Cdt. Nawasiki Houchibida
Respect diplomatique : 153 ![]() 12/12/307 ETU 10:40 ![]() |
Score : 2
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Utsizummi notait sans relache. Son PAD a du être vidé deux ou trois fois. Pourtant, son disque dur était grand. Il était amusant de voir à quel point elle était ignorée de Melquiadès, il ne lui avit même pas offert une tasse! Quel gentilhomme! Mais cela ne la dérangeait pas. La discussion prenait un nombre de tournant étonnant et il fallait tout noter pour pouvoir ammasser des informations. Quand elle eu tout noté, elle en eu assez. Elle était resté trop longtemps. Elle se leva discrètement et partie, son départ ne fut en apparence pas remarqué. Elle se dirigea vers une salle où son frère avait visiblement fait des siennes.
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Cdt. Gluskab
Respect diplomatique : 41 ![]() 12/12/307 ETU 18:03 |
Score : 4
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Cela vint sûrement de l’odeur diffuse qui sortait de la pièce, mais Gluskab et les siens décidèrent d’un commun accord de faire une halte dans la permanence de l’équipé frairiesque du Sieur Melquiadès. Quand ils rentrèrent, des plumes précédèrent l’envolée d’une poule agitée ou de deux. Azeban et Oncle Toolba s’assirent de go dans la paille chaude. Azeban de dire discrètement « s’il est d’une même tempo que le vieux Peben, mieux vaut déjà se rapprocher du sol » et Toolba de pouffait. Gluskab s’accroupit. Il se focalisa sur le vieil homme à la peau plus tannée et plus fripée qu’un canoë ayant dévalé les précipices du levant arctique. Une certaine tendresse s’échappa d’un visage pourtant toujours impeccable du commandant. Traversé de souvenirs des milliers de contes des griots ou de son grand-père ou de son arrière grand-père. Il entendait presque le feu crépitait dans la tente. Il en avait presque oublié à quels points la loge à l’ordre chaotique, était remplie. Autant des accessoires, et autres escortes fagotantes que des visiteurs curieux d’un si étrange phénomène. L’exotisme attirait toujours sa foule et face à ces couloirs nets et vides aux alentours sophistiqués, un tel spectacle donnait aux ruelles champêtres, un avenir touristiques frais et attachant. Le vieux melquiadès semblait s’être donné les services d’un interprète droïde d’un modèle antique et même d’au-delà. À moins que son entretien tenait du miracle, rajoutant le charme familier de la pièce. Un chat était venu ronronnait à ses genoux avant de partir vers d’autres apophyses à frotter. Gluskab depuis une éternité, hésita sur ce qu’il allait faire à présent. Cela lui paraissait nullement utile de se présenter et casser le tumulte expressif omniprésent. Mais le respect qu’inspirait l’individu aux inssaisissables rainures de vieilliesse, donnait l’envie à Gluskab de se présenter presque comme un membre de la famille. Il décida cependant de s’asseoir plus confortablement comme un enfant qui vient écouter.
