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Pages : 1 2
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Cdte. Lilly
Respect diplomatique : 474 
07/07/1017 ETU 01:52 |
Score : 3
Détails
La petite flotte furtive passa discrètement sous le croiseur noir sans être détectée. - C'est quoi, ça ? - C'est un Fregger de Flavius - Mais c'est énorme ! - Shhht ! Tais-toi ! Tu vas nous faire repérer. Le visage de Lilly apparut sur les écrans : - À toutes les unités, nous avons pénétré dans le système sans être repérés. La planète est en vue. Tenez-vous prêts. Dans son chasseur furtif, au milieu de sa flotte en mission, Lilly surveillait les opérations. Sa flotille furtive avait dépassé le Fregger colossal qui gardait ce quadran et évoluait maintenant en toute impunité dans un secteur interdit. Lilly savait qu'elle était perdue : Olhorin et Flavius l'achèveraient bientôt. Mais avant de mourir, elle voulait tenter un baroud d'honneur. Outre la transgression des règles édictées par Flavius, qui était jubilatoire, elle voulait tenter l'impossible. Devant elle, la planète-prison tournait et, dans son atmosphère, les formations nuageuses décrivaient des motifs en spirale.
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Cdte. Lilly
Respect diplomatique : 474
08/07/1017 ETU 14:35 |
Score : 2
Détails
- Avez-vous pu établir une connexion avec nos contacts sur la planète ? - Oui, Madame. La plupart se tiennent prêts à agir. - Mais ils savent que nous ne pourrons pas emporter tout le monde... - Ils sont au courant. Il est prévu que nous n'emporterons que la fraction la plus active. Leur population semble s'être divisée entre une grosse part de résignés et une petite fraction de résistants. Comme toujours... » songea Lilly. - Que toutes les unités se tiennent prêtes. Nous ne prendrons pas la planète d'assaut. Nous simulerons une invasion pendant que nos furtifs feront un aller-retour. Dès le retour en orbite, vous programmerez un saut vers le point de rendez-vous. L'officier de pont prit la relève. « Décompte ! « H - 28 heures, Monsieur.
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Cdt. L'ours
Respect diplomatique : 446 
10/07/1017 ETU 17:00 
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Score : 7
Détails
A l'extérieur du plus gros campement de confinement des ours. Des marchands nomades qui utilisaient souvent les routes commerciales proches des prisons étaient en train d'essayer de vendre leurs babioles aux gardes Salusiens en service. On ne peut pas dire qu'ils étaient de gros acheteurs mais cela était déjà arrivé a certains d'acheter des bibelots ou des petites dagues de collection, donc les nomades revenaient de temps à autres. Ils n'étaient bien sur pas en droit de s'approcher trop près du campement sous peine de s'attirer la colère des Salusiens. Parmi eux, un Okyïa a tête de morse qui se baladait a distance le long de l'immense grillage ionisé s'arrêta soudainement, entendant de la musique qui provenait du camp. Car il était un peu loin, il lui fallut quelques secondes avant de réussir a distinguer a travers le mur ionique un groupe d'ours en train de chanter. Quatre Ours qui s'était mis un peu a l'écart pour chanter une de leurs vieilles chansons traditionnelles. Une histoire de guerrier et d'honneur retrouvé. Trois chantaient en ancien Ideogi tandis qu'un semblait battre la mesure de son pied. Il resta un moment à les regarder et écouter leur chant mélancolique. Quand ce fut fini, l'Okyïa a tête de morse se mit a applaudir doucement, de manière quelque peu irrégulière, puis il s'en alla. Le message était passé. Une fois rentré à son bivouac, il envoya alors un message crypté en orbite à destination des services de communication de la commandante Lilly. Le message une fois décrypté donnait ceci: "Les ours seront prêts à agir à la prochaine lune. De feu sera le signal."
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Cdte. Lilly
Respect diplomatique : 474
10/07/1017 ETU 20:54 |
Score : 6
Détails
Quand elle avait rencontré l'Ours pour la première fois, Lilly l'avait trouvé très... ours. Il était solidement campé, le regard déterminé et il ne s'embarassait pas trop des difficultés. Il passait au travers. Par moment, ça lui donnait des allures un peu cavalières... Il était direct mais il savait aussi emprunter les formes de la courtoisie. Avec le temps, sa caractéristique la plus distincte était l'humilité. Il était fort, courageux et humble. « Priceless ! » avait-elle pensé. Car des gros guerriers, on en trouve. La galaxie n'en manquait pas. Il y avait BlackWolf, Grema, Ulak-Khôm et bien d'autres Commandants aussi menaçants qu'éphémères. Mais des guerriers qui acceptaient leurs défaites avec humilité et qui reconstruisaient pierre par pierre sur les décombres de leurs mondes détruits, il n'y en avait pas beaucoup. Et c'est ainsi qu'après avoir frôlé la mort et l'annihilation totale, l'Ours était revenu dans la danse jusqu'à mener la danse. Il avait pris possession de la Capitale. Et alors, que fit-il ? ... Il considéra sa position avec cette humilité caractéristique qui faisait de lui le plus grand guerrier de Catharsis et il donna la Capitale à la galaxie. Faisant preuve de générosité, il donna la Capitale à chacun selon un système de partage aléatoire. Il délocalisa la Capitale entre les mains de toutes et tous pour que chacune et chacun puisse « apprendre à gouverner et à être gouverné ». Cet instinct politique et philosophe compléta son panache de guerrier. ... et Lilly fut séduite.
