Il était une fois dans un lointain Secteur, pas si lontain, Futuria ... Un Empire Sectoriel étant constitué de 40 planétes se dispersant sur l'ensemble de ce Secteur et où des flottes devaient surveiller l'ensemble de la Vie vivant en ce Secteur. Et voilà qu'une surprise incroyable arriva, Un Commandant apparu, Puis Deux, Puis Trois et d'autres, violant ainsi l'interdiction de colonisation du Secteur XI. Ainsi Futuria envoya dans une intelligence certaines des demandes de suicides à l'ensemble des commandants ayant prit la peine de prendre le commandement de planétes, sans demander l'autorisation à Futuria. Cela était grave, cela fut évidence.

Ainsi Futuria commenca à exterminer des commandants, mais à chaque fois qu'un Commandant venait à disparaitre, un autre venait à apparaitre. Alors que Futuria fut pendant longtemps la seule à diriger le Secteur, on viola ainsi sans autorisation, son Territoire Impérial Sectoriel, en prenant le contrôle de planetes qui même si elles ne disposaient de son pavillon, était à elle. Car sur les 40 Planetes qu'elles disposaient, les 400 en réalités devaient obéissance et non Gouvernance. L'Apparition de Commandants étaient donc une violation de l'interdiction de Colonisation. Futuria hésita même à ouvrir le Secteur en guise de punition.

Neanmoins, Futuria décida dans un premier temps de faire usage d'avertissements via des invasions non destructrices ou des echanges XCom, même si il était clair, qu'il faudrait qu'un moment que Futuria massacre ses Commandants. Pour l'instant, Elle avait massacrer 10 Commandants, cela semblait peu, mais dans une Galaxie où les Commandants étaient peu nombreux, cela était quand même assez bien. Futuria pouvait se sentir assez satisfait de son petit nettoyage, cela était assez propre.

Pour l'instant, la vie se limitait à 3 Systemes, Futuria avait fait usage de la Force pour éviter que le Secteur tourne à une production de Commandants qui l'auraient remplit totalement. Ainsi, Futuria avait réussit à réduire de moitié les systemes où des commandants auraient prit le contrôle. Futuria avait dans l'intention assez honorable d'éliminer rapidement les Commandants des 3 systemes.

Seul Futuria avait le droit de vivre en ce Secteur, les autres devaient se suicider pour avoir pris le Commandement sans son autorisation, sous peine de voir leurs peuples être massacrer jusqu'au dernier via un usage assez brutale de kamikases par vagues de milliers. Futuria devait faire respecter son autorité, même si le sang devait couler comme du ketchup sortant de sa bouteille.

Ainsi est Futuria, Ainsi Futuria est.

Bienvenu à la valeureuse Commandante Futuria.

Puisse votre présence nous assurer un futur de paix.

Veuillez nous exposer votre situation que nous puissions savoir de quoi il en retourne !

Si vous n'ecoutez pas, nous ferons un génocide sur votre peuple. Alors veuillez faire un acte de Suicide rapide, propre et net ... et votre peuple vivra. Sinon des milliers de kamikases tomberont sur vos tetes et cela risque de faire mal.

Heu... Comment sauver sa vie en se suicidant?

Je pense que vous devriez garder toutes les preuves des actes de Futuria. Cela peut toujours servir !

Il n'y a pas d'assemblée sectorielle dans votre secteur?

Ainsi les commandants prirent le Narrateur pour une voix que les personnages ne pouvaient à evidence pas entendre, si ce n'est par des élements extérieurs à leur monde. Cela était un paradoxe monumentale, car Futuria n'avait jamais pris la parole, si ce n'est le Narrateur racontant son histoire. Neanmoins le Narrateur décida de repondre, il fallait être polit hein.

Chose incroyable quand on sait qu'un ecrivain n'est pas censer repondre aux personnages de l'histoire, surtout quand ils sont secondaires. Il prit la voix de Futuria, et prit le temps d'écrire les lignes racontant le discours de Futuria, qui devait à l'evidence repondre à cela. Enfin le Narrateur est habitué à franchir les deux frontieres du réel et de l'irréel, se mettant souvent dans une situation complexe et delicate. Ainsi l'encre coula et les paroles commencerent à se diffuser dans le monde imaginaire :

Je trouva ses lignes mélodieuses, elles n'étaient pas digne d'un roman ou d'une nouvelle populaire, mais les mots furent simples à comprendre, ils furent simple à lire. Et au fond, cela ne suffisait il pas. Car si ils existaient des personnages, ils existaient sans doute des lecteurs et mes lignes se devaient d'être compréhensible pour tous. Les mots n'étaient pas délicats, assez peu détaillés et cela manquait à l'evidence d'une mise en page correcte, mais cela fut assez suffisant dans le cadre d'une ebauche manuscrite.

Ainsi l'encre avait coulait, Futuria put parlé, les personnages entendre une voix OFF invisible, laissant incompréhensible les lecteurs, Paradoxe d'une situation improbable d'un ecrivain pacifiste jouant un Empire de Guerre. Ainsi fut la réponse.

L'ecrivain ecriva, Futuria parla, les personnages entendirent et les lecteurs lirent.

écriva = écrivit?

Bien, nous allons prier pour ces malheureux voué à la mort à cause de l'égoïsme d'un peuple qui en prenant 40 planète se croit possesseur de 400.

Et nous prieront également pour ces oppresseurs aveuglés parsa propre superbe.

Superbia, euh pardon Futuria, éviter d'ouvrir votre secteur alors car je pense que vous risquer fort de gagner au jeu du Kill...

Le Narrateur dispose du droit d'écrire les mots comme il le désire et s'étonne de pouvoir être entendu par des personnages ne pouvant pas le faire, quel est ce paradoxe etrange ? Le Narrateur est etonné, comme pourrait l'être un Harold Crick. Cela etonnerait l'auteur et écrivain, qu'il soit en réalité dans le même monde que le votre, tapant sur une machine à écrire décrivant les actes d'une Futuria existante réellement, cela serait etrange non ? Ainsi l'ecrivain est il meutrier ? Le Narrateur ne désire pas le savoir.

Sachant que le narrateur ecrivant, devient l'auteur d'une irréalitée réelle ? Compliqué tous cela ...

Mais à defaut de comprendre si tous cela est vrai ou non, le Narrateur va continuer de faire massacrer des peuples par Futuria, dans l'intérêt d'assurer son existence, car si elle ne le fait pas, ils le feront. Ainsi Futuria permet via ses massacres d'empêcher son propre massacre. Ainsi le Narrateur prit son crayon, il prit sa gomme pour retirer le pavé d'explications et inscriva simplement :

Concernant les problemes d'orthographes, grammaires ou autres, le Narrateur fut étonné que des personnages puissent lire ses propos, mais aussi qu'ils puissent communiquer avec lui. Paradoxe : L'impossible était possible.

Ce qui m'étonne c'est un écrivain qui narre un sujet aussi trivial et banal qu'une commandante égocentrique qui n'accepte pas de partager son espace avec d'autre et ait recours au meurtre.

Franchement, il y a mieux à faire ....