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Cdt. Melquiadès
Respect diplomatique : 110 ![]() 12/12/307 ETU 19:27 ![]() |
Score : 2
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Apothéose Et alors, l'aumônier baissa les bras et tout le monde applaudit. Le cercueil quitta la nef, s'engouffra dans le transept et disparut du regard des croyants. Pour nous, qui n'étions que deux parasites impies, le spectacle avait des relans de culpabilité mal digérée, que la lourdeur des statuaires et des fresques n'y arrangeait rien, et que toute cette bile biblique se devait d'être vomie le plus vite possible. Sans un mot pour les proches larmoyants, qui y trouvaient là leur dose de souffrance annuelle, nous partîmes nous réfugier Station Montgomery pour y boire un dernier café. Pierre avait rendez-vous avec la vie, moi avec la suite. Le trajet retour fût rapide, et le temps s'arrêta une fois descendu place Rochefort. L'aiguille perça ma peau en y faisant perler une goutte de sang noirâtre. Et dehors, au travers de la pluie naissante, parmi les façades grises de la métropole endormie, je devinais déja les brumes du Hollandais Roulant... " Melquiadès ! Melquiadès ! Melquiadès ! " Les poules, éveillées en sursaut par les éructations sonores de Chrétien de Troye, se dirent, une fois la surprise passée, que c'était plutôt idiot, une montre à gousset qui s'énerve du haut d'un pot de confiture. Le chat noir feula. Melquiadès ronflait. Avec l'âge, le vieux résistait de moins en moins longtemps aux mirages du lambik, s'égarant dans les limbes d'un sommeil peuplé de songes étranges. Chrétien de Troye, médusé, tira rapidement son épingle du jeu. " Honorables visiteurs, le Mzee semble éreinté par sa lourde besogne. Mais ne partez pas pour autant. Il est de coutume chez nous de faire la sieste quand on le désire, dans n'importe quel lieu que ce soit. Je veillerai à votre confort, et nous pourrons ainsi continuer à tisser les liens nécessaires à l'amitié entre nos peuples ! " Chrétien de Troye pavoisait. Il avait peu de temps. Sa tâche était ingrate, mais si le vieux Melquiadès pouvait encore se permettre de rêver, c'était grâce à son inlassable labeur diplomatique tenu dans l'ombre des narguilés et des cages à poules. " Honorables commandants, comme vous le savez, le Mzee Melquiadès est favorable à la création de liens forts et pacifiques entre les nations. Pour cela, nous arpentons les routes et les trous noirs avec nos fiers galions flottants afin de lier les peuples par les bons usages du commerce... ... nous pourrions collaborer dans ce noble domaine, n'est-il pas ? "
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Cdt. Gluskab
Respect diplomatique : 41 ![]() 13/12/307 ETU 00:14 |
Message édité -
Score : 2
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Etait-ce les brumes du narguilé qui envahissaient les rêves de Gluskab. Une mécanique cliquetait d’un roulis uniforme et une pensée fugitive s’élançait sur des rails invisibles par des fumerolles. « Toujours à l’heure » Se sentant, explorateur du monde des poèmes, il monta dans cette guinde de tire paléoantique. Il n’aurait pas été étonné de retrouver la montre à gousset, moulin à diplomatie, chantant des cantates sur le dos d’une poule auquel une étiquette de confiture à l’orange servait de culotte. Et le voilà parti sur un nuage. Voguant sur la mer des songes en compagnie de passagers iconoclastes dont les silhouettes se contrastaient parfois jusqu’à disparaître. Aux milieux, le vieux Melquiadès souriait à pleines dents. Enfin de ces arbres aux racines espacées. Du menton, le vieux lui montra le chauffeur du véhicule funambule. Pendant ce temps, Azeban, laissant son chef profité de l’accueil onirique, s’était approché de la mécanique plénipotentiaire. « Apparemment, c’est