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Cdt. L'ours
Respect diplomatique : 446
11/07/1017 ETU 23:06
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Score : 5
Détails
Le cycle suivant, à la tombée de la nuit, un long silence sembla s'installer à travers les différents campements, comme annonciateur de la tempête a venir. Le ciel était recouvert d'épais nuages. Lorsque la nuit sombre fut définitivement maitre de l'endroit, ils se mirent à apparaitre. Près des baraquements, dans plusieurs camps, des feux avaient été allumés et commençaient à briller depuis le ciel.
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Cdte. Lilly
Respect diplomatique : 474
12/07/1017 ETU 01:13 |
Score : 4
Détails
En orbite basse, le soleil passe derrière la planète et le globe se couvre de nuit. Au sol, loin en dessous, il y a des feux, des beacons... « Le signal. Des lueurs rouges... Lilly pensa à Olhorin. Elle avait surgi dans sa vie telle une flamme : rapide, mordante, vascillante, échappée... Elle avait bien négocié le virage vers la fin de règne du blondinet. Le blondinet ! KK ! Ce petit roitelet imbu et drôle avait reçu la Capitale de l'Ours et, après trois pirouettes, l'avait cédée à La Joker, une tueuse démoniaque™ dont le seul acte de règne fut signé dans l'ADM... Alors Olhorin avait pris ses dispositions. Un ordre ici, un mouvement là, pif, paf, efficace. Les jeux du cirque pouvaient commencer : « Bienvenue à l'Assemblée ! Fais ceci, fais cela, discute ci, discute là ! » C'était bien parti. C'était drôle. Les Elfes étaient les meilleurs. Et puis il y eut Flavius. Le guerrier brutal. Il s'était abattu sur la galaxie tel un rideau de fer. Cruel, froid, sans visage. La chose la plus gentille qu'on puisse dire à son sujet, c'est qu'il a des coefficients élevés. Le genre de type que personne ne retient, que la mémoire oublie. Les cicatrices qu'il laisse se referment ou bien sont réinterprétées dans le récit de chacun. Flavius s'accroche au temps, il survit, il massacre, il revient, il s'accroche, il griffe, mais le temps passe et glisse entre ses doigts. Et personne ne le retient. « Réduisez votre altitude. La flotte de Flavius devrait nous repérer dans les prochaines minutes. Chaque transport furtif vers son objectif. Evitez les combats, ne prenez aucun risque. Les Ours sont prioritaires. À partir de maintenant, c'est chacun pour soi. Merci à tous et bonne chance. Si elle survivait à cette mission, elle s'était résolue à rejoindre Iria, Harley et Ruby pour une séance sauna kiss kiss bang bang. C'était pas le moment de foirer.
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Cdt. L'ours
Respect diplomatique : 446
13/07/1017 ETU 14:42
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Score : 4
Détails
Tandis qu'au loin dans le ciel commençaient les premiers affrontements entre les troupes de défense salusiennes et les forces d'invasion de la commandante Lilly... Au sol, les campements s'embrasaient. De petits feux, ils étaient devenus incendies. A travers plusieurs campements, des baraquements entiers commençaient à être pris par les flammes, aidés par le climat aride. Les ours s'en éloignaient naturellement, s'agglutinant près des portails de sécurité, loin des flammes, implorant les gardes postés dans les tours. "Pitié ! Faites quelque chose ! - Laissez nous sortir !!! - Si vous ne faites rien, nous allons tous mourir ici !!!" Les ours du culte de la paix s'était assis en tailleur près des portes, se récitant inlassablement des mantras tel que "La paix viendra nous sauver !" tandis que d'autres hurlaient " Ceci est nôtre châtiment ! Repentez-vous !!" Allaient-ils prendre le risque de les laisser sortir ? Arrêter l'incendie ? Ou bien les laisser mourir ici ? La réponse était dans les mains des salusiens désormais.
