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Cdt. Ujio
Respect diplomatique : 59 
27/04/308 ETU 10:41 
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Message édité -
Score : 12
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Rp privé seulement sur demande Ujio se réveilla dans un lit, un grand lit qui faisait le double du sien. Il avait très mal à la tête et ne savait pas où il était. Il écarta la tunique qui était sur lui et ne découvrit rien d’autre que son ventre. Il se rappela vaguement s’être fais rentré une lame dans son ventre par le commandant Némésis et de s’écrouler… Et depuis le vide total, jusqu'à ce moment précis ou le samouraï rouvrit les yeux… D’instinct il voulut mettre la main sur Après un moment il inspecta la chambre. Elle était magnifique, les tapisseries n’étaient vêtus que d’or brodée directement sur le mure, avec ce petit quelques choses qui fait que l’œuvre est un chef d’œuvre… Il vit la porte en face de lui et décida de l’emprunter. Il vit alors deux gardes posté de chaque coté de la porte. Les deux hommes se tournèrent vers lui la tête baissé. -Voulez vous quelques choses seigneur Ujio ? -Oui voir l’homme le plus important d’ici. -Je vous l’emmène dans votre chambre seigneur. -Merci… Il entreprit une courte toilette du visage et de son torse mais il n’était finalement pas sale et ne puait pas. Quelqu’un avait du se charger de sa toilette, ce qui le perturba un temps soit peu. Il avait quelques peu mal à la tête et ne comprenait toujours pas pourquoi il n’était pas mort. Ujio se rappelait très bien avoir reçu une arme dans le corps mais n’avait aucune blessure… Surement Némésis ou un amis proche avait du le guérir et ce qu’il allait essayer de découvrir. Quelqu’un frappa à la porte. Le samouraï lui dit d’entrer ce qu’il fit en refermant la porte derrière lui. L’homme était imposant. Très grand, il avait aussi une forte musculature avec un coup de taureau impressionnant. Avisé, il baissa la tête en s’approchant quelques peu de lui. -Vous vouliez me voir seigneur. -Oui… Vous êtes le chef de ce palais ? -Je suis le gouverneur de toute cette planète… -Intéressant… Vous allez donc pouvoir me dire ce que je fais là et comment je suis arrivé là. -Je n’en sais pas beaucoup mais je vais essayer de vous éclairé sur ce que je sais. Il y a quelques semaines de cela, un commandant vêtu d’une capuche vous a emmené ici. Je n’ai pas pu le reconnaître et il ne m’en a pas vraiment laissé le temps… Il est venu avec une flotte considérable et a conquis la planète. Il a aussi dit que quand vous serez rétablis, vous serez le chef suprême de cette civilisation. Je comprends je comprends. Nous sommes dans quelle galaxie ? La galaxie devait être frappée par un trou noir… Une galaxie très éloigné a été frappée par un trou noir en effet. Quelques commandants ont pu venir dans celle-ci mais ils ne sont pas nombreux, Corbeau noir, Nécromanger, Quaideluz, la fille de Sarah… Ujio entendit ce nom comme un coup de massues dans le cœur. Il était à la foi contente de savoir que sa fille avait survécu mais à la foi triste de savoir le sort qu’elle a eu… -Sarah n’a pas survécu au trou noir ? -Non… Ujio était triste et un peu perdu. Il aimait éperdument cette femme comme il n’avait jamais aimé quelqu’un… Et voila que maintenant elle était morte… C’est là qu’il se demandait vraiment ce que le créateur voulait faire de lui. Pourquoi était t’il toujours en vie alors que quasiment tous les gens qu’il avait connu était mort… Tant de questions qu’il allait essayer de résoudre. -Tiens l’homme qui vous a emmené ici m’a chargé de vous remettre ceci. Le gouverneur lui tendit la petite boite rectangulaire. Il reconnu tout de suite la boite de X-COM tant utilisé dans son ancienne patrie. Il la toucha de ses doigts rugueux mais avait une douceur inhabituelle pour un samouraï… -Je vous remercie gouverneur. Laissez-moi maintenant, j’ai quelques messages à envoyer. Il s’assit sur son lit et composa quelques messages dont un envoyé au commandant Quaideluz. Il se rappelait bien avoir fais partit de sa coalition. En effet ce commandant avait un code d’honneur remarquable et il se réjouit qu’il est survécu. Il ne lui répondit pas longtemps après en lui parlant de la guerre ce qui le désolait… Guerre guerre guerre, tout le monde avait ces mots à la bouche comme si tout reposait sur cela… Comme si le monde n’était qu’un vaste terrain de mine… Mais la foi et l’amour étaient de vraies valeurs qu’un pèlerin se devait d’accomplir et cela il le pensait du plus profond de son cœur… Il envoya aussi un message à la fille de Sarah et conclus qu’il allait se voir… Il alla donc envoyer un vaisseau pour la recueillir et l’emmener sur cette planète. Elle devait tant lui parler de sa mère…
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Cdt. Corbeau noir.