à toi qu’on s’adresse. Nous sommes ici aussi pour créer des liens forts et pacifiques. Le commerce, bien sûr, les services aussi. Nous sommes un peuple libre qui peut se permettre toutefois de prendre certains engagements si ça ne nuit pas à ces principes. J’entends par là que nous avons des possibilités qui peuvent sûrement vous apporter plus que les ressources de notre planète. » Regardant autour de lui, Azeban se rendit bien compte que les yeux et les oreilles galvaudaient les infos de toute part. Il détestait ça. « Bon, je vais pas m’étendre là-dessus, cher….euh, monsieur le diplomate interprète horloger. Le type qui rêvasse là-bas, c’est plutôt lui qui prend les responsabilités ultimes, d’habitude. » Et son chef qui baillait des deux paupières, c’est y pas croyables. Gluskab était en train de parler avec un squelette. C’était presque le plus familier dans l’histoire. Il avait l’habitude des visions, mais très peu dans ce genre d’engins qui ne reposait sur rien, surtout pas sur de la physique. La joie des visions ! Une tortue en costume de majordome faisait des mots croisées avec une cafetière. La cafetière était très forte. « Contenant ou contenu » les roues du véhicules grinçaient sur les volutes. Il ne savait pas pourquoi, mais il avait demandé au squelette, qui était le chauffeur, l’heure d’arrivée. Les yeux du vieux melquiadès avaient disparu derrière les rides de ses sourires. « Il se fiche de moi, ou quoi….à moins qu’il connaisse une histoire drôle. Tiens,…Une porte vitrée en petits carreaux, de chaque côté de laquelle la fumée de deux réverbères dessine des étoiles sur la muraille, viennent d’apparaître à l’horizon….ce serait pas du Honoré de Balzac ça ou alors du Jean louis Guez… Qui sont ces bonhommes ? . »
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Cdt. Melquiadès
Respect diplomatique : 110 ![]() 13/12/307 ETU 13:39 ![]() |
Score : 2
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Le vieux ronflait, et dans son rêve, il percevait le chagrin du monde. Les gens avaient peur quand on les aimait simplement. Melquiadès vivait sa clairvoyance comme une malédiction. Là où la psyché humaine avait suscité tant de passions, d'études et d'affrontements, il n'y avait pas de place pour la simplicité. Melquiadès faisait voler en éclats bien des formatages, se libérant chaque jour des petites boîtes et des étiquettes, évitant les pièges de la résignation, affrontant les autres, s'affrontant lui-même. Mais il demeurait un Don Quichote. Une galaxie flottait dans sa tête, et cherchait encore l'explorateur qui en dresserait la carte. Prophète ou quidam égaré, docte connaisseur ou carabin ignare, vivant constamment dans le doute des vérités acquises, Melquiadès avait fini par conclure que la plus grande sagesse était aussi la plus simple. Sa plus grande souffrance fût de constater un jour qu'elle ne pouvait être partagée comme il l'aurait voulu. Progresser, partager, s'enrichir. Il y avait consacré toute sa vie, toutes ses expériences, ses émotions et ses passions. C'était décidément trop simple. Quelques larmes irriguèrent le cuivre usé de son visage paisible. Melquiadès était un homme simple et perdu. Tandis que le matagot veillait jalousement sur son maître, les poules se lovèrent contre sa poitrine, recouvrant l'auguste vieillard assoupi d'un pourpoint de plumes. Tout ce petit monde somnolait avec fébrilité dans la moiteur des rêves contenus, attendant avec angoisse que le maître ne se réveille et ne dévoile les nouvelles merveilles que feraient naître son énergie retrouvée. Chrétien de Troye trancha. " Continuons nos entretiens en privé, voulez-vous, commandant ? " Réprime tes sentiments, Melquiadès. Il n'y a pas de place pour eux dans la froideur des marbres et l'indifférence des orateurs masqués.
