Cdt. Onjo Saase
Respect diplomatique : 112 04/10/307 ETU 16:07 |
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J'ajouterai, dans la continuité des interventions précendentes et en opposition à certaines, que ces articles sont sujets à toute interprétation légitime. J'en viens donc à dire qu'il ne faut pas prendre l'article premier (comme tous les autres d'ailleurs) au sens premier des termes. Comme vous l'avez certainement entendu, ces articles restent objectifs et non subjectifs. Dans un cas précis, il va de soi que certains articles ici peuvent être caducs. En cas de guerre, comme il l'a été spécifié plus tôt, l'article premier deviendrait désuet. Il ne faut pas tomber dans le piège que toutes les guerres sont inévitables, et que nous vivrons en harmonie durant des siècles. Des guerres sont nécessaires à la construction d'un monde dit parfait ou quasiment parfait. Plusieurs motifs peuvent être valables à la déclaration d'une guerre. Et je ne pense pas que l'expansion territoriale rentre dans ce cas. Excepté si le dirigeant en question est aussi stupide que ses pieds. On ne fédére pas des peuples du jour au lendemain. Cela prend plusieurs années, plusieurs décennies voire même plusieurs siècles pour qu'un système fasse enfin efficacement ses preuves. En réponse au Sieur Goustule Tarouflette, un gouvernement n'est en rien nécessaire pour que des guerres soient proscrites. Pour l'exemple : avez-vous créé un gouvernement avec vos co-natifs pour interdire toute guerre entre vous ? Je suppose que non. Vous avez sans doute signé un accord de non-agression ou tout autre chose ayant la même signification. Ce que je veux dire par là, c'est que nous pourrons très bien nous arrêter à ces cinq articles sans pour autant créer de gouvernement fédéral au sens propre du terme. En s'appuyant sur ces articles, chaque secteur fera sa propre législation. Et donc, chaque secteur aura un gouvernement. Un gouvernement fort n'est pas adapté à une situation comme la notre, à contrario des allégations entendues en ces lieux. Effectivement, il serait très vite sujet à de nombreuses révoltes. Nous sommes au sein d'une galaxie possédant des horizons divers et variés. Il y a autant de cultures différentes qu'il y a de peuples différents. Ce qui serait normal chez un peuple, peut-être tout à fait jugé aberrant chez un autre. De part, je demande que ces articles soient exhaustifs. Cela aurait pour effet à ce que les secteurs aient une importante liberté pour légiférer. Cependant, il est possible que nous ayons besoin de rajouter quelques régles. Dans ce cas, pourquoi ne pas ajouter un article six qui disposerait que "toutes dispositions votées à la majorité par l'Assemblée Galactique prévaut sur les régles sectorielles". Je laisse ceci votre étude. EDIT HRP : mon intervention ne tient pas compte des deux interventions précédentes ayant été écrite avant la lecture de ces dernières.
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Cdte. Impératrice Aldera
Respect diplomatique : 602 04/10/307 ETU 17:40 |
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Score : 4
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- Transmission holographique 88.98.09 - Nous saluons l'initiative prise par la commandante Galya. Cette première discussion est le premier pas vers l'installation d'institutions stables. Pour notre part nous soutenons l'analyse faite par le commandant -XIII-.Les modifications apportées sont pertinentes et il nous semble qu'elles entrent totalement dans le projet d'instituer un régime égalitaire et démocratique. Néanmoins nous tenons à nuancer les propos de ce même commandant concernant l'article 4. En effet il est un peu restrictif d'écarter des élections les commandants non natifs d'un secteur. Nous pensons qu'un commandant ayant des intérêts (économique mais surtout territoriaux) pourraient très bien prétendre à l'élection dans un système extérieur. Il nous semble donc que ce point reste à revoir. Autre point qui nous parait important, l'interdiction de conflit dans les systèmes natifs. Ce texte ne doit pas nous enchainer à des principes strictement juridiques. Si un commandant se retrouve attaqué dans son système natal il est justifié d'avoir une droit de riposte. Aussi nous jugeons que ces principes ne peuvent être appliqués, en cas de non respect par un commandant de ces mêmes principes (s'ils sont votés). A ce titre il nous semble bon de revoir quelques détails dans ce texte déjà très riche. Nous jugerons alors ce texte conforme à la Raison. Il sera ainsi le prélude à un autre texte fondateur de notre système gouvernemental. - Fin de transmission -
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Cdt. Aldric de Glinn
Respect diplomatique : 263 04/10/307 ETU 17:39 |
Score : 3
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"Concernant l'article 4, pourquoi ne pas simplement étendre l'éligibilité d'un commandant à la condition de posséder une ou plusieurs planètes dans le secteur ? Sans pour autant être natif du secteur, ce commandant aurait très certainement des intérêts tout aussi importants, voire plus, que ceux des natifs. Il serait donc à mon sens tout aussi légitime pour lui de prétendre à un poste au sein de ce secteur. En outre, cela permettrait sur le long terme d'avoir quoi qu'il arrive un certain nombre de candidats à l'administration du secteur. Car dans l'éventualité déjà évoquée d'un secteur grandement vidé de ses natifs, l'article initial posait quelques problèmes."