Respect diplomatique : 549 
27/04/308 ETU 13:29
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Score : 7
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Corbeau était à son poste de commandement, perdu dans ses pensées. Il regardait les rapports qui passaient sur l'écran en face de lui et qui lui détaillaient la situation de l'Empire. Rien de particulier à signaler... Un ou deux prodiges venaient d'être découverts en secteur 8 et seraient envoyés à l'Académie d'Ombrea mais rien de particulier sinon. Il ne cessait de penser à ce qu'il faudrait faire demain et commença à se lever pour aller faire quelques exercices dans la salle d'entrainement lorsque le central l'appela directement. Il entendit la voix d'Hadji résonner et lui dire : "- Seigneur, le gouverneur Sylfus vient de nous contacter. Le sujet vient de correctement se réveiller. Il ne semble pas avoir de séquelles physiques et a sut rapidement se servir du boitier de communication. Nous pouvons donc conjecturer qu'il n'y a pas eut de séquelles mentales. Des tests seraient quand même bon... - Bien... Voila une bonne nouvelle... Et qu'est-ce qu'il a fait d'autre mis à part tripoter un vieux boitier et surement envoyer quelques X-com? - Il est partit il y a deux heures de cela avec un escadre. Nous ne connaissons pas sa destination finale mais nos mouchards le tracent. - Merci Hadji... Continue comme ça... Il ne faut pas le perdre de vue." Hadji fit une courbette et l'écran redevint noir. Corbeau se laisse lourdement retomber dans le fauteuil. Il machonna un stylos qui trainait sur son bureau. L'expérience avait réussit... Peut-être que le projet Renaissance allait aboutir...
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Cdte. Witch
Respect diplomatique : 2607 
27/04/308 ETU 15:39
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Score : 7
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Eléa avait aperçu la navette lors de son approche sur les radars. La prise de contact du Commandant Ujio, qu’elle ne connaissait pas, l’avait troublée. Ujio disait être un ami de sa mère, Sarah. Mère qu’elle n’avait pas connue… Elle avait accepté de le rencontrer, sans grande conviction, devoir de respect filial, sans doute… Elle monta dans la navette et somnola jusqu’à l’arrivée. Les rêves dans son demi-sommeil étaient agités et angoissants… Quand on lui toucha le bras pour lui signifier de descendre, elle avait l’estomac au bord des lèvres et le visage défait. Elle se présenta au Gouverneur et fut conduite dans les appartements d’Ujio. Il était là… Bonjour Commandant Ujio. Je suis Eléa, la fille de Sarah. Elle observait l’homme devant elle qui la dévisageait, cherchant certainement une ressemblance quelconque avec la femme qu’il avait connue… Elle prit le siège qu’il lui indiquait d’un geste. Est-ce que je lui ressemble ? Vous allez être déçu : je ne suis pas Sarah. Ce que je sais d’elle n’a pas de rapport avec moi. Elle était douce et rêveuse, vivant dans une Galaxie où elle racontait des histoires aux passants… Moi, je suis une sorcière au visage marqué, vivant dans une galaxie en guerre, et si elle m’a transmis quelque don de conteuse, je n’ai jamais eu le temps de m’en apercevoir… Je vous ai apporté les seules choses qui me restent d’elle, sa cape aux armes de Brocéliande, la coalition qu’elle avait espéré créer et ceci… Elle sortit de sa poche un appareil holographique ancien et actionna une commande. Un reflet se matérialisa, puis une silhouette floue et enfin Sarah que l’on reconnaissait, le regard mélancolique et la démarche dansante… Elle parlait à quelqu’un mais l’hologramme était muet… puis tout s’éteignit. L’avez-vous reconnue ? Je crois que c’était juste avant sa mort, juste avant ma naissance. Mais vous… que faites-vous ici ? Tout en posant ses questions, elle avait fait le tour de la pièce du regard et avait remarqué la caméra de retransmission au logo de l’Assemblée d’Espoir. Ne lui laissant pas le temps de répondre, elle lui précisa qu’elle ne se sentait pas à l’aise dans ces lieux et qu’elle n’y resterait pas longtemps…
