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> Confirmation d'une régence flamboyante
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Cdt. Olhorìn
Respect diplomatique : 3203 
02/06/1017 ETU 13:22 |
Score : 11
Détails
Ruby pénétra dans une nouvelle salle aménagée spécialement pour son nouveau discours. Elle était toute vêtue de cuir, sa tenue de combat, des rangers aux pieds. Elle se dirigea vers le centre de l'hémicycle, s'assit sur le tabouret de bar qui y avait été installé et prit un moment pour contempler les commandants qui avaient été invités peu avant. Un sourire se dessina sur son visage. "Mes chers amis... Je constate avec plaisir que vous êtes venus plus nombreux que lors de mon premier discours." Son sourire s'agrandit. Et elle ajouta d'une voix innocente. "Quelque chose aurait-il donc changé entre-temps ?..." Elle resta un moment silencieuse, dévisageant ceux qui étaient présents physiquement, plongeant ses yeux dans les regards flous des retransmissions holographiques. "On m'a sommé de venir m'expliquer sur les derniers évènements. Ce qui me prouve assez que vous ne m'écoutiez pas jusqu'à présent. Je vous ai dit dernièrement que je frapperai, fort, au hasard, qui je veux, quand je veux et aussi longtemps que je le veux. Et que je ne me justifierai pas. "Vous étiez prévenus. Tous. Sans exception. Je vous engage à aller faire un tour dans la salle de la liste SM. Dernière intervention de ma part. Tout y est dit. Vous avez vos réponses dans ces quelques phrases." Ruby se tut. Puis elle se leva, fit une sorte de révérence et quitta les lieux d'un pas vif. Un silence flotta quelques minutes dans l'assemblée, les commandants se consultant du regard, se demandant si telle était la seule explication, si l'impératrice auto-proclamée était sérieuse dans ses propos. Puis une rumeur monta, enflant de secondes en secondes tandis que le mécontentement grondait. C'est alors qu'Olorìn revint dans la salle, un épais dossier sous le bras. Elle reprit place sur son tabouret et posa le dossier sur ses genoux. Puis elle attendit que le silence revienne, le dos droit, les mains posés à plat sur les feuilles rassemblées devant elle. Lorsque la salle fut calme à nouveau, elle reprit la parole. "Comme je vous l'ai dit, je n'ai pas à m'expliquer. Je fais ce que je veux. Pourquoi ? Parce que j'en ai les moyens. C'est aussi simple que ça. Vous ne pouvez avoir le dessus sur moi, et il serait temps que vous en preniez conscience. "Mais ce serait improductif de vous laisser dans le flou. Vous voulez des raisons ? Je vais vous les donner." Une pause. Un sourire. "Et je sais à présent que j'ai touuuuuute votre attention. Des raisons, j'en ai à la pelle." Elle commença à ouvrir le dossier, puis se ravisa et le referma. "Mais d'abord, quelques petites précisions. Je n'ai pas l'intention d'éradiquer qui que ce soit. Fut-ce l'Ours. Je tiens à garder la diversité de la galaxie, sa richesse de civilisations. Mais je n'hésiterai pas à raser toute trace de vie si vous ne m'écoutez pas plus attentivement. "Ensuite, pourquoi trois cycles ? Pourquoi avoir attendu si longtemps avant de m'expliquer, alors que des Ours tombent tous les jours, que les morts des deux côtés s'accumulent, cycle après cycle ? Parce que c'est ce qu'il fallait pour obtenir votre attention. Une opération éclair qui se serait stoppée tout de suite n'aurait pas marqué vos esprits. Une guerre sans pitié, sans espoir pour l'Ours, et sans raisons apparentes pour tous gravera à tout jamais dans vos souvenirs ce dont je suis capable. Je suis à présent certaine que vous n'oublierez pas ce qu'il vient de se passer. Ce qui est en train de se passer. "Les raisons, maintenant, puisque vous voulez comprendre." Elle ouvrit l'épais