Cdt. Alderak
Respect diplomatique : 174 ![]() 14/10/1018 ETU 05:53 ![]() ![]() |
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Score : 11
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Cruelle et odieuse Galaxie, l'heure est enfin arrivée... Des hurlements retentissent au loin alors que la silhouette de la créature vient tout juste de se manifester. Alors que les cries résonnent de plus en plus en fort, l'obscurité, qui jusqu'ici s'était toujours montrée mouvante et vagabonde au gré des oscillements de lumière, converge vers le centre de la pièce. Celle-ci donne alors partout ailleurs une pâle clarté faisant office de contraste marquant avec ce qu'il en était jusqu'ici. L'intention est claire : laisser entrevoir ce qui allait se présenter. Les portes s'ouvrent, et alors les odieux hurlements prennent tout leur sens : un défilé d'horreur et de souffrance. Des créatures innommables en cages, des esclaves enchaînés, ou l'inverse. Ou les deux à la fois, les premiers n'hésitant pas à se rassasier des seconds. Se remarque quelques silhouettes ténébreuses semblant se glisser au travers cet odieux spectacle. Mais surtout... le siège. Celui-ci est amené jusqu'à la part d'ombre centrale, ou plutôt pour les cruels pinailleurs : celui-ci s'y porte tout seul. Il dispose d'une multitude de jambe : c'est un amalgame d'humains cousus entre eux à même la chair, et 'sculptés' pour correspondre à la forme d'un siège. Dans des positions qui semblent toutes avoir été réfléchies avec la pire des cruautés pour contraindre chacun de ses éléments à une souffrance atroce, les attaches de la chair se tirant en permanence entre elle à chaque déplacement, et des membres rabotés à la pelle pour correspondre aux dimensions parfaites. Toute l'expression artistique Seigneuriale en somme. ... je décrète le Marché des horreurs ouvert. Les piteux esclaves et monstres que vous voyez ici ne sont pour l'instant qu'une douloureuse mise en bouche, nous savons tous ce que vous attendez cruellement, le douloureux plat principal : nos chères invités venus de loin. Infamie et cruauté, enfin. L'acquisition définitive de ces douloureux produits se fera après leur douloureux étalonnage de qualité. Étalonnage dont vous serez les douloureux maîtres, et sur lequel vous serez alors odieusement convié à participer. Mon odieux serviteur vous en expliquera cruellement les détails en même temps que les odieuses modalités des cruelles animations qui viendront, un Seigneur n'est pas là pour parler de tels futilités... mais de souffrance. De pure et odieuse souffrance. Le siège est enfin arrivé jusqu'à la part d'ombre de la pièce, non sans laisser dans son sillon un flot de sang et de chair. Difficile de voir ce qu'il en est précisément dans la pénombre, mais les gémissements de douleur semblent indiquer que le Seigneur vient de s'y asseoir. Parle. Cruelle Galaxie, soyez les bienvenus ! Notre bien aimé et cruel maître m'a gentiment convié à vous conter tous les détails de cette odieuse vente qui s'ouvre à vous ! L'homme aux caractéristiques bien reconnues sort de nul part. Sa transition est parfaitement suivie avec la fin du cruel murmure, un véritable travail de pratique. Son grand sourire est toujours de mise, si ce n'est même plus radieux que la première fois... Voici comment se dérouleront les ventes : tous les dirigeants libres disposeront à partir de maintenant d'un délais de 3 cycles pour classifier par ordre décroissant leur cruelle préférence d'acquisition d'esclave, selon une liste que je donnerai pour suivre. Cette cruelle classification pourra être donnée ici, en publique, ou bien en privée, par Com-X à la coalition Banque Seigneuriale. A la fin de ce délais de trois cycles seront alors publiquement fixé les prix pour chacun des produits, qui seront douloureusement proportionnel à la convoitise qu'ils suscitent : l'odieuse et cruelle loi du marché en somme. Dans sa grande cruauté, le Seigneur Alderak vous informe tout de même qu'il fera en sorte que ces derniers soient cruellement abordable pour tous, ne voulant refuser à d'odieuses personnes une telle opportunité de dispenser souffrance à autrui. Si bien que le nombre d'esclave Extra-G sera odieusement limité à un par dirigeant libre, du moins au début : soyez généreux, partager la douleur un maximum nous devons ! Alors, après tout ça s’effectueront les cruels achats, là encore