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Cdt. Melquiadès
Respect diplomatique : 110 ![]() 17/12/307 ETU 16:12 ![]() |
Score : 6
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Lorsque les premières poules fusèrent du haut de sa loge pour aller s’écraser sur les bancs de l’hémicycle, Melquiadès n’avait pas encore réalisé qu’il venait d’inventer une nouvelle variété de kamikazes jusqu’alors inconnue des autres nations galactiques. La descente avait été brutale. Avec l’âge, le vieillard accusait de plus en plus mal les effets secondaires des champignons et des narcotiques qui entraient dans la composition du lambik. Son cri, surgi d’un rêve atroce où se répercutaient les éructations violentes des débats de l’assemblée, avait projeté son chat noir à l’autre bout de la pièce, accroché au plafond par le biais de ses griffes acérées, profondément engoncées dans le stuc et le plâtras. Se levant d’un bond, ne supportant plus le cynisme des déclarations de ses honorables pairs devant le pupitre, il surplomba l’assemblée de son balcon, et répandit une vague de jurons fleuris que Chrétien de Troye n’osa pas traduire. Voilà donc que les dévoreurs d’étoiles se ruaient maintenant vers la violence, la peur et la soif de pouvoir. Voilà donc qu’un commandant s’en prenait violemment à d’autres, les calomniant pour mieux leur marcher sur la tête, et cerise sur le kramiek, déclarer qu’il veillerait au bonheur de toute une galaxie mieux que quiconque. Une autre poule fût lancée d’un geste ample pour aller se planter bec le premier dans le fessier d’une représentante outrée. Non mais, c’est quoi ces babelages ? Diantre de diantre, d’où peuvent donc surgir tous ces dikkeneks ? Melquiadès était étranglé par une saine colère. Il ne supportait pas quand on brandissait les bannières cyniques du prosélytisme quand il s’agissait de mensonges et de frustrations inassouvies. Il ne supportait pas que la peur se mue en haine, que la haine se mue en violence, que le rêve céda la place à la mégalomanie, et que la sagesse périsse sous les coups du cynisme et d’une rancœur sans nom. Oui, il était injuste que Danceny et FatDonald soient ainsi accusés par Louis II. Oui, il était révoltant que Louis II récolte plus qu’il n’avait semé, et que la haine déversée à son encontre depuis longtemps déjà ne se déverse comme un torrent sur la galaxie entière. Melquiadès allait épuiser tout son volailler quand une brusque mélancolie s’empara de lui. Il était chagriné de voir qu’au fond, ces commandants illustres avaient simplement oublié la valeur d’une discussion franche et courtoise, d’un bol de lambik tiède et d’une franche poignée de main. Epuisé par son coup d’éclat, dont les jurons et les sermons étaient restés intraduisibles pour l’assemblée médusée, Melquiadès quitta la rambarde de son balcon, se blottit dans ses coussins, ralluma un narguilé, et donnant un coup de godillot sur le pot de confiture, invita Chrétien de Troye à prendre le relais. Et tandis que le vieux s’évadait déjà dans de nouveaux songes, fuyant la folie des hommes, la montre à gousset prit la parole par le biais d'un haut-parleur. « Commandants, Nous souhaitons vivement que la situation ne s’envenime pas pour si peu. Des planètes, des terres et des richesses, il y a en a plus qu’il ne le faut dans notre vaste et belle galaxie. Elles sont à la disposition de tous et de toutes. Et si il n’est pas toujours facile de modérer nos appétits respectifs, nous pouvons au moins tenter de les gérer sans tomber dans la surenchère et rester conscients que ce qui fait de nous des représentants de nations civilisées, c’est notre capacité de dialoguer et notre volonté de donner le meilleur de nous-même aux yeux de nos peuples, mais aussi des autres mondes qui enrichissent notre galaxie de leurs diversités. Nous souhaitons rencontrer dans notre loge les commandants Danceny, FatDonald et Louis II afin de modérer leur différent au détour d’un bol de lambik, dans une discussion dépassionnée et apaisée. Nous pourrons ainsi essayer de cerner les attentes des uns et des autres, et voir de quelle manière chacun pourra