dossier et en sortit un dossier plus fin, de quelques pages seulement. "J'ai demandé à ce que vous veniez vous exprimer en Assemblée, vous ne semblez pas avoir compris ma demande." Elle releva les yeux de ses feuilles. "Du moins, je préfère croire à cette raison, sinon cela veut dire que vous l'avez fait consciemment, en faisant fi de mon autorité. C'qui s'rait pas bien du tout. Donc, on va dire que vous ne l'avez pas comprise." Elle laissa tomber le dossier à terre, et en prit un autre. "J'ai demandé à l'Ours à maintes reprises de venir s'exprimer. Lui non plus n'est pas venu, si ce n'est pour déclarer une guerre. Une seule intervention depuis ma prise de pouvoir, et c'est pour déclarer une guerre..." Des feuilles qui tombent à terre, nouveau dossier. "Il m'a pourtant bien répondu de nombreuses fois par com-x. Preuve qu'il est bien présent à son poste de commandement, et de manière très régulière. M'assurant toujours de sa fidélité et de son acceptation de ma régence. M'assurant qu'il ne me mettra jamais des bâtons dans les roues... Mais restant quand même silencieux dans cette Assemblée." Olorìn releva à nouveau la tête et laissa son regard passer d'un commandant à l'autre tout en continuant à parler. "Ce qui r'vient, en gros, à dire : "T'es toute gentille, et j'veux bien reconnaitre ton autorité, tant qu'elle s'applique pas à moi. Demande ce que tu veux, j'continuerais à en faire qu'à ma tête." Moi, j'appelle ça du foutage de gueule. Tout simplement." Nouveau dossier. "En plus, il se permet de verrouiller de manière plus ou moins temporaire des secteurs qui ne lui appartiennent pas forcément, lançant des barrages atomiques ou ioniques dans les systèmes qui l'intéressent, sans rien demander à personne, causant des milliards de morts, sans que cela n'émeuve plus que ça. Personne ne vient se plaindre. Normal, tout l'monde dort. Pourquoi n'en profiterait-il pas ? "Et lorsque quelqu'un vient se plaindre, il donne une ou deux planètes, histoire de calmer les esprits." Ruby planta ses yeux dans ceux de l'Ours. "T'es pas chez toi, mon gros. Tu peux pas agir à ta guise dans la galaxie en pensant qu'il n'y aura pas d'conséquences. Tu peux pas balancer tes bombardements en temps de paix, comme tu veux où tu veux, sans penser qu'un jour ça t'retombera pas sur la gueule. T'es dans un espace de vie commun, tu respectes tes p'tits camarades, sinon la tarte, elle tombe. C'est c'qui est en train d'se passer..." Elle reposa les yeux sur ses notes. "Quoi d'autre ?... Mon dieu, y a tellement d'raisons, imbriquées les unes dans les autres..." La jeune femme parcourut rapidement les quelques sous-dossiers restant en silence. Puis elle laissa tomber le tout à terre, se redressa, laissa son regard errer sur les visages tournés vers elle. "De toute façon, ça tourne à peu près toujours autour de ce que je viens de vous exposer. Et si cela ne vous semble pas suffisant, je vais vous expliquer pourquoi j'en suis venue à cette extrémité. "La vérité, c'est que vous ne m'avez jamais prise au sérieux. Et là, je m'adresse à ceux qui étaient là depuis le début dans cette galaxie. Pas aux petits nouveaux qui découvrent l'Assemblée et souhaitent en savoir plus. Eux, pour le moment, sont actifs. Mais vous, les vieux de la vieille, vous foutez quoi, tous seuls dans l'noir, à ressasser votre gloire passée ?" Le regard mauve se planta sur la loge de Lilly. "Nan, ma vieille. J'veux pas qu'tu viennes raconter des inepties comme tout l'monde. J'veux qu'tu partages tes connaissances et tes idées. Tu trouves que l'niveau est bas ? Ben relève-le, au lieu de maugréer dans ton coin. "Tout ceci n'serait jamais arrivé si vous n'aviez pas décidé d'vous murer dans l'silence. Et c'est pas faute de vous avoir avertis. Vous