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> L'Ordre d'Espoir
> [RP] La sorcière vous salue...
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Cdte. Witch
Respect diplomatique : 2607 
10/09/308 ETU 20:24 
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Score : 8
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Witch s’avança dans l’hémicycle comme tant de fois au cours de sa vie. Elle avait revêtu la longue robe brune des sorcières de sa caste et ses cheveux étaient lâchés… ce qui s’était rarement vu à l’Assemblée. Elle n’était pas sûre d’être entendue de toute la galaxie mais après tout, la tâche dont elle devait s’acquitter, le message qu’elle voulait délivrer n’intéresserait probablement qu’une poignée de commandants… Cela lui importait peu. Commandantes et Commandants d’Espoir, La triste période où nous perdîmes la Capitale et l’Assemblée, sous la férule du Maestro, me laisse un goût amer, comme à beaucoup d’entre vous, je suppose. Si leur but était de nous émanciper, de nous faire changer de mentalité, de nous ouvrir vers l’extérieur, bien peu d’entre nous en ont profité. Les méthodes employées furent tellement « efficaces » que beaucoup des nôtres ont disparu. Il est des personnes comme des plantes… Quand les racines sont coupées, l’âme n’aspire plus à la vie. La capitale me fut rendue après une guerre qui n’est pas encore totalement achevée. Je suppose que c’était en attente de quelque événement en Espoir… Personne ne s’en est ému. Je n’ai pas reformé de gouvernement. Avant cela, je voulais, à mon tour, vous proposer des ouvertures. Mais mes projets ne verront pas le jour. Eveil vient tout juste d’élire son Gouverneur, le Commandant Arachnide, et tout reste à construire. Devenir reste fermée à toute tentative de communication extérieure. Il en est de même pour Eternité. Songe, atteinte d’un mal mystérieux, ne répond pas à mes sollicitations. Aurore est une galaxie encore jeune et peu connue. Je crains fort que les échecs diplomatiques subis ne viennent que de ma personne. Je veux bien le reconnaître et le concéder à mes détracteurs. Aussi, je vais me retirer de la vie politique de cette galaxie en remettant les clefs de la Capitale à la coalition Némésis Nocturnae. Cette dernière sera en charge de la défendre et de la protéger le temps que vous exprimiez vos souhaits. D’aucuns vont grincer des dents à cette annonce, mais ma coalition s’est acquitté avec courage et abnégation de la même mission en Eveil. Maintenant, les loups peuvent hurler… La sorcière vous salue. Elle sortit dans le brouhaha des voix, ne regardant personne. Elle retournait dans l’anonymat de son peuple.
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Cdt. Quaideluz
Respect diplomatique : 1366 
10/09/308 ETU 21:09 |
Score : 4
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parmi les rangs disparates, un homme regardait intensément la commandante Witch. Même après son départ de la place attitrée du gouverneur de cette galaxie, il resta presque une éternité à scruter le vide, aussi délicat qu'un songe de plein été, les épaules s'affaissent. Il est temps de s'éveiller et tant de chose reste à faire avant l'aurore... Puis d'un coup, le lusigoth se leva et se dit en remontant lentement les marches vers la sortie. Une page est elle enfin tournée? Malheureusement non, pas totalement... Ma fille j'espère que vos épaules sont plus légères, le fardeau du gouvernement est tellement lourd.
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Cdte. Witch
Respect diplomatique : 2607
07/01/309 ETU 10:32
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Score : 6