par ordre croissant de douloureuse préférence : les futurs maîtres en concurrence sur un produit s'affronteront dans un cruel jeu d'enchère où les monnaies conventionnelles seront acceptées... tout autant que la souffrance ! Vous en saurez douloureusement plus quand les cruelles prix seront fixés. Cruelle règle à donner si il en est, sachez que votre liste devra douloureusement être suivie dans votre acquisition d'esclave, tant qu'aucune offre n'a été donnée sur un des produits en haut de votre liste, vous vous devez de proposer au moins le minimum sur celui-ci avant de pouvoir passer à un cruel autre produit si un concurrent met plus : cela évite la douloureuse falsification du mensonge sur vos désirs d'achats pour réduire artificiellement la valeur d'un esclave que vous souhaiteriez acquérir ! Et si un produit est douloureusement indisponible pour cause de dissidence, n'ayez crainte qu'un cruel jeu les concernent particulièrement : une douloureuse et odieuse chasse Extra-Galactique ! C'en est tout pour les dirigeants libres, maintenant, esclaves, c'est à votre tour de m'écouter ! ... tout autant que plus faux. Souvenez-vous, il n'a plus envie de sourire. Et pourtant, se retrouve dans toute son expression tout le talent de la comédie, précisément la raison même pour laquelle il occupe ce poste. Esclaves ! L'horreur que vous allez vivre sera immonde, mais votre persévérance dans la douleur ne sera pas perdue ! Vous commencez tous avec une période de 41 cycles d'asservissements, 39 pour l'une d'entre vous, et de cruelles opportunités de réduire drastiquement cette période existeront à travers les douloureux jeux... mais pas que ! En respectant la volonté de votre maître, vous n'approcherez que plus rapidement de ce cruel moment où vous serez enfin libre, alors qu'en la refusant, elle n'en sera que plus longue et douloureuse. Pensez d'ailleurs à payer le cruel impôt vous concernant, et à douloureusement passer Partisan du cruel gouvernement que vous apprécierez tant... car autrement, voir sa période d'esclavage s'écouler deux fois plus lentement risque de rendre votre cas vraiment plus douloureux ! Mais pour en revenir à votre condition, pour ceux qui seront irréprochable dans leur odieuse docilité : très rapidement, l'opportunité de sortir de leur cachot pour disposer d'une cellule plus grande, soit un secteur entier, leur sera offerte ! Des jeux bien plus intéressant et cruels leur seront imposés avec leurs maîtres qui y seront aussi invités, mais vous vous y retrouverez de manière douloureusement plus agréable pour votre peuple qui pourra disposer sur place de mondes de cruelle qualité, qu'ils pourront d'ailleurs conserver même après leur douloureuse période d'affranchissement. Alors réfléchissez-y cruellement... en attendant, vous avez aussi à travailler sur votre odieuse condition, et ce même avant votre cruel achat ! Identiquement à la période de 3 cycles dont disposeront vos futurs maîtres pour vous classifier par odieuse qualité, vous en disposez d'une similaire pour douloureuse expliquer ici pour quelle raison un cruel acheteur devrait faire votre acquisition... ou ne le devrez pas, oh oh oh ! Et un produit qui fait sa propre auto-promotion, voilà quelque chose qui plait douloureusement au Seigneur Alderak ! C'est pourquoi il vous informe que tout esclave qui en fera douloureusement une réduira sa période d'asservissement non pas d'une, non pas de deux, non pas de trois non plus, mais oui, bel et bien de 4 cycles ! Quelle douloureuse sympathie, saisissez là sans hésiter ! J'en reviens maintenant à nos chères et cruels futurs maître, je vous partage à présent l'odieuse liste à votre disposition : L'esclave Maoxi L'esclave Hans Stuckart L'esclave Ariania L'esclave Leomiuss L'esclave Argréon L'esclave Karam L'esclave Ludmila Marszalek L'esclave Istalrl L'esclave Harley Quinn L'esclave Hamilton L'esclave Alexia Nilsen L'esclave Olorìn... D'ailleurs, après cela, je me permets de vous dire q... Tais-toi. Le murmure cruel tombe comme un couperet dans la phrase. L'homme ne semble pas étonné, et salue respectueusement la part d'ombre centrale, avant de se retirer discrètement de là où il était venu. Cette fois-ci sans sourire. Beaucoup de cruelles explications, bien suffisantes pour l'instant. Vous avez douloureusement entendu la forme, certes importante... mais qu'est ce qui pourrait l'être