pourrez pas dire que j'vous ai pris en traitre. Vous êtes responsables de c'qui s'passe. Et, ma chère Lilly, essayer d'héberger l'Ours dans ton secteur ne fera que prolonger son calvaire. Tu lui rends pas service, crois-moi. "J'me fous pas d'votre histoire. J'l'ai étudiée, justement. Et c'est ce qui m'a amené à la guerre qui est en train de décimer l'Ours. "Quand j'ai vu qu'vous vous foutiez royalement de c'que j'pouvais bien vous raconter, j'me suis décidée à vous balancer l'électrochoc de grande envergure qu'on m'conseillait depuis un moment. Se posait la question de la cible. Ce ne pouvait pas être une civilisation jeune. Pas assez puissante, donc pas assez représentative. Et de toute façon, ils sont plutôt actifs. Donc, un ancien. "Mais lequel ? Marx Smith ne sortira jamais de son mutisme et mourra en silence. Tant pis pour lui. Mais il ne pouvait donc pas servir d'exemple. Marzaestrex n'est pas vraiment présent. Pareil pour beaucoup d'autres. J'ai passé en revue aussi Mauricette, Lilly, Elrond... Mais Elrond s'exprime beaucoup et de manière régulière, cela aurait été injuste, Lilly vient en Assemblée de temps en temps... "Puis est venu le nom de l'Ours. Je sais par vos archives qu'il sait s'exprimer, et de manière fort intéressante, qui plus est. Je sais qu'il n'a pas ouvert la bouche depuis que je représente le gouvernement, malgré mes demandes répétées. Je sais qu'il est actif derrière son poste de commandement, comme en témoignent ses réponses à mes com-x et ses bombardements répétés. Je sais qu'il n'hésite pas à activer ses croiseurs pour des raisons connues de lui seul. Je sais qu'il a connu de nombreuses guerres, failli être exterminé à chaque fois, et s'en est toujours relevé. Il peut donc le faire une fois de plus. "Le candidat idéal pour servir d'exemple. Mais pas pris au hasard et sans raisons. Robuste. Respecté. Puissant. Et persuadé de pouvoir faire ce qu'il lui plait et d'échapper à ma régence." Elle marqua une pause. Un sourire revenant flotter sur ses lèvres. "Vous ne m'avez jamais prise au sérieux, jusqu'à présent. Vous savez maintenant ce dont je suis capable. "Souvenez-vous de ce qui est en train de se passer et marquez cette période à la craie rouge. C'est triste que je fus obligée d'en arriver là, mais vous m'avez un peu forcé la main. Et dites-vous bien que si l'Ours lui-même ne peut s'opposer à moi, aucun de vous ne le peut." Une pause, le temps que ses paroles flottent dans l'air et passent d'un commandant à l'autre. "Une dernière chose avant de passer à la suite. Certains se diront que je ne suis pas la véritable impératrice de cette galaxie, parce que c'est Flavius qui s'occupe de la majorité des actions militaires. Ne commettez pas cette erreur. "Flavius tape parce que je le lui demande. Et il arrêtera SI je le lui demande. Il n'est pas pour autant mon esclave, mon employé ou n'importe quelle autre comparaison absurde qui pourrait vous passer par la tête. "C'est un ami. Fidèle et dévoué. Nous sommes unis l'un à l'autre par un lien plus fort que tout. Et ce lien s'appelle la confiance. Nous travaillons main dans la main. Et avançons ensemble. C'est un ami, et il représente mon bras armé. Et je puis l'abattre où bon me semble. "Gardez bien cela à l'esprit la prochaine fois que vous voudrez me défier." Elle contempla en silence l'Assemblée. Puis ses yeux mauves se posèrent sur l'Ours. Une étincelle naquit au fond d'eux, et une expression singulière, indéchiffrable passa sur ses traits. Lorsqu'elle s'adressa à son adversaire, sa voix était étrangement douce. "Et si toutes les raisons que je t'ai donné jusqu'à présent ne te suffise pas, j'en ai une supplémentaire. "Ne t'avises plus... jamais... de décider pour moi si je suis prête ou pas. Jamais."