assouvir ses besoins sans pour autant entraver ceux des autres. Le vieux Melquiadès vous fait cette faveur, et bien qu’il soit désolé pour son bombardement à coups de volatiles, il vous fait dire qu’il y a des colères saines. Nous soutenons sur le fond les commandants Danceny et FatDonald, sans pour autant déconsidérer le commandant Louis II. Ne soyez pas naïfs, le vieux Melquiadès n’est pas un politicien. Avec lui, on appelle un chat un chat. Et il arrive parfois que le vieux distribue des roustes…hem du moins quand elles lui semblent justifiées. Soyez assurés de trouver dans notre loge un espace de détente et de causerie où l’objectif n’est pas de distribuer des piques et des gnons à son interlocuteur. Le lambik vous attend messieurs ! »
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Cdt. Neil Jors
Respect diplomatique : 617 ![]() 17/12/307 ETU 17:11 ![]() ![]() |
Score : 3
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Neil s'était esquivé momentannément de la loge du Mzee Melquiadès pour aller assouvir un besoin naturel particulièrement pressant. Il était sur le chemin du retour lorsqu'il entendit la violente bordée de jurons et le bruit mat des poules s'écrasant sur les bancs de l'hémicycle. Lorsque le silence fit soudain place aux "paroles" du Mzee, il s'élança vers la loge, dont il franchit la porte au moment où Chrétien de Troye commençait son allocution. Neil trouva le Mzee affalé sur ses coussins, têtant avec insistance un narguilé. J'attendais tranquilement que Chrétien de Troye finisse de parler hors de portée de Melquiadès: les poules volaient anormalement bas ces derniers temps. Le chat avait finalement réussi à se décrocher plafond, me dis-je en entendant et voyant une forme noir retomber lourdement sur les coussins. Une fois que la voix de Chrétien de Troye se fut évanoui, laissant timidement place au bruit des conversations dans l'hémicycle, je me penchais en direction du pot de confiture, trône maintenant légendaire de la montre à gousset: -"Excusez moi de vous déranger, puis-je rester et assister à la rencontre avec Louis II, Danceny et FatDonald?" Mon envie de rester était autant motivée par la curiosité de voir ces trois commandants face au Mzee que par la joie de pouvoir continuer à converser avec Melquiadès et Chrétien de Toye devant un bon bol de lambik.
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Cdt. Nerdil
Respect diplomatique : 55 ![]() 17/12/307 ETU 19:05 ![]() |
Score : 3
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Nerdil arriva alors. Comme d'habitude, personne ne l'avaient remarqué ( 1m65 ). Mais lorsque sa voix quand à elle toujours aussi imposante retentit alors quelques têtes par ci par là se retournèrent vers lui. Hum... Venont en aux fait plutôt que de tourner autour du pot à grain de poule... ( Pour Melquiedes ) Qui aura la capitale ? Vu l'évolution des commandants du secteur 1 il est net que c'est déjà choisis...Ne soyons pas hypocrites, les 3/4 des commandants de la galaxie ne pourront pas voter pour faute de technologie... Parmis vous, qui ce présente ? ( dites moi si j'ai loupé un épisode) Que comptez vous faire ? Un réel engagement s'il vous plait. De plus, vous continuez à dire que vous souhaitez aider les commandants de chaques secteurs, mais pensez vous qu'en colonisant chaques secteurs le plus rapidement possible vous les aideré à ce développer ? Non, ensuite vous pourrez mieux les écraser...( Je ne dit pas sa pour mois j'ai déjà un Empire Coloniale Tres grand ) Mais avouez, derrière cette bonté ce cache une énorme hypocrisie que nous essayons tous de préserver. Une jalousie, une ambitions. Et ça, nous n'y pouvons rien, nous sommes fait comme cela. Remède ? Aucun. Peut être faire une balance. Autrement dit, que les commandants qui se prettent à cette balance acceptent de partager de façon à ce que le plus de commandants possible aient accé à un petit Empire Coloniale. Se ruer sur les secteurs ne fera qu'empirer les choses. Je sais que lorsque j'aurais terminer de vous lire ce texte vous me répèterez les même choses. Oui. Mais réfléchissons à ce majeur problème.