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En cette froide soirée neigeuse, Witch était assise en tailleur sur la pierre chaude au dessus du foyer, telle une Babayaga des contes russes ancestraux.. Les sorcières, de tout temps, aimaient la chaleur, peut-être dans l’espoir d’apprivoiser la douleur des bûchers… Elle regardait rêveusement les flocons recouvrir son jardin d’herbes médicinales en laissant son esprit vagabonder. Bastion du Diable ! Cette planète lui avait donné des frissons. Dernière position des écumeurs en secteur 10, les armées de Séraphiel s’y étaient fracassé de nombreuses fois. Elle avait décidé d’y aller, mais le nom même de la planète la rebutait. Ses diplomates avaient fait un constat alarmant : le peuple était réduit à l’esclavage et entièrement dévolu aux travaux forcés pour la construction de bunkers, oeuvrant jour et nuit, sans trêve ni repos. Ils avaient construit ainsi 46 milliards de bunkers en quelques cycles… un peuple sacrifié à l’orgueil ! Une escouade restreinte de diplomates avait suffi pour se faire remettre les clés de cette Capitale du Diable, pour libérer le peuple du joug d’un despote aux abois. Bien sûr, le temps qu’ils avaient mis à comprendre et à aller libérer ce peuple avait été tourné en dérision par certains, lesquels, drapés dans leurs fourrures et leurs dentelles, ne savaient pas ce qu’était la souffrance des hommes à l’agonie. Seul l’amour propre comptait pour ceux-là. Ils sont en paix, enfin ! Eléa regardait toujours les flocons tomber et elle se sentait soulagée qu’ils aient obtenu la tranquillité des secteurs 1 et 10. On pouvait se moquer, elle n’en avait plus rien à faire, cela ne l’atteignait plus. On pouvait essayer de la chasser de Devenir, lui interdire Eveil, cela n’avait plus d’importance… Sur Mandragore, les gens dormaient en laissant leur porte ouverte pour les amis, ils circulaient librement et n’avaient plus de craintes. Eléa se leva en s’étirant et, caressant Rom au passage, elle alla se coucher. La nuit serait douce et paisible…
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Cdte. Witch
Respect diplomatique : 2607
14/02/309 ETU 17:18
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Score : 6
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Eléa était rentrée de Sélène… Démosthène l’avait ramenée sur Mandragore en quelques minutes de téléportation, voyages interstellaires dont il avait le secret et une maîtrise totale… Elle s’était mise à rêver… Sur Terre, une vielle planète dans une Galaxie non encore connue, mais dont ses grimoires faisaient référence, le cycle du 14/02 était la fête de tous les amoureux. Eléa était amoureuse… comme elle ne l’avait jamais été… et elle savait pourquoi. Ses réflexions silencieuses franchirent ses lèvres dans un murmure qu’elle seule pouvait entendre… mais sa voix la rassurait et la berçait. Il fallait qu’elle l’exprime intelligiblement pour se garder d’un envoûtement irréel. Tu étais une parcelle de tous ceux que j’ai aimés mais je ne le savais pas… Quand tu as pris les traits d’Arwaan à notre premier rendez-vous, je n’ai pas fait le lien. J’ai juste cru que tu jouais avec mes sentiments… Aujourd’hui, je sais que tu étais dans chacun d’eux, et que tu les réunis tous. Andréalphus… je t’aime ! Tu es enfin celui que je recherchais au travers de tous ces hommes…. Mais comment l’aurais-je su ? Nous ne faisons qu’un, mon amour… que l’Univers prenne garde à cette nouvelle donne ! je t’appartiens… et tu fais partie de moi dorénavant.
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Cdte. Witch
Respect diplomatique : 2607
25/02/309 ETU 23:25
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Message édité -
Score : 9
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Witch considéra le vaisseau qu’elle avait demandé de sortir du hangar. Il paraissait vieux et rouillé… C’était celui qui l’avait amenée en Espoir, il y avait très longtemps. Elle eut une pensée fugace pour Gaal, qui s’était perdu chez les Vaarlags avec Iridan, mort depuis peu… Il ne répondait plus à ses messages. Pour Cyannah qui devait mener sa vie sans elle… Elle ne la connaitrait pas. Pour Démosthène… elle ne le gênerait plus et lui souhaitait de tout cœur bonne chance. Pour les autres, tous les autres… et de peur que ses yeux ne coulent, elle monta précipitamment dans le vaisseau et engagea le pilotage automatique. Commandante, vous quittez cet Univers sans espoir de retour… Confirmez-vous ? Eléa appuya sur le levier de commande sans un mot. Le vaisseau décolla…. Adieu… Elle allait retrouver la douceur de vivre auprès de son grand-père. Elle voulait juste se reposer….. loin des guerres et des polémiques…. pour toujours. Hrp : Merci à ceux qui ont joué avec moi… Il y eut de grands moments.