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Cdt. -XIII-
Respect diplomatique : 538 04/10/307 ETU 19:22 |
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Score : 2
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"Je prends note de votre avis, Commandant Yerog, avec le plus grand interet. Et bien que vos arguments soient des plus pertinents, je n'ai pas vraiement été convaincu de leur bien-fondé, à propos du refus des suggestions de modification de l'Article Premier. En temps de paix, je suis entièrement d'accord avec vous : Les systèmes impairs doivent être controllés par les natifs du système, mais en temps de guerre, il est normal qu'ils soient attaqués, puisqu'il s'agit d'un endroit stratégique de toute première importance. Il est plus qu'approprié de frapper là où cela fait mal. Kartésia a toujours privilégié l'usage de la diplomatie pour résoudre ses différends, mais lorsque la seule force des mots ne lui suffisait plus pour se faire entendre, elle a souvent su prendre les armes, et combattre tout en sachant respecter les bonnes valeurs. Ce sont nos méthodes, et je ne les pense pas moins honorables que celles d'autres peuples... Et je ne pense pas être le seul à les utiliser. Ne pas pouvoir attaquer un système natal en pleine guerre, cela ne me semble pas réaliste. Dans l'Article 1 tel que je l'ai suggéré, si un commandant venait a perdre son natal, il serait obligé d'attendre le retour de la paix (ou d'entamer des négociations de paix), et lors de la fin de la guerre, il recupererait le droit à 5 planètes de son natal. Ca me parait correct. Quoi qu'il en soit, il me semble injuste de ne plus autoriser les méthodes des peuples guerriers tels que Kartésia, qui sont des méthodes honorables, et efficaces... Ce point me semble primordial, discutons, je suis certain qu'il existe un compromis pour que tout le monde puisse trouver son compte sans pour autant faire renoncer son peuple à son essence... Mes respects." -XIII-, Empereur de Kartésia.
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Cdt. Dole Jylion
Respect diplomatique : 30 04/10/307 ETU 19:54 |
Score : 4
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Un message s'afficha sur les écrans, aux côtés de la potentielle Déclaration. Un message court, signé par un commandant à la parole rare mais peut-être non moins juste : le Dole Jylion. Ce communiqué commencait par une phrase qui résonnait dans les profondeurs de l'Histoire : "Une constitution doit être à la fois courte et obscure. Elle doit être faite de manière à ne pas gêner l'action du gouvernement." Ce n'est qu'ensuite, après un grand espace vide de toute lettre, que le texte se faisait plus protocolaire : "Mes amis, La Dolauté souhaite réagir aux différents nouveaux éléments qui ont animés cette Assemblée depuis quelques jours. Tout d'abord, nous voulons faire savoir à la galaxie que l'Absolu adhère parfaitement à cette DGDF, ainsi qu'à la proposition de gouvernement de Yerog (soulignons d'ailleurs l'importance de cet honorable commandant dans ces deux réalisations). Nous considérons que, contrairement aux idées de diverses tierces personnes, un gouvernement galactique se doit d'être simple. En effet, et ce surtout dans un système décentralisé, il est vital - et nous pesons chacun de nos mots - il est vital donc d'être réactif et réaliste afin d'être juste. Sans cette simplicité, celui-ci perdra en légitimité et en utilité. Nous sommes peu de commandants à arpenter nos secteurs. Peut-être trois cents. Difficilement plus. Quant aux commandants disposant d'une technologie suffisante pour participer à la vie politique, ils sont moins nombreux encore. Nous ne pouvons donc pas nous permettre de nous perdre dans des administrations ridiculesement complexes. Par conséquent, vous aurez compris que nous sommes de ceux qui ont rejeté fermement la constitution de monsieur Tarouflette. Nous nous inclinons cependant pour le travail qu'il a remarquablement réalisé... Toutefois, la conception du commandant Yerog quant à l'application d'un gouvernement fondé pour toute règles sur cette DGDF nous parait la meilleure. D'autre part, la Dolauté aimerait très rapidement donner son avis sur l'article 4 qui vient de soulever quelques interrogations - nous laisserons les autres articles et détails de la Déclaration entre les mains de vos débats passionnés et pertinents, nous n'interviendrons pas pour l'instant. La Dolauté estime, nous l'avons déjà dit lors des débats qui ont précédés, que l'élargissement des élections à des commandants non natifs du secteur mais y habitant est une idée fort louable et parfaitement défendable. Cependant, un argument opposé semble, à notre sens, détruire toute cette réflexion : une telle organisation serait particulièrement difficile à réaliser, pour ne pas dire impossible. Cet élargissement entraînerait inéluctablement une lourdeur administrative. En effet, nous ne pourrons pas vérifier la véritable appartenance d'un commandant à un tel secteur sans moyens colossaux, moyens qui ne sauraient qu'être mieux investis ailleurs. Et, dans le cas où cette vérification serait inexistante, chaque commandant pourrait accumuler les mandats ou participer à la vie de chaque secteur. De ce fait, chaque commandant pourrait asphyxier la politique locale par des revendications inhérentes à plusieurs secteurs. Politique qui se veut pourtant, n'oublions pas l'objectif principal, proche de sa population et réceptive aux problèmes de son secteur... La Dolauté espère quoi qu'il en soit que l'avenir démocratique demeurera heureux, Eliote la Soach ud, Dole Jylion.
