant pour maquiller un peu le visage public de l'hémicycle, et plus personne ne prit la peine d'y repenser. Jusqu'au jour où, le rideau tremblant et basculant sous l'onde sonore, s'adressa aux honorables diplomates un retentissant : « BONJOUR ? » De l'autre côté, les instruments de mesure parvinrent à apercevoir, un mégaphone un peu disproportionné à la main, le même homme que l'on avait un peu trop aperçu la dernière fois, et qui n'avait de surcroît toujours pas tiré la chasse d'eau. Son sourcil levé en l'attente d'une réponse manifestait d'ailleurs tout autant de circonspection qu'on était en droit d'en éprouver à son endroit.
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Cdt. L'ours
Respect diplomatique : 446 ![]() 22/01/1017 ETU 22:19 ![]() ![]() |
Score : 6
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Avaient-ils rêvé ? L'ours qui passait par la, avec un carton de ses affaires dans les mains, préparant son départ, avait pourtant clairement entendu une forte voix s'exprimer. Le son semblait provenir de l'endroit où était apparu "l'anomalie", ce grand O tout noir que les ours s'étaient empressés de cacher, ne pouvant rien en tirer ni y comprendre. Mais il n'y avait personne a côté du rideau. L'ours s'approcha alors, posa son carton au sol et passa la tête derrière le rideau. La non plus, rien ni personne en vue. Hésitant, il demanda en retour: "Euh... Coucou ?"
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Cdt. O-
Respect diplomatique : 237 ![]() 24/01/1017 ETU 15:28 ![]() ![]() |
Score : 7
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Un "Coucou" résonne dans l'espace entre les espaces. De loin, l'ursidé a du mal à distinguer ce qui se passe, même avec les instruments. Au moment où il parvient à poser l’œil sur les toilettes et sur le possesseur de la mystérieuse voix... « AH ! NON ! LÂCHEZ-MOI ! LÂCHEZ-MOI JE VOUS DIS, JE VAIS… » Le cri a résonné bien clair, visiblement amplifié par un dispositif sonore! Au loin à travers l'obscurité, dans l'autre trou, de l'autre côté, seules les jambes de l'homme sont visibles, plaquées au sol, en train de se débattre et de lutter pour se relever. Il se fait tabasser, mais impossible d'en voir plus. De lointains bruits de lutte parviennent jusqu'à l'Assemblée, d'autres voix, des cris. Dans un scène répugnante, l'ours aperçoit une main planter avec brutalité un cutter en plein dans la cuisse de l'homme. Plusieurs fois. Cruellement. Avec une rage de fou furieux. Plus qu'une scène de combat, c'est une scène de torture qui est projetée dans le néant, ainsi que quelques gouttes de sang qui chutent dans l'abîme. On tire les jambes de l'homme au loin, et il ne reste plus de trace du combat que quelques sons, et des toilettes pleines de sang. Une minute passe, une terrible minute, silencieuse. Au moment où l'ours est sur le point de supposer que rien de plus ne se produira, l'homme revient en rampant, accroché à la lunette. Il est couvert de sang, et semble exténué, désespéré, mais s'adresse néanmoins à la galaxie, depuis son petit trou. Loin. Si loin : « J’AI… J’AI RÉUSSI À LES AVOIR, POUR CETTE FOIS… ÉCOUTEZ, JE N’AI PLUS BEAUCOUP DE TEMPS, ILS VONT REVENIR. ILS NE VEULENT PAS QUE JE PARLE, MAIS IL LE FAUT. VOUS DEVEZ ABSOLUMENT M’ÉCOUTER. C’EST UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT. DES MILLIONS DE GENS. » Quelques secondes de silence. Il n'a pas d'autre instrument qu'un genre de mégaphone, et semble avoir beaucoup plus de mal à distinguer l'ours que l'inverse. « VOUS ÊTES TOUJOURS LÀ ? »
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Cdt. Saint Jean-Baptiste
Respect diplomatique : 373 ![]() 24/01/1017 ETU 19:55 |
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Score : 5
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Saint Jean-Baptiste passais dans le coin, par pur hasard, peut être qu'il venait récupérer ses musiciens ou chanteurs ou qu'il cherchait des informations sur la position d'un manuscrit du vide. Qui sait ? Il vit que l'ours regardait une sorte de bizarrerie étrange. Un trou, c'est pas commun. Curieux, il s'approcha et entendit le <<vous êtes toujours là ?>>. Il répondit donc : Non, mon fils je viens d'arriver.