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Cdt. Gérald FatDonald
Respect diplomatique : 598 ![]() 17/12/307 ETU 19:33 ![]() |
Score : 3
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"Nous n'avons jamais dit que nous étions bons et généreux. Je suis le dernier des radins, personnellement. Nous colonisons autant que possible, certes, c'est normal, mais nous ne sommes pas différents des autres, et notre stabilité politique a ses limites. De plus nous n'empiètons sur personne, puisque nous ne nous occupons que du secteur 0 actuellement. Ce que nous disons en revanche, c'est que nous ferons en sorte que des débats et une élection puissent avoir lieu pour décider du détenteur légitime futur de la Capitale. Nous n'avons pas d'autres ambitions, aucun projets de détruire qui que ce soit, donc il n'y a rien à craindre de notre "expansionnisme", qui n'est d'ailleurs pas exceptionnellement révoltant, je trouve. Nous avons accès à un secteur vierge, que feriez-vous à notre place ? S'il y a jalousie et peur de l'autre, elle ne vient pas de nous, mais de ces commandants qui nous attaquent, comme je l'ai déjà dit dans la salle appropriée. Nous ne pouvons rien faire tant que nous ne connaissons pas la réponse des agresseurs. Nous attendons que ces commandants se déclarent, car nous ne savons même pas qui est contre nous dans notre secteur, tant cette attaque fut lâche. Nous attendons aussi de savoir s'ils se rétractent et acceptent de commencer des débats plus utiles et plus urgents, ou s'ils souhaitent poursuivre leurs attaques. Si la deuxième option devait prévaloir, nous aimerions savoir clairement pourquoi et nous aimerions savoir qui est notre ennemi. J'ajoute qu'actuellement, je viens tout juste de commencer à sécuriser mes PC. Je n'ai encore attaqué aucune planète "ennemie", ni aucun PC sur lequel je n'avais pas ma place. Nous ne faisons que nous défendre actuellement, dans l'attente. Nous ne voulons pas pousser plus loin un conflit aussi absurde sans savoir pourquoi, ni qui attaquer. Nous ne pouvons nous permettre de faire encore plus de morts inutiles."
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Cdt. Danceny
Respect diplomatique : 603 ![]() 17/12/307 ETU 22:19 ![]() |
Message édité -
Score : 6
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La position de Mistival est très simple et claire : nous ne voulons ni du pouvoir, ni de la capitale, ni des planètes de contrebande et souhaitons simplement vivre en PAIX en apportant la Liberté Absolue. Face aux accusations comme quoi nous nous réservons les voyages extrasectoriels, je réponds FAUX. Mistival est actuellement en pourparlers pour fournir des prototypes de matrice de saut extra-sectoriel à certains commandants que nous jugeons digne de confiance. Vous n'êtes pas sans savoir que les pré-requis pour cette technologie sont nombreux et nous les offrons depuis toujours en version déverrouillées. Comme quoi, la rétention technologique est encore une belle invention fabriquée je ne sais où, les commandants Nerdil, Jors, Fanoa ou même Nemusar pourront en témoigner. Maintenant venons en à ce cher Louis II qui se fait si timide. L'orbite mistivalienne a assisté ce matin à une magnifique attaque-suicide de la part de l'Amirauté de Bavière qui s'est magistralement jetée sur nos défenses qui les ont taillés en jolies petites étincelles chatoyantes. Face à cet acte belliqueux, qui n'a toujours pas eu d'explications, je reste ferme et déterminé. Mistival ne partira pas en guerre. Cela n'est pas nos manières, encore moins le coup de poignard dans le dos à la Louis. Heureusement que la coordination entre les membres d'Orinis ainsi que la loyauté disons "flexible" de certains de ses membres nous ont permis de préparer à plein potentiel nos défenses pour éviter des pertes mistivaliennes. Nous ne ferons que nous défendre. Nous nettoyons les PC de toute présence de Louis II là où il n'a aucune légitimité. De plus, Mistival a décidé de frapper d'un embargo commercial les membres de la coalition Orinis. Il n'y aura aucune transaction pour la matrice à hyperfusion avec ces terroristes jusqu'à explications et pacification du casus belli. Et puisque nous sommes dans le "Hall de la Gloire", je décerne personnellement la Médaille de l'Incompétence au Commandement au commandant Cross qui s'est montré incapable de réussir le pillage d'une planète glaciaire aussi bien défendue qu'une prostituée gratuite dans le coma ... Voici tout ce que j'ai à dire sur la situation actuelle. Je laisse les commandants de tout horizon juger par eux-même les faits et les actes. Je reste cependant curieux d'entendre des explications ou des excuses de la part de Louis, et lui réaffirme ma volonté de PAIX.
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