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Cdt. Ujio
Respect diplomatique : 59
27/04/308 ETU 18:09
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Score : 8
Détails
Ujio n’avait pas eu le temps de répondre tant elle posait des questions. Il avait été troublé quand il avait vu l’hologramme mais encore plus en voyant sa fille. Ce n’était pas tant la ressemblance physique qui le frappait mais plutôt ses traits et son caractère. Tout lui faisait penser à Sarah en elle. Il la regarda d’un air déçu, il aurait tant aimé voir Sarah, savoir qu’elle était en vie l’aurais apaisé mais elle n’était plus de se monde et cela l’emplissait de tristesse. Il tourna autour de la pièce comme un dément ne sachant que faire, et ne sachant que penser. Il s’arrêta enfin et commença un long monologue. « Je dois vous paraître étrange et un peu fou mais ce n’est pas le cas et j’ai encore toute ma tête seulement je m’y pers quelques peu. J’ai repris connaissance il y a de cela quelques jours dans se palais et on m’a annoncé que j’étais à la tête de cette civilisation. Je vivais en galaxie 2 avant le trou noir et j’ai très bien connu votre mère. Cette femme était une femme magnifique et très intelligence mais c’était surtout se petit quelques choses qui faisait qu’elle était unique… Je l’aimais du fond du cœur votre mère et la savoir mort c’est comme si une partit de moi s’est détacher… Je vous avoue que je ne sais pas ce qui s’est passé depuis la fin de la galaxie 2… J’ai été abattus par mon ennemis d’une lame dans le ventre et je me retrouve ici je ne sais pas combien de temps après. Cela peut vous paraitre bizarre, il en est pareil pour moi… Je voulais revoir Sarah à travers vous une dernière fois… Elle me manque tellement. M’enfin si la vie à voulu que je vienne sur une terre comme celle-ci c’est qu’il doit y avoir une raison… Ta mère et moi étions des personnages de foi qui croyait vraiment que la lumière du créateur pouvait resplendir les champs de bataille pour les guerres cesse. Nous formions un groupe dans espérance, elle n’était pas dedans mais elle en était proche. Nous n’étions finalement des pèlerins à la recherche de la lumière. Tout homme peut entrer dans la lumière mais aussi dans l’ombre du Gardien… Ceux-ci ne sont pas forcement ce que l’on pense et les enfants du créateur peuvent se révélé les enfants du gardien mais jamais l’inverse. Vous allez vous demander pourquoi je vous dis tout cela. Seulement vous avez une pointe de méchanceté dans votre regard, une haine inexplicable et je le vois parfaitement. Votre père que j’ai longuement côtoyé étant donnée qu’il faisait partit de mon groupe, n’avait pas votre regard mais il en avait un perçant qui faisait penser au moment les plus forts que la flamme du gardien allait bruler son cœur mais il n’en a jamais été le cas. Faite attention ma fille. Je prierais pour vous tout la nuit dans la flamme du créateur… » Ujio fit son habituel signe de croix sur le cœur pour demander au créateur de la protéger…
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Cdte. Witch
Respect diplomatique : 2607
27/04/308 ETU 20:02
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Score : 5