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Cdte. Cornélia
Respect diplomatique : 2502 
26/02/309 ETU 13:40
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Score : 10
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Cornélia se prélassait sur une chaise longue dans son salon.. En fond sonore une femme chantait une reprise de "Cry me a river" et le bruit de la grande fontaine au milieu du salon laissait courir un doux clapotis, se mariant à merveille avec la douceur des rayons de soleil sur la terrasse.. Son holophone vibra et elle l'attrapa avec peine.. Cornélia s'était un peu extraite des derniers combats, certes le commandant Sargan lui avait bien pris quelques planètes tout récemment, attisant par là-même le conflit en Songe, mais son esprit était préoccupé par d'autres choses.. Ses amis disparaissaient, petit à petit, sans faire trop de bruit.. Il y avait eu wilson, puis polito, partit sans dire aurevoir.. Les petits nouveaux d'Espoir qui n'avaient pas supportés le silence de plomb qui régnait à l'assemblée depuis que le vampire s'y baladait en trône volant.. Elle poussa un long soupire en jetant un œil furtif sur l'écran de son combiné à cristaux liquide.. fini... j'abandonne.. désolée mais la haine, je ne supporte plus. La vie, c'est autre chose... Ravie de t'avoir rencontrée. Je te souhaite plein de bonnes choses... Adieu Ton amie, Eléa Le portable ne fit pas de bruit en éclatant sur le marbre blanc de son salon. Le temps parut s'arrêter quelques instants durant lesquels les larmes jaillirent dans le regard vert de la sinon russe.. Et alors que les morceaux finissaient de se répandre dans la pièce, Cornélia Wang sentit sa vue se troubler et ses forces l'abandonner.. Elle ne se sentit pas tout de suite tomber mais alors que son corps s'effondrait lentement, comme privé de son équilibre, elle revit tout. Absolument tout depuis le début. Sa rencontre avec Eléa et le message qu'elle lui avait faite parvenir à l'aune de son arrivée en Espoir pour rejoindre la coalition dont elle avait la charge aujourd'hui Ecume Hurlante.. Elle se souvenait de ses mots, doux, accueillants comme elle l'était alors: Commandante, Notre coalition vous a remarquée. Vos propos et la façon dont vous vous exprimez nous font penser que vous seriez à votre aise chez nous. En tout cas, vous y seriez bien accueillie ! Je vous envoie une invitation. Mais je reste à votre disposition pour répondre à toutes vos interrogations. Sachez que nous recherchons des personnalités affirmées sans être agressives, des commandants qui parlent à bon escient mais qui sont préoccupés par l'avenir de notre Galaxie. Vous reconnaissez-vous dans ce portrait ? Cordialement, Witch Agressives elles l'étaient devenue toute deux, lassées par les guerres et les conflits interminables. Mais au début elles étaient tellement semblables de douceur et savaient calmer les ardeurs des plus belliqueux ! Puis il y eut l'amitié la vraie, le binôme efficace des deux diplomates de l'écume à qui rien ne semblait pouvoir résister, il y eu beaucoup de bonheur entre elles à cette époque. Elle firent de nombreuses choses en commun, l'aide aux plus jeunes, la distribution de technologies gratuites initiée par les écumeurs et en particulier Eléa, les ressources, les ébauches de gouvernement, la lutte contre les ultrèmes.. Puis il y eu le clash au sein d'Ecume avec astronore, puis son départ.. Les ennuis commencèrent lorsqu'elle rejoignit requiem et les némésis.. de sombres moments, puis le gouvernement qui les rapprocha et de nouveaux grands moments avec chapeau de paille.. Puis la guerre, les trahisons dont elle s'est rendu coupable en espoir, manipulée par le vampire qui voulait tant orchestrer tout cela...Encore la guerre toujours la guerre. Puis,un beau jour, au sommet des trêves et des statuts quo, Eléa et elle s'étaient enfin retrouvées, toutes deux dans sa taverne et elles avaient enfin renoué avec leur complicité d'antant, après un combat de boue épique la tendresse qui les unissait avait repris le dessus et les rires avaient résonné..une dernière fois.. Et maintenant, c'était la fin, Eléa était partie, elle qui avait été à la fois, sa mère, sa confidente, son adversaire diplomatique, sa meilleur ennemie.. Cornélia ouvrit la bouche, lentement, péniblement, mais aucun son ne sortit tant sa gorge était nouée, après quelques efforts elle parvint à articuler avec peine.. Adi..adieu..mon amie.. puisses-tu trouver la quiétude que tu mérites..Tu vas me manquer, sincèrement..Adieu ma bonne amie.. Puis elle s'effondra en larmes..
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Cdt. G.F.
Respect diplomatique : 421 
27/02/309 ETU 10:10 |
Score : 6
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Une planète perdue, comme il y en a des millions. Abandonnée comme tant d'autres à case d'un chaos qui ne la concerne pas, la population régresse dans une anarchie violente et désordonnée. Sur cette planète, il n'y a plus que des villes fantômes, délaissées aux profits d'abris glauques. Certaines de ces villes se sont vidées en une journée, sur une rumeur. Tout est comme si les gens étaient là hier... à l'exception d'une décennie de poussière qui s'est tranquillement installée. Dans une de ces villes, les vestiges d'une bibliothèque épandent leurs flots de papiers au gré du vent. Un de ces papier est différent: écrit à la main, maladroitement, il est couvert de traits, de notes superposées par un esprit maladroit. La main qui a griffonné tout cela est bien différente de ces machines qui ont empli les livres. C'est le vent qui rend ce petit fragment de papier si différend: quand la feuille s'agite, un visage apparait au sein même des multiples coups de crayon. Il s'agit d'une femme, belle comme tant d'autres, qui regarde avec détermination un point au loin vers la droite. Ce dessin, car c'en était un finalement, c'était quand même beaucoup d'efforts pour saisir une tout petite partie d'un être.