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Cdte. Kiwana Wambiri
Respect diplomatique : 114 ![]() 24/01/1017 ETU 21:00 |
Score : 4
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Les rêves, parfois étranges, réels, prémonitoires ou violents, bercent les êtres au plus profond de leur subconscient. Parfois ils se réveillent heureux de ces rêves. Parfois en sursaut, effrayés par leur chute dans ce gouffre noir et sans fond entre la réalité et l'imagination. Kiwana en avait fait un très étrange très récemment. Sa mémoire se souvenait de quelques petites bribes très floues. Mais les sentiments qu'elle avait ressentie l'avait en revanche bien plus marquée. Ses Esprits lui avaient parlé de ce trou. Réel et bien plus profond qu'aucun autre. Cette similitude avec son rêve l'avait rendue curieuse. Une fois sur place, elle pu constater d'elle même de la profondeur de cette abysse. Elle était arrivée trop tard pour entendre les voix qui en provenait. Mais elle vit qu'elle n'était pas seule autour du trou. L'un d'entre eux semblait même lui parler. Kiwana regarda Saint Jean-Baptiste avec étonnement. Comme si il venait de répondre à une question. A quatre pattes et les mains au bord du gouffre, Kiwana faisait dépasser sa tête pour observer l'intérieur. Ses yeux clairs reflétaient la lumière de la salle contre ses pupilles. Elle avait une meilleure vision dans l'ombre que la plus part des êtres vivants. Mais même avec ça, elle n'y voyait rien. Elle laissa tomber de ses lèvres un crachat immonde et gluant dans le trou. Comme les enfants font parfois pour sonder la profondeur d'un puis. Peut être alors que le bruit qu'allait faire le crachat en s'écrasant au sol allait ainsi révéler un fond ? Kiwana tendit l'oreille, mais aucun son n'en sortit. Elle se mit à farfouiller dans l'une de ses poche et en sortit un petit galet, sur le quel des runes étranges y étaient gavés dans une langue totalement inconnue. Elle la laissa tomber à son tour et attendit encore... Une nouvelle fois, aucun son ne lui parvint. C'est là que pour tester la sonorité du trou, elle se mit à rugir. D'un cri presque animal, vers le fond de l'abîme. WWWWWAAAAAAAAAAAARRRHH !! Le son se répercuta en écho contre les parois abruptes du gouffre. Et puis il se perdit dans le néant. Frustrée, elle s'écarta légèrement, ne laissant plus qu'entrevoir le haut de sa tête et ses yeux de givre lumineux, attendant que quelque chose se produise...
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Cdt. Jack Vayne
Respect diplomatique : 295 ![]() 26/01/1017 ETU 11:36 |
Score : 6
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Jack Vayne, le célèbre pirate gouvernemental entra dans la salle. « Ah-ha ! j’vous ai choppé ! Bande de comploteurs… vous vouliez vous en prend’ au gouvern’ment hein ? Mais l’bon vieux Jack à flairé l’truc et vous a débusqué héhé ! » Sur ce, sa main glissa vers son holster de hanche, où l’on distinguait nettement la crosse d’une arme de poing. Celui-ci n’avait pas le reflet habituel chromé de son arme favorite, elle était simplement noir. Saint Jean Baptiste allait dire quelque chose mais Jack ne le laissa pas faire. « Nn-tt ! On discute pas ! Pris la main dans l’sac tout les deux toi la gonzesse et toi l’moine, en plus l’ours est déjà sur place… nickel » Regardant l’ours, Jack dégaine son arme et pointe Wambiri tout en s’adressant à l’ours. « bon j’procède à l’éxécution hein, t’façon j’ai pas envie d’me faire chier à un procès, allez j’les flingues et on les enterres. » Devant les mines effarée, interloquée, et dubitative des trois commandants, Jack continua. « Z’êtes mort haha ! » Et il fit feu sur la jeune femme. Pssst Pssst ! Un mince mais néanmoins puissant jet d’un liquide transparent atteignit la jeune femme en plein visage, elle fut si surprise qu’elle sursauta en lâchant un bref cri d’étonnement. « Hahaha ! Vous y avez cru ? Z’êtes sérieux ? HAHAHA ! T'inquiètt' poulette c'est BIO, c'est d'l'eau héhé.» Jack agita son pistolet à eau. « Bha ouai ! J’sais pas si vous êtes au courant mais les pétoires et les déssoudeurs sont maint’nant interdits à l’assemblée, alors bha j’m’équipe en conséquence héhéhé. » Jack se rapprocha de l’anomalie intrigant ce petit monde. Il regarda avec attention, son air avait brusquement changé, un sérieux digne d’un commandant l’habitait à présent. Il se pencha, les mains sur les hanches, et inspecta les bords de l’orifice. « C’est quoi c’machin ? » s’enquit-il « Un mystère mon fils, un mystère… Les voies du Seigneur sont impénétrable, cela correspond bien à la situation présente à mon humble avis.» répondit une des personnes présentes. « Ah ouai ? » Pssst Pssst Et Jack, souriant, gicla dans cet énorme trou.