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Cdte. Arwen
Respect diplomatique : 447 
02/06/1017 ETU 16:56 |
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Score : 6
Détails
Dame Arwen était déjà là, elle écoutait le discours, elle admirait la tenue sexy de l'Impératrice Olhorin. Elle regardait cette femme qui était libre de ses gestes et de ses actions qui symbolisaient pour certains la haine et la folie, pour d'autre une personne d'action et de logique, mais un fait indéniable pour Dame Arwen est que cet Impératrice était nécessaire : "Belle Impératrice et Honorable Olhorin, avant toute chose, je souhaite vous inviter dans mon restaurant dans un endroit secret et où seules les femmes y sont les bienvenues, je ferais une exception pour votre bras armé Flavius, il a démontrait une certaine force que j'apprecie particulièrement en explosant certains des nuisibles qu'il soit sous ma juridiction ou non, le tir atomique fut une experience intéressante, ainsi que le combat entre les Fregger et les vaisseaux amiraux, un bon moment." Reprenant ses idées et parlant de sa nation : "Suis-je venir me plaindre des pertes des différentes nations présente dans le secteur où je suis comme L'Ours et ses amis ? Non, car je considère qu'elles sont un honneur et permettent de tester la bravoure, le courage, la détermination, la force, la sagesse et l'intelligence de mes combattants elfes. Je vous remercierais même de tuer les faibles pour ne laisser que les forts, et permettre à ma nation par ce procédé de ne garder que les individus aptes à survivre, suivant une logique de rationalité passant avant l'émotion, ceci n'est ni mauvais, ni bon, ceci est pour l'intérêt de la survie d'une espèce et de son évolution. " Parlant des autres commandants : " Des Commandants ne respectant pas votre autorité en faisant vœu de silence, là où vous avez décider l'inverse, en faisant des hors-la-loi, car pour le peu de règles que vous avez imposé, même celle-ci ne fut pas respectée. Ses mêmes commandants souhaitant un tribunal, mais qui ne sont pas capables de respecter une seule de vos décisions. On aurait pu penser que s'ils ne venaient parler, ils étaient occupés sur la défense et la gestion de leurs nations, mais visiblement ce n'est pas le cas. Ainsi, nous pourrons considérer cela comme une libération et un acte assez sage, car laisser des peuples livrés à eux même, sans une protection correcte et avec une gestion diplomatie inexistante, mais en danger les peuples de ses planètes. Dans les deux cas, votre Bras armé Flavius est utile et si mes armées meurent aux combats, c'est qu'ils ne méritaient pas d'être sous mes ordres. Si des planètes tombent et quittent nos territoires, c'est que nous ne la méritions pas. Ceci est un simple, ceci est une évidence, ceci est un fait indéniable." Regardant à nouveau Olhorin : " Qui sommes-nous pour remettre en cause vos décisions pleines de sagesse. Si vous désirer que je stoppe mon test à l'échelle Sectorielle, j'obéirais. Si vous me demander de cibler des individus précis via ce test, j'en ferais de même. Car malgré mes tirs sur vos troupes et celle de votre ami "Flavius", sachez que je ne suis pas en guerre, je teste la valeur des hommes sous votre juridiction. Il est en de même de vos ennemis, sur lesquels j'ouvre le feu, démontrant que ma logique n'est pas celle d'une guerre et ne vise personne particulièrement. Car je n'éprouve ni haine, ni colère, ni vengeance pour vos amis et vos ennemis." Parlant de sa recette secrète de spaghettis fait maison : " Ainsi, je réaffirme mon idée de vouloir vous inviter à dîner, vous seule ou avec votre ami, cela serait un honneur pour moi. "
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Cdt. Vlatko Cesari Fourtz
Respect diplomatique : 252 
02/06/1017 ETU 17:53 |
Score : 7
Détails
Vlatko s'était rendu dans la nouvelle salle ouverte par Ruby, après avoir bien profité des mets de Lyberïa, Il écoutait avec attention les explications de la flamboyante Ruby jusqu'à la fin. Au moment ou il voulu prendre la parole en se levant et prêt à applaudir le discours de Ruby, Dame Arwen intervenait. Il se rassit aussitôt, jetant furtivement, un coup d’œil à droite puis à gauche, tout en espérant avoir attirer l'attention de personne. Fichtre ! Encore elle ! Se disait il La voilà maintenant entrain de faire du lèche ! On aura tout vue . Mais jusqu’où ira-t-elle ? Je crois que je vais me taire, pas trop envie de me faire couper les couilles. Puis il resta confortablement blotti dans son siège.
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Cdt. Elrond
Respect diplomatique : 349 
02/06/1017 ETU 23:57 |
Score : 6
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Lazgalèn était seul depuis un moment, Elrond étant retenu dans le Secteur III pour la guerre. Les interventions d'Olorin et d'Arwen l'avait laissé coi de surprise, mais il s'était ressaisi en entendant la dernière prise de parole, plus sensée. C'est à la suite de cette dernière qu'il prit la parole : "Commandante Olorin, je demande la cessation des hostilités entre le commandant Flavius et L'ours dans le Secteur III, j'ai convenu d'un accord avec ce dernier qu'il a accepté, et que je vous retransmets par Com-x. Vous y verrez de la bonne foi et une espérance de paix commune. Au nom du gouvernement dont je fais partie, je vous le demande, j'ai une dette, ma vie et celle de mon peuple, que je dois à ce commandant, accordez-lui la paix qu'il désire et je m'engage à le pousser à faire des efforts et à venir reprendre sa place diplomatique à l'Assemblée un minimum." Se tournant vers la Dame Arwen il reprit : "Vous comprendrez que vos dernières tentatives de destruction de mes flottes ont échoué car elles résistent à vos maigres bombardements ioniques. Bientôt, je viendrai vous arracher aux mécréants qui vous ont malmené et vous ramènerai à la maison."