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Cdt. Aldric de Glinn
Respect diplomatique : 263 04/10/307 ETU 20:01 |
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"Vous soulevez un point fort important, commandant, mais permettez-moi de pousser le problème dans ses retranchements : comment prouverez-vous de toute façon qu'un commandant est ne serait-ce que natif ou non du secteur en question ? Le problème est le même... pire encore, car impossible à vérifier sans témoignage(s) solide(s), tandis que la simple appartenance à un secteur peut se vérifier de visu..."
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Cdt. Dole Jylion
Respect diplomatique : 30 04/10/307 ETU 20:12 |
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Une citation s'afficha, sans préavis, sur les écrans. "1. Chaque secteur posséderait sa propre Assemblée de secteur, modérée par un cdt ou une coalition élu(e), qui définirait le mode de gestion de la capitale de la CB sectorielle." Galya. Une simple phrase l'accompagnait : "Reste à savoir ce que Galya entend par "propre", si elle peut instaurer une Assemblée invisible aux non natifs ou simplement aux non habitants ; elle est là, la vrai question, et j'ai considéré dans mon précédent message que la réponse était la première."
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Cdt. Misha
Respect diplomatique : 26 04/10/307 ETU 20:16 |
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Je suis daccord avec vous, nous parlons de quoi déjas? A oui... de "constitution" Vous rendez vous compte que nous sommes dans un lieu d'expression où persones n'est sensé connaitre plus qu'un autre les archive d'une planète appelé terre où tout à été détruit? Nous parlons de choses qui me sont inconnues. Je représente la civilisation "Mis", Je me nomme Misha et viens vous dire que je ne suis pas come vous, et que je ne connais personne qui ressemble à un autre. Nous parlons tous comme si nous avions le même passé. Nous avons déjas la chance de parler tous la même langue, vous ne trouvez pas cela bisard. Louez Dieu pour ça si vous voulez, mais moi je ne suis pas daccord avec le fait que l'on doit absolument faire "comme si". Comme si nous venions tous du même monde. Les tournures de phrase je m'en contre fiche, la substance de celles-ci sont importantes. Ne dénaturez pas nos rapports, il n'est pas instinctif pour mon peuple de courir fabriquer, quoi déjas? Une "constitution" ha ha! Très drole, ... ... a ce n'était pas une blague de votre secteur? Ou de chez les "Vulquiens"?
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Cdt. syrius
Respect diplomatique : 7 04/10/307 ETU 20:17 |
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Le représentant diplomatique de la planète Roma pris a son tour la parole : « Nous acceptons la Déclaration Galactique des Droits Fondamentaux, à ce stade. Cependant, nous pensons que cette déclaration n’est qu’une charte visant a garantir la paix dans les systèmes et non une constitution qui permet de faire fonctionner notre galaxie. Il faut un gouvernement solide, mais simple pour pouvoir améliorer la vie dans notre galaxie, avec une séparation simple des pouvoirs législatif, exécutif, et judicaire. »
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Cdt. Tem Malharm
Respect diplomatique : 309 04/10/307 ETU 20:28 |
Score : 3
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Il y a des choses qui m'échappent ... « c'est présenté comme une Déclaration Galactique des Droits Fondamentaux. Mais, voici que vous y mettez dedans des obligations et des lois qui ne sont en aucun cas lié au droits que pourrais posséder chacun. Certes vous allez me répliquer que chaque droit implique un devoir, mais ceux si ne sont en aucun cas lié ... » -- Aucune attaque ou agression ne peut être tolérée au sein d’un système natal, pas même entre co-natifs. -- Seule la planète-capitale, les assemblées régionales et les centres de contrebande ne peuvent être l’objet d’attaques. -- Seuls les commandants natifs d’un secteur ont le droit de se proposer aux élections sectorielles etc ... Personnellement, cela m'hérisse un peu tout ces devoirs. J'aime être libre, enfin. C'est un texte de loi ou une déclaration des droits ? cela ne concernera uniquement de toutes façon que ceux qui auront accepté cette déclaration, cela me semble un peu utopique de vouloir les associer a tout commandants. Je pense simplement qu'une partie des commandants ne respecteront pas cela, aussi J'aimerais savoir simplement le texte parallèle qui est ce que vous prévoyez de faire si certains ne respectent pas cela. Les punir ? Pourtant vous définissez des droits ici, enfin devriez, pas une chose a respecter en tout cas si ? dans quel cas est ce vraiment donc prevu pour tout les commandants ? Et de toutes façon , je préfère de loin le point de vue indépendant, mais cela est un autre débat ... le texte n'est pas mauvais, mais pour moi cela me semble un peu trop ... enfin, bref »
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