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Cdt. Flavius
Respect diplomatique : 2044 
13/07/1017 ETU 21:41
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Message édité -
Score : 7
Détails
« Et que la vérité soit. Que le Mal se tarisse. Et que le Bien perdure dans l'ombre. Amen. » Marcus se relève, dans une salle éclairée par la seule source de lumière que représentent les rares bougies. Prône sur l'autel face à lui une grande croix en marbre, dont les stries assez visibles en son milieu suggère qu'elle n'est aujourd'hui entière que grâce à quelques rafistolages. « Lieutenant Marcus, nous avons un problème aux portes. » Le soldat Salusiens s'était annoncé brusquement, Marcus l'avait entendu arriver de loin, chose qui ne l'avait pas précipité pour terminer sa prière. « J'arrive dans un instant. » Car oui, Marcus priait toujours. Il avait fait partie de ces rares Salusiens à ne pas avoir relégué les anciennes croyances au rang de simple conformisme, non pas qu'il était rare que d'autres s'y continue aussi, au contraire même, mais que lui... pensait y croire réellement. A l'ancienne forme de ce qu'il en avait été, chose dont beaucoup s'était détourné pensait-il. En effet, le véritable Bien n'était plus une vertu en vogue ces derniers temps dans les rangs Salusiens selon lui. « Par ici, venez voir ! » Il continuait de suivre le soldat, pensant. Marcus avait été affilié dans le système Carcerem depuis un temps déjà, et même si il avait pensé durant un premier temps qu'il finirait par s'y habituer, il devait constater que ce n'était toujours pas le cas... et ne le serait jamais. Marcus avait ressentie une profonde peine à l'égard de ces bêtes dont la prospérité avait été réduite au silence par les siens, avec pour dernières conditions imposées à ces dernières cette vie en captivité promesse de leur dépérissement. La justification à tout cela, il l'avait entendu, à maintes reprise même, mais il n'y croyait pas. Où étaient passés les arguments de Bien et de Mal dans tout ça ? Personne n'y trouvait rien à redire, mais pas lui. Même si conserver sa place dans la hiérarchie s'était justifiée par une prudence plus qu'indispensable sur son réel sentiment vis à vis de tout cela, car Marcus n'était pas stupide. « Qu'est ce qu'il se passe au fi... ? » Et il vit. Le soldat l'avait amené sur l'aile ouest du camp, celles où des flammes étaient clairement perceptibles, ainsi que les cries de supplications et de terreurs en provenance de la zone. Marcus avait été avertis que certaines choses se passeraient en orbite, mais ici, non. Un coup de feu, puis un autre, précipitèrent son envie de s'approcher de la zone à toute hâte, suivi par le soldat soudainement étonné d'un tel regain de vigueur. « N'approchez pas ! » Un ours s'effondre lourdement au sol au moment où les mots du garde s'accompagne de la rafale sur ce téméraire ou ce désespéré ayant essayé d'escalader le grillage pour se soustraire aux flammes. Elles s'étaient déjà approchées jusqu'au ici, et il était évident pour Marcus que rien n'avait réellement été fait depuis un moment déjà. Il constata avec horreur, au milieu du vacarme mêlant cries et sermons religieux de quelques ours étonnement calmes, que beaucoup d'entre eux déjà avaient subis le même sort, pour ceux ne s'étant tout simplement pas laissés atteindre par les flammes alors que l'espace de vie se restreignaient de minute en minute. Marcus ne put s'empêcher de réagir en invectivant le premier garde. « Arrêtez, nom de Deus ! Vous ne voyez pas qu'ils sont désespérés et n'ont pas d'autres issues ? Nous devons faire preuve d'une once de pitié, nous ne pouvons pas les laisser dans cette situation. » Le garde sembla étonné d'entendre de telles paroles derrière lui, d'autant plus quand il se retournera et constata le rang de Marcus, unique argument qui lui imposa de lui répondre moins agressivement que ce qu'il s'apprêtait normalement à faire. « Lieutenant, les instructions qui nous ont été laissé sont claires, aucun d'entre d'eux ne doit sortir, je ne fais qu'appliquer cette dernière. » « Je vois parfaitement ce que vous faites, mais vous ne pouvez tout de même pas vous résoudre à suivre les consignes à la lettre quelque soit la situation ! Le minimum de dignité nous pousse à les aider, et pas à les condamner à une mort certaine ! » Le garde ne cacha pas son avis contraire en tirant maintenant un regard dédaigneux à l'égard de son supérieur. « Lieutenant, les ordres sont les ordres, c'est tout ce que j'ai besoin de savoir, et je ne peux être mis en défaut à les