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Cdte. Arwen
Respect diplomatique : 447
03/06/1017 ETU 00:40 |
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Score : 4
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Montrant une couille bien poilue, fripée et petite à l'appareil : " Père Elrond, j'ai été en effet malmené, alors que je faisais une experience, un elfe se nommant Thonos a fait rentrer discrètement Vlatok dans mon palais, sachant que celui avait des mauvaises intentions, voici la preuve du délit. Je soupconne cet elfe "Thonos" de travaillé pour les rebelles, car il n'était pas autoriser à circuler sur ma planète. Il pense que je ne l'ai pas vu, mais j'ai fais suivre son homme de main par une servante. Cet elfe travaillerait pour le Leader qui était le fondateur du Torium qui selon nos archives elfiques commis des actes grave, ce Leader travaillait avec le Secteur 15 et ils le voient comme un ami, alors qu'il est fou et dangereux, c'est le chef des démons. J'irais un jour faire mon enquête dans ce Secteur, car il semble lié à la mort d'individus, ainsi qu'a la tentative de renversement de ma planète. Ainsi je ne sais plus à qui faire confiance, la folie a pris possesion de moi, je n'aurais jamais du utiliser une magie aussi puissante et dévastatrice. Ma sagesse a été corrompue par les nuisibles et mécréants de ce Secteur diabolique. Je t'en pris Père, si tu m'aimes, viens me chercher."
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Cdt. Olhorìn
Respect diplomatique : 3203
03/06/1017 ETU 02:12 |
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Score : 4
Détails
Ruby s'adressa à Arwen, sans lâcher l'Ours du regard. "Arwen... Ma très chère Arwen... "Tu fais bien de te manifester. "Ton attitude m'exaspère au plus haut point. Dans ma galaxie, les faibles ont autant droit de cité que les forts. "Tes bombardements sont risibles mais commencent à m'irriter. Ainsi que tes tentatives pour récupérer des planètes m'appartenant. "Alors, si j'étais toi, j'me calmerai sur le champ et j'arrêterai ces attaques pitoyables. Tu n'as aucune chance de me voir à ta table en agissant ainsi. "Et vu ton tempérament belliqueux, t'es interdite de poser un pied dans le secteur 15. J'ai promis de les protéger de tarés dans ton genre, et j'tiendrais parole." Puis s'adressant à Elrond. "Mon ami, j'entends tes paroles. Une réponse t'a été faite en com-x. Elle est non négociable. Et ne viens pas me dire que je suis intransigeante. J'expose publiquement les raisons de mes actes et il n'a même pas la décence de venir me parler en personne. Il aggrave son cas en agissant ainsi. "Je vais peut-être te paraitre brutale, et j'en suis désolée. Mais ta dette ne me concerne pas. Il en a une envers moi, et je compte bien la récupérer aujourd'hui même. Avec intérêts. T'as pas à le pousser à reprendre sa place diplomatique. C'est à lui de faire la démarche. Seul. Et s'il en est incapable, il disparaitra. Comme Marx Smith. "Il ne m'a pas écouté alors que j'essayais d'rester sympa. Et je crois que même maintenant, tout le monde pense que je n'irai pas jusqu'au bout, si cela s'avère nécessaire. Je ne peux me permettre de desserrer le nœud coulant que je lui ai passé au cou. "Tout le monde doit bien comprendre que je ne plaisante pas."