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Cet homme était étrange et il lui parlait de ses parents… pour elle de parfaits inconnus. Il tournait en rond comme un lion en cage, se demandant ce qu’il faisait là et comment il y était arrivé… S’il comptait sur elle pour mieux comprendre, alors il devait être très déçu. D’ailleurs ses derniers mots sonnaient comme s’il la congédiait. Seigneur Ujio, si je peux vous apporter des réponses aux questions qui vous hantent, je le ferai. Mais je ne suis pas une magicienne, je n’ai pas de don divinatoire. Je ne peux dire que ce que je sais. Vous me parlez de mes parents et vous cherchez en moi ce que vous ne trouvez pas. Mais ce n’est pas étonnant… Ma mère m’a confiée à Thyen à ma naissance. Je n’ai pas été élevée par mon père mais par mon grand-père maternel. Je n’ai rien de mon père sauf mon prénom. Ce que vous me dites ne me touche pas. J’ai construit ma vie sans lui. Dans cette Galaxie, d’ailleurs, personne ne m’en a jamais parlé, pas même Quaideluz… Et puis ce n’est pas de la méchanceté que vous voyez dans mes yeux, Ujio… c’est de la hargne. Il ne faut pas confondre ! La colère n’est pas la haine… Mais il serait fastidieux que je vous explique mes nombreuses colères. Vous n’êtes pas d’ici. Il faut vous faire une opinion par vous-même. Elle regardait le samouraï et se demandait ce que sa mère avait trouvé de beau en lui. Il faudrait certainement du temps à cet homme pour se reconstruire et ressembler à ce qu’il était du temps de Sarah… un guerrier ? … un illuminé ? … un amoureux des histoires et des contes de sa belle ? Elle avait soif mais n’osait rien demander. Elle se contenta de le regarder, la tête un peu penchée. Se pouvait-il qu’il l’ait fait venir d’aussi loin juste pour la regarder ?
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Cdt. Ujio
Respect diplomatique : 59
28/04/308 ETU 19:49
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Score : 7
Détails
Le samouraï regardait la jeune femme d’un regard intense. Elle lui cachait quelque chose et il l’avait vu tout de suite. Ujio avait la faculté incompréhensible de voir si quelqu’un lui mentait et cela depuis son plus jeune âge. Il se rappelait parfaitement sa mère dans la galaxie espérance, qui voulait lui faire croire qu’elle n’avait pas mangé tous les gâteaux qu’il aimait tant… De beau souvenir qu’il préférait oublier… Ujio entendit quelqu’un qui frappait à la porte. Il lui dit d’entrer. C’était une vieille femme avec une tenue de servante qui venait leur apporter des petits gâteaux avec des jus de fruits. Je vous remercie, posez le sur la table devant moi. Le vieille homme fit signe à sa convive de se servir tout en continuant de la regarder. Elle avait décidemment les mêmes airs que sa mère mais avec un regard ravagé que celle-ci n’avait pas. Elle n’avait pas ces yeux tristes qu’arborait Aléa. « Alea je comprends tout cela et je me doutais que vous n’aviez connu ni votre père ni votre mère. Cela m’étonnes quand même que Quaideluz ne vous en avez pas parlé vu que c’était un grand amis de votre père, mais surement n’a-t-il voulu pas vous faire de la peine. Pouvez-vous me parler de la galaxie et des guerres qui s’y trouve ? J’ai entendu parlé d’ultrèmes et d’ordre du saint graal et de Némésis qui m’a d’ailleurs rappeler de très mauvais souvenir. Pouvez-vous me donner votre avis sur la question ? Le créateur aime tous ses enfants autant les un que les autres mais le destin d’une galaxie doit obligatoirement passer par la guerre selon les hommes mais c’est totalement faux. La guerre n’est ni une position par rapport à des idées précise ni par rapport à des idéologues capable de manipuler des peuples. La guerre est seulement perpétrée par le Gardien qui aime châtié les hommes en leur poussant à la haine pour les faire venir vers eux. Mais que pouvez nous faire pour cela ? Priez le créateur ? Oui… Mais peu de monde le font et c’est ce que l’ont a essayé de faire dans ma galaxie d’origine avec de grand personnage malheureusement tous morts. Vous vous demandez surement pourquoi je vous dis cela ? Je ne peux pas vous le dire moi-même mais je sens que quelque chose en vous a changé. Je sens l’âme du gardien et l’âme du créateur dans la votre. » Ujio continua de regarder la fille de Sarah, apparemment troublé par ce qu’il venait de dire.