respecter. » Le ton était devenu provoquant, et comme pour marquer celui-ci, le garde se retournera pour abattre un des ours s'étant simplement risqué à approcher un peu trop de la porte. Marcus bouillonnait. Il avait réussi à se contenir un minimum jusque là, mais le spectacle d'enfer qui se présentait à lui couplé à l'attitude du garde finirent par avoir raison de sa patience. Et surtout de sa précaution. Tant pis, il le fallait. « Alors, considérez maintenant la chose comme l'ordre direct d'un supérieur auquel vous êtes soumis d'obéir immédiatement : ouvrez les portes. » -------------------------------- Le soir même, Marcus était exécuté. Personne ne sut les derniers mots qu'il entendit de son Empereur qui exigea de le rencontrer en personne... et ce juste avant de signer son arrêt de mort. Les seules notes restantes sur le Lieutenant Marcus étant ses dernières paroles avant que son corps ne pende au bout d'une corde : « Que le Bien perdure dans l'ombre. »
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Cdt. Mael
Respect diplomatique : 1034 
15/07/1017 ETU 07:34 |
Score : 4
Détails
Quelque part en orbite de la planète prison... "- Capitaine! Capitaine! Ca s'agite en bas aussi! Ils ont fait.. ils sont ouvert les portes! Mouvement partout. -... et les gardes, est ce- - C'est eux qui ont ouvert les portes! ils regardent, ils surveillent, mais c'est eux qui- - chhh. ...de la compassion? de la pitié?...et arrete de sourire comme ca! tu sais seulement ce qui va se passer maintenant? - nonmon'ptaine! -... faut que je prévienne le boss. Va pas etre content. - oh. ah.
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Cdte. Lilly
Respect diplomatique : 474
15/07/1017 ETU 16:04 |
Score : 7
Détails
Une flotte de chasseurs sortit du mode furtif et se lança à l'assaut des bases fortifiées de la planète-prison tenue par Flavius et Mael. C'était le Colonel Gidéon, un officier de 27 ans au leadership exemplaire, qui conduisait cet assaut comme un leurre destiné à détourner l'attention des garnisons de Flavius. Le Colonel Gidéon était un jeune homme passionné et cynique qui manifestait quelques névroses remarquables. - C'est tout le problème » confia Lilly à son biographe. ... oui, parce que Lilly estimait que sa vie était suffisamment palpitante pour être restranscrite en biographie. Elle se faisait donc suivre en tous lieux par cet écrivain, depuis le pont de commandement jusque dans les douches à air pulsé et aussi, comme l'homme était charmant, elle l'avait invité plusieurs fois dans son lit afin que sa biographie soit complète et précise. - J'ai confié cette mission dangereuse au Colonel Gidéon pour l'amuser. C'est le seul moyen de m'assurer de sa loyauté pour quelques semaines. Tant qu'il s'amuse avec moi, il rempile... Entretemps, l'armada furtive de Lilly avait franchi l'atmosphère et s'était dispersée autour de la planète. Chaque nef s'était approchée du sol en des points de coordonnée précis où les Ours résistants s'étaient rassemblés et attendaient leur secours, le museau en l'air. - Tout cela était organisé depuis quelque temps », chuchotta Lilly à son biographe. « Depuis nos premiers contacts avec eux, les Ours résistants ont commencé à creuser des tunnels dans la terre meuble de leurs baraquements avec leurs griffes. » Elle rit de bon coeur : « Ha Ha Ha ! Il faut être un Flavius pour ne pas savoir que les Ours ont cette capacité utile à leur hibernation. Et c'est pourquoi chaque furtif peut maintenant cueillir son groupe d'Ours résistants aux quatre coins de la planète. Tenez ! Voilà notre groupe qui se dissimule, là, à l'orée de cette forêt ! » Le furtif entamma une trajectoire d'approche en courbe serrée pour arriver près des Ours cachés. Mais Lilly aperçut quelque chose et s'approcha des écrans de contrôle. - Pilote ! Qu'est-ce que cela ? - Ce sont des Ours rescapés, Madame, qui ont probablement fui les flammes et qui cavalent dans la plaine vers l'abri de la forêt. - Peuvent-ils nous voir ? - Non, Madame, mais ils se dirigent non loin du lieu de rendez-vous. - Alors c'est leur jour de chance. Nous les emporterons aussi. - Madame, ils sont suivis par des air speeders aux insignes de Flavius. - Eh bien, tant pis pour Flavius et ses soldats. Cannonier, veuillez expédier nos ennemis à trépas, s'il vous plaît ! Lilly se tourna vers son biographe en souriant : - Observez bien, mon cher, la valeur de mes soldats car il est très difficile de toucher un véhicule atmosphérique avec des armes de combat spatial.
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