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Cdte. Arwen
Respect diplomatique : 447
03/06/1017 ETU 10:57 |
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Score : 4
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Arwen venait d'apprendre qu'elle n'avait plus vraiment d'armée, l'Ours, UltimaOmega, Flavius et son père Elrond avait tellement bien participer à l'élimination des faibles qu'ils ne restaient plus que des sages sur une planète en déclin, il fallait agit autrement pour sauver sa peau. " Tous cela ... tous cela, je l'ai fais pour vous. Comment me suis je tromper à ce point, veuillez me pardonner ma chère, je ne sais plus ce que je fais, j'ai besoin d'aide. J'ai besoin que Père me vienne en aide, la folie fait que je ne sais plus distinguer le mal du bien. Je pense que je devrais ... Oui je devrais ... " Remarquant qu'elle tient une couille dans la main : " Mais qu'esque je suis entraint de faire, mais j'ai perdu la raison ... Je suis devenus folle ..." Jetant la couille à la poubelle : " Honorable Père Elrond aide moi, vient m'aider ... Ils sont partout, ils me corrompent, je ne sais plus distinguer la réalité de l'illusion. Je déshonore totalement notre peuple, mais je ne peux pas m'empêcher, une chose obscure a prit possession de mon esprit et de mon être. " Parlant à Olhorin : " Je vous obéirais Impératrice, car j'éprouve un sentiment plus fort à votre égard, bien plus fort que pour la folie qui me ronge. Plus aucun ordre ne sera donné à partir de maintenant. J'obeirais ma belle et magnifique Impératrice, j'obeirais. "
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Cdt. Thonos
Respect diplomatique : 233 
03/06/1017 ETU 11:06 |
Score : 4
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Thonos encore plus vexé: Et vis à vis de moi ? Vous ne me devez pas d'excuses. Il était vexé qu'Arwen avait oublié sa personne. Mais satisfait qu'elle s'était calmé.
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Cdt. L'ours
Respect diplomatique : 446 
03/06/1017 ETU 17:33 
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Score : 10
Détails
La représentation holographique du chef des ours Ideogi s'active enfin. L'ours paré de son armure de combat, prends alors la parole d'une voix lente et calme. "Alors voila pourquoi... Au moins, c'est plus complet que ce que j'avais imaginé... Je vais passer vite fait sur les tirs atomiques, j'assume totalement. C'était des mesures préventives et surtout par manque de disponibilité de mes troupes. J'ai cependant toujours laisser le passage ouvert a ceux qui le demandaient, comme avec les guildéens qui souhaitaient commercer dans les contrebandes. Quand a mes apparitions a l'assemblée, je suis navré mais je ne suis pas votre "jouet", ni votre chien. Si je déclare, ici même, que je souhaite me retirer des affaires publiques et politiques pendant un certain temps, ce n'est pas pour faire volte face quelques cycles après... Je me dois au moins de respecter ce que je dis. Je suis un ours adulte vous savez, je fais mes propres choix et je m'y tiens. Et peu importe ce que vous pouvez dire, ce n'est pas une décision que j'ai prise a la légère et j'avais mes raisons. Raisons que vous n'avez jamais cherché a comprendre. Et cela est d'ailleurs symptomatique de votre façon de gouverner ce lieu. Vous n'écoutez pas vraiment les autres. Vous êtes bloquée sur votre façon de penser et êtes persuadée d'avoir raison. Il ne semble pas vous traverser l'esprit que vous puissiez avoir tort. On ne parle pas de votre civilisation là, on parle de toute une galaxie... Vous devez composer, et non pas imposer. Est-ce que vous vous rendez compte de la dérive a laquelle vous êtes arrivé maintenant ? Vous en êtes rendue a menacer les commandants d'extermination si ils ne viennent pas en assemblée. C'est d'une stupidité, et d'une dangerosité sans nom. On peut contraindre une galaxie par la force, c'est un fait. On ne peut pas en revanche faire vivre une galaxie par la contrainte. J'espère que vous vous en rendrez compte avant qu'il ne soit trop tard. Vous me faites penser a un enfant qui se met a crier parce qu'il n'a pas des autres l'attention qu'il désire... Ce serait presque mignon si vous ne mettiez pas la vie de milliards d'êtres dans la balance. Vous avez exterminé et déraciné mon peuple, juste pour servir d'exemple... J'espère de tout mon coeur que vous mourrez dans d'atroces souffrances.
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Cdt. Sitargo
Respect diplomatique : 120 
03/06/1017 ETU 20:00 |
Score : 7
Détails
Après n'avoir pas prit la parole depuis quelques jours, l'ambassadeur Républicain décide d'intervenir. Membres de cette hémicycle, Vous pouvez constater comme moi, le regain soudain d'accusations qui fusent de parts et d'autres. Sommes-nous condamnés, à regarder les uns et les autres s'accuser. Sans que nous ne connaîtrons jamais la vérité, sur qui dit vrai ? Sommes- nous condamnés ? A voir et à entendre les cris de tout un peuple décimé, par la volonté d'une armée, qui n'a de comptes à rendre à personnes et massacre des civils et même des peuples. Mes chers camarades, quel avenir souhaitez-vous pour vos enfants ? Il est temps que certaines dérives prennent fins. |
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