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Cdt. Corbeau noir.
Respect diplomatique : 549
28/04/308 ETU 23:05
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Score : 6
Détails
Corbeau descendait les marches une à une, en méditant sur le dernier rapport d'Hadji. Le sujet était apparemment en pleine forme et il commençait à prendre directement contact avec des gens qui avaient des rapports avec son ancienne vie. Ainsi, il avait aussi put conserver des souvenirs... Une bonne nouvelle! Il avait en effet contacté Eléa pour apparemment lui parler de ses parents et de son amour perdu. Rien de très intéressant pour le projet en tout cas... L'escalier qu'il descendait était profond et silencieux et seul les quelques lampes branchées à la va vite au mur éclairait le passage. Corbeau était impatient... Si impatient... Ce projet qui avait vu le jour il y a de cela un bon bout de temps apportait enfin des nouvelles précieuses et intéressantes... Certes, tout n'était pas réglé mais l'aboutissement de ce projet marquerait l'arrivée d'une ère nouvelle... Il était enfin arrivé au bout de l'escalier en granit. Devant lui, des cuves illuminées par une faible lumière bleue ainsi que de très nombreux ordinateurs où des ingénieurs s'affairaient en silence. Seul un petit sifflement strident venait parfois troubler la quiétude du lieu. Corbeau s'avança et aussitôt, un homme sortit de l'ombre et lui tendit une liasse de papier en silence avant de se courber et de disparaitre à nouveau. Les rapports n'indiquaient rien de particulier... Les développements des autres sujets étaient apparemment normaux et tout se passait bien. Il s'approcha d'une cuve et caressa le verre en souriant. Oui, le projet Renaissance marcherait... C'était bien mieux que de tout détruire pour tout recréer tout seul... C'était bien mieux que les préceptes de l'Ombre... Ils allaient revenir et l'aider à mettre en place le Grand Oeuvre...