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Cdt. John Rackham
Respect diplomatique : 604 
27/02/309 ETU 19:12
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Score : 3
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Le vent soufflait calmement sur l'étendue immense de l'océan turquoise, gonflant les grandes voiles de la frégate et faisant onduler le pavillon noir, perché au-dessus du grand mât. Le soleil reflétait dans les embruns mille et unes couleurs. Accoudée à la balustrade du navire, Jenah semblait perdue dans ses pensées en regardant l'infini de l'océan. Tout était paisible. Le vent jouait avec ses longs cheveux bruns et le col de sa veste. Elle resta quelques temps ainsi, puis elle se redressa et s'étira en baillant longuement. Elle passa une main dans ses cheveux et alla en direction de sa cabine. Le bordel habituel n'avait pas bougé et elle se fraya un chemin en shootant dans quelques bouteilles vides, puis elle s'affaissa sur son lit, les bras dessous la tête. Elle prit une longue inspiration et ferma les yeux. C'est alors que son X-Com sonna, la faisant sursauter. Elle pouffa longuement et passa ses mains sur son visage. Elle prit l'objet qui continuait à sonner de plus en plus. Elle eut un petit sourire quand elle vit que c'était Eléa qui lui avait laissée un message. Sûrement pour lui parler de son Démosthène, pensa-elle. Elle regarda le message qu'elle avait reçut. Son sourire s'effaça. Son coeur se mit à battre de plus en plus fort. Elle se redressa, penchée sur son X-Com à lire et à relire le message qu'elle avait reçue. Elle se leva et jeta le malheureux appareil sur le lit. Elle resta là dans sa cabine à marcher en rond, percutant au passage quelques affaires en vrac. Ce message était si court, si soudain, elle ne savait pas trop quoi en penser, quoi dire. Après être resté un long moment à divaguer ici et là dans la pièce, elle alla se rasseoir sur le lit et relut une dernière fois le message. Ses beaux yeux verts furent soudain embrumés, puis des petites larmes coulèrent lentement sur ses joues, tombant ensuite sur le petit appareil. C'était pas possible, pourquoi maintenant ? Pourquoi ainsi ? Elle ne savait pas quoi faire. Jenah regarda l'océan à travers la vitre de la petite fenêtre. Elle aussi se rappela des bons moments qu'elle avait passée en compagnie d'Eléa, surtout de leurs première rencontre, de leur premier échange. "Un habit de nuit pour un ami tout petit." Cette phrase avait quelque chose de très significatif et émotionnel pour toutes les deux. Le souvenir d'un petit Korrigan très attachant en pyjama jaune. Ce qui peut paraître insignifiant aux yeux des autres, mais qui est très précieux pour Jenah et Eléa. Elle se souvint aussi de leur première vraie rencontre, assez chargée d'émotions, si on peut dire... Elle se souvint aussi des bons instants de détente avec Eléa dans son hammam. Elle se souvenait... Elle se souvenait de tout ce qu'elles avaient faites ensembles. Puis maintenant Eléa, son amie s'en était allée vers d'autres mondes et elles ne se reverraient plus... A cette pensée, Jenah laissa couler sa tristesse de plus belle, elle se croyait dans un mauvais rêve, mais rien ne pouvait l'en faire sortir. Elle se laissa tomber en pleurant sur son lit. Elle voulait être forte, et qu'elle garde son calme, mais cela lui était impossible. Après tout, il n'y a aucune honte à pleurer pour une amie. Eléa... Eléa... Eléa... Non !... Eléa... Mon amie ! Viens ! Reste ! Ne part pas... Les larmes n'en finissaient plus de couler, mais c'était sa décision et elle ne pouvait plus la faire revenir en arrière désormais. Adieu Eléa... Que les alisées te guident vers ton bonheur ! Vers ce bonheur que tu recherchais tant, ma belle Eléa... Mon amie... Ne nous oublient pas, car moi, je ne t'oublierais pas !!
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Cdt. Kilij Arslan
Respect diplomatique : 408 
04/03/309 ETU 19:28 |
Message édité -
Score : 3
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http://www.deezer.com/track/882755 Seul le clapotis des vagues venant s'échouer sur le rivage brisait le silence de cette nuit. Debout, le corps a demi immerger, Kilij fixait la lune entamer son éternel voyage. La tiède brise caressant son visage. Dans son corps vivait un étrange sentiment qu'il ne ressentait habituellement pas. Il avait froid. Le regard porté aux étoiles, dont quelques unes avaient disparut. Ces étoiles depuis toujours dans le paysage, les croyant immortelles. Ou nous marchons tout les jours dessous sans les regarder, car elles font parties de notre environnement, de notre univers. Mais une fois disparut, une impression de manque vous envahis peu a peu, jusqu'à vous immerger dans la vague du regret. Face a l'océan, son esprit et son coeur était aux disparus. Aux membres qui ont forger la Vague.
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