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Cdt. Grema
Respect diplomatique : 141 ![]() 26/01/1017 ETU 12:26 |
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Score : 6
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Pendant que Jack jouait avec son pistolet à eau... Les agents chargés de la sécurité derrière leur poste se mirent à paniquer... eux qui jusqu'à là vaquaient tranquillement à leurs occupations - Base 1 à toutes les unités, nous avons un clo ahem..un homme armé dans l'hémicycle !Alerte à tous les niveaux! Pendant que les soldats aux avant-post arrivaient en trombe, un des lieutenant de piquet, chargé de la prise en main de la situation et qui avait commencé à guetter à l'entrée s'aperçut qu'il n'y avait pas de menace... - Equipe 1 à base 1, l'homme armée s'avère être ..Jack Vayne,.. membre des Gardiens et son arme factice... -... Devons-nous intervenir? le GI est sur place dans quelques instants... Entre-temps, les agents avaient eux aussi remarqué tout ce cinéma qui les avait mis en alerte pour rien en fin de compte... - euh..non, non faites plutôt un repli silencieux...Il n'y a pas d'autorisation venant du Cabinet - Compris, on remballe Alerte levée Les unités disparurent aussi instantanément qu'ils étaient apparu autour de la porte d'entrée de l'hémicycle Cependant, des infirmiers et soignants se dirigeaient vers l'hémicycle si besoin
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Cdt. O-
Respect diplomatique : 237 ![]() 29/01/1017 ETU 22:12 ![]() ![]() |
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Score : 3
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Les quelques réponses qui avaient été adressées à l'homme blessé de l'autre côté du vide n'avaient pas fait grand-chose pour le remettre sur pied, et il semblait aller de plus en plus mal en point le bougre. Il pisse le sang, et ne semble tenir que pour continuer à hurler dans son mégaphone, d'une voix désespérée. La souffrance transparaît dans sa voix, qui parvient cependant clairement à Jack Vayne, Kiwana Wambiri, Saint Jean-Baptiste, l'ours et aux troupes de Grema. Il semble qu'il ait augmenté la puissance de son mégaphone, parce que même le hurlement de Kiwana Wambiri ne semble pas avoir porté aussi loin. : "BON SANG, SOYEZ UN PEU SÉRIEUX, C'EST DE LA PLUS GRANDE IMPORTANCE ! ÇA CONCERNE VOS VIES ! CELLES DE VOS PEUPLES ! DE VOS FAMILLES ! ÉCOUTEZ, C'EST GRAVE. IL NE VOUS RESTE PLUS BEAUCOUP DE TEMPS. ILS VIENDRONT DANS TRENTE-HUIT JOURS. VOUS DEVEZ LES ARRÊTER." Il semblerait que la distance entre les deux trous ait quelque peu diminué, bien que ce soit à peine perceptible pour quiconque n'ayant pas une vue bien supérieure à la moyenne.
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Cdt. Jack Vayne
Respect diplomatique : 295 ![]() 30/01/1017 ETU 00:23 |
Score : 3
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Devant cette étrange voix sortie de la singularité Jack équarquilla les yeux. C'était bien la première fois qu'un trou lui adressait la parole. Il se retourna vers les trois autre plantigrades: "Y'a un zigoto dans c'machin?" Sans attendre de réponse, Jack inséra sa tête dans cet énorme trou. "Désolé mon pote si t'en a r'çus dans la tronche... c'est que d'l'eau hein, pas d'inquiétude..."
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Cdt. L'ours
Respect diplomatique : 446 ![]() 30/01/1017 ETU 01:05 ![]() ![]() |
Score : 2
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L'ours, désireux d'en savoir plus sur cette mystérieuse voix lui posa alors quelques questions : " Vous êtes où ? Qui sont ces gens qui vous veulent du mal...? Et surtout, Vous êtes qui d'abord ??? "
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