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Cdte. Witch
Respect diplomatique : 2607
29/04/308 ETU 10:21
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Score : 4
Détails
Eléa prit un verre de jus de fruit et la fraicheur du liquide lui fit du bien. Elle comprenait de moins en moins ce qu’elle faisait là, face à cet homme quelque peu mystique dont les paroles la surprenaient et l’embarrassaient… Les questions se bousculaient dans sa tête et elle sentait une méfiance instinctive monter en elle. Elle se racla la gorge pour se donner une contenance et reprit la parole. Pourquoi Quaideluz m’aurait-il fait de la peine en me parlant de mon père ? Vos réflexions sont bien étranges, Ujio. Mais laissons cela… Quaideluz est devenu un ennemi aujourd’hui, comme bien d’autres, et le passé n’explique pas toujours le présent. Vous voulez une rapide description de la Galaxie ? Je vais vous la faire à ma manière, qui n’est ni objective, je le crains, ni exhaustive. Eh bien… Espoir est scindé en deux groupes de pensée… D’un côté, les Ultrèmes et les Némésis, dont je fais partie, soit dit en passant. De l’autre, Ecume-Hurlante, le Saint Graal et l’Ordre des Gardiens, jusqu’à preuve du contraire. L’histoire est que j’ai été élue Chancelière d’Espoir une première fois et le Saint Graal m’a confiée la Capitale, comme il se doit. Lors de mon second mandat, ils ont tout à coup attaqué la Capitale et repris le pouvoir de communication sur l’Assemblée. Nous sommes donc entrés en guerre pour une certaine idée de la démocratie. Et les deux camps se sont peu à peu dessinés. Pourquoi ce revirement du Graal ? Je pense que mon rapprochement des Ultrèmes les a fortement déstabilisés. Ils ne voulaient pas me laisser une planète dans le secteur zéro, fusse t-elle la Capitale… Nous avions pourtant longtemps travaillé ensemble et ils me connaissaient. Il est probable que j’ai été manipulée… et ce n’est jamais agréable de s’en rendre compte. Je me suis alors retranchée avec les commandants fidèles à la démocratie dans les souterrains de l’Assemblée pendant plusieurs cycles en signe de protestation. Et vous me faites ressurgir au grand jour... Eléa était pensive… Ce rapide tour d’horizon qui éludait de nombreux détails, lui laissait comme un goût de cendre dans la bouche. Un goût qu’elle avait connu souvent…Elle reprit son verre et regarda Ujio comme si elle se réveillait d’un mauvais rêve. Vous ai-je été d’une quelconque aide ? Quant à vos élucubrations sur le créateur, le Gardien ou les châtiments, je crains d’y être hermétique. Je suis une Némésis et je sers la Déesse de la Vengeance. Ses châtiments sont justes et justifiés. Je suis désolée de vous décevoir : je ne suis pas Sarah et je ne suis même plus la gentille petite sorcière dont on pouvait faire n’importe quoi avec quelques caresses dans le sens du poil. Néanmoins, si je peux faire autre chose pour vous, vous savez où me trouver. Elle s’était levée sur ces derniers mots pour prendre congès et rentrer chez elle. Gaal devait l’attendre depuis quelques heures.
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Cdt. Ujio
Respect diplomatique : 59
29/04/308 ETU 11:03
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Score : 5
Détails
Ujio le regardait se levé, et commencer à partir mais il l’appela quand elle avait la main sur la poignée. L’homme se leva et alla vers elle. Il lui mit la main sur la joue, la caressant doucement sans que ce geste fut un signe d’un quelconque attachant à quoi que se soit. « Ma fille, la vengeance anime ta raison et ne te laisse pas agir de ton plain grée. Je ne peux rien faire quand à cela mais je peux simplement te dire que l’amour est plus fort que la vengeance. Je t’aime comme une fille Aléa mais tes idées sont des plus tyrannique à ce que je vois et la vengeance t’empêche de le voir. Tu sers des enfants du gardien et tu ne t’en rend même pas conte mais je ne peux t’en vouloir. Maintenant part et accomplit ta destinée car tu es fais pour cela au tout du moins tu penses que ta raison dans ce monde est celle-ci. Je ne peux rien faire pour toi et pour t’empêcher de faire le mal mais je peux simplement te dire que tu es dans mon cœur et que je prierais pour toi. » La jeune femme partit alors, en direction de l’homme qui l’avait emmené jusqu'au salon d’Ujio. Il ne pouvait s’empêcher de penser à cette femme. Toute cette vengeance dans ces yeux et cette haine. Elle parlait de démocratie mais ne sachant pas qu’elle se rapporte à une Oligarchie. Le vieux samouraï ne pouvait malheureusement rien faire mais il c’était juré de ne pas jamais lui faire du mal. La mort l’enverrait vers le gardien et il ne voulait absolument pas cela. Il allait tout faire pour la rediriger vers le créateur… Ujio se dirigea vers sa chambre ou était sa boite de X-COM. Il l’alluma et commença à écrire un message à Corbeau noir. Il ne savait pas du tout si il était impliquée dans sa miraculeuse survis mais il s’en doutait fortement étant donnée qu’il était le seule dans le système où il était réapparu. « Je vous salue mon cher Corbeau, Je me rappel encore les jours où nous allions dans le temple d’espérance dans un système reculé que j’avais trouvé. Les milliards et les milliards de tombe où nous allions nous recueillir mais vous avez penché vers le gardien je m’en rappel parfaitement. Maintenant je ne sais pas ce que vous êtes devenu, mais j’espère que le créateur vous a fais voir sa lumière. Maintenant en ce qui concerne ma soudaine réapparition dans cette galaxie éloignée de la notre je me demande si vous n’êtes pas à l’origine de cela. Je vous invite sur ma planète mère pour que nous discutions. » Il envoya alors le message en étant sur que le samouraï le verra le soir même. Quaideluz devait alors aussi venir. Se serais une rencontre qu’il ne faudrait pas louper ce disait le samouraï.
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Cdt. Quaideluz
Respect diplomatique : 1366 
29/04/308 ETU 15:23 |
Message édité -
Score : 7
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Placé dans un vaisseau furtif appartenant à un écumeur, Quaideluz s'était mis en relation avec les possibles agents pouvant éclaircir la situation actuelle sur cette planète de la frange galactique. Par quelques virements monétaires, il put cerner par des outils d'éspionage, au mieux l'auteur des trois messages. Ujio... un nom qui faisait remonter de vieux souvenirs, de très vieux souvenirs agréables, d'autres funestes. Quaideluz se rappellait de son ancien peuple, et cela lui faisait mal. Maintenant, il était pertubé par l'arrivée de ce nouveau commandant qui était en fin de compte , un survivant. Beaucoup de questions venaient accompagnées d'une mélancolie, d'une tristesse. Tout cela le gênait intérieurement. L'inéluctable devait se produire, le pirate allait le rencontrer. D'un geste, il ordonnait la descente. Plus tard, accompagné par deux gardes, Quaideluz fit son entrée dans la pièce, le regard fixe et un sourire narquois invisible. L'homme s'appelant Ujio, était assis en position de méditation, les yeux fermés, impassible à son arrivée. L'homme en bure se mit en face et s'assit comme son hôte, c'est à dire sur les genoux, le dos droit et les fesses sur les chevilles. Survivant, tel est votre état comme le mien d'ailleurs. Par quel caprice le destin vient mettre nos vies en liaison? L'avenir nous le dévoilera comme il sait si bien le faire. Votre arrivée m'a pertubé car les bulles d'un passé douloureux sont remontées à la surface de ma conscience. Le présent est rempli de sentiments contracdictoires avec des situations inextricables. Ma foi intérieure me pousse à espèrer un futur meilleur mais la raison me traite d'optimiste indécrotable. ha hahaa haa Le souci, c'est inconcienment de juger, me juger, entre le temps ou je vous ai vu la dernière fois et maintenant, qu'ai je fait? Ai je reproduit les mêmes erreurs? Ai je changé? Et en même temps, je connais votre aura, elle est toujours aussi forte. Celle-ci va t-elle nous guider vers un chemin d'apaisement, ou nous amener à affronter, d'une manière plus accrue, les démons que sont la guerre, la soif de pouvoir, la manipulation. Comme vous l'entendez, j'ai beaucoup de questions et comme je le sens, vous n'avez pas les réponses. Tous les deux nous dégageons des forces qui peuvent nous emporter loin et nous réduire à être des pantins. De toute ma volonté, je tâcherai de garder cette possibilité de choisir, et de le présenter aux écumeurs. C'est à ce moment là que le commandant Ujio ouvrit les yeux.
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