plus que le fond ? Mes cruels mots sont là pour vous le donner. Certains pourraient se poser l'odieuse question de ma présence ici alors que mon cruel serviteur pourrait se charger de toute cette cruelle animation... et cette douloureuse interrogation serait censée... douloureusement censée. Mais la réponse l'est cruellement plus. Des hurlements résonnent du siège, la terrible créature se lève, son regard perce encore dans les ténèbres. De tout ce qui va se passer par la suite, certains pourraient avoir l'odieuse idée qu'il ne s'agira que d'un simple divertissement. Non. Les êtres que vous allez pouvoir acquérir ici... seront en quelque sorte cruellement liés à votre personne... car la souffrance que vous leur imposerez ne sera jamais étrangère à notre odieux futurs à tous. La douleur forge l'existence, et plus que jamais, vous vous devrez d'en avoir conscience et de cruellement le comprendre... et ainsi de devenir vos propres Seigneurs par les faits. Je veillerai d'ailleurs cruellement en ce sens à ce que chaque esclave soit douloureusement obéissant envers ses maîtres... et à horriblement agir si il en était autrement. Souvenez-vous : ce ne seront rien que des objets, cruellement soumis à votre odieuse volonté. Vous disposerez d'un odieux droit de vie et de mort sur ces derniers... un mot, un unique et cruel mot, pourra suffire à les renvoyer définitivement de là où ils viennent. Un silence s'impose alors. Le flottement est oppressant, car rien ne s'entend, mais tout se ressent désagréablement. Pour que la douleur et la souffrance dominent. Que la cruauté et l'infamie règnent. Que l'horreur et les ténèbres imposent. Je suis là pour entretenir le cauchemar. Il est déjà trop tard. La cruelle et odieuse satisfaction de la créature se ressent alors encore dans cet ignoble sourire monstrueux, dont toute l'intrigue ressort sur le pourquoi du comment celui-ci arrive à percer les ténèbres. Un odieux murmure conclue alors qu'elle se rassoit sous les hurlements. Je vous souhaite un douloureux et cruel Marché des Horreurs à tous.
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Cdt. Argréon
Respect diplomatique : 12 ![]() 14/10/1018 ETU 16:37 |
Score : 9
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Argréon prit connaissance à contre-cœur de la prise de parole d'Alderak. Lorsqu'il eut lu toute l'intervention il prit la parole : "Mais qu'est-ce qu'il nous fait chier ce trou du cul ! Tu vas voir la pub que je vais te faire gros connard de mes deux !" Un des conseillers qui se tenait à côté voulut agir, mais Argréon lui administra une gifle si puissante que le conseiller s'affala par terre. "Alors voilà mon petit connard lâche, prétentieux, et dénué de toute cervelle. Je suis l'EMPEREUR Argréon, qui va ta faire vivre un putain de moment, prends-moi pour toi, et tu vas voir que je vais broyer tes bourses dans mes mains de manière à ce que tu me supplies de prendre toutes tes putains de possessions, ta putain de capitale, et là encore, je ne t'aurai pas lâché, tu devras également enfiler un putain de tutu rose, et lécher le cul de toutes les personnes que tu auras fait souffrir. Et ce ne sera pas encore fini, car pour te souvenir de tes méfaits j'installerai sur tes bourses puantes un appareil qui les serreront toutes les heures jusqu'à la limite de ton endurance de manière à ce que tu t'en souviennes. Quand tu n'auras presque plus la force physique de me supplier, j'enlèverai l'appareil, je couperai ton paquet avec un couteau mal taillé, et te forcerai à regarder lorsque je donnerai cela aux hyènes du zoo. Ensuite, je te ferai attacher à une table de torture, et te viderai les entrailles en commençant par ce qui n'est pas nécessaire, je les brûlerai devant tes yeux, et une fois que ce sera terminé, qu'il n'y aura que les entrailles nécessaires à la survie durant les quelques minutes qui resteront, je te libérerai avec toute la clémence qui sied à un personnage de ton envergure. A ce moment-là, tu n'en auras plus que pour quelques minutes, mais afin de te donner un compagnie plaisante, je t'emmènerai voir au zoo les asticots. De là, tu mourras dans d'atroces souffrances, et je ne pourrai plus rentrer, car j'aurai malencontreusement oublié les clés de la cage. Oups." Le conseiller qui était à terre se releva en se massant le front et regarda l'écran. Argréon lui jeta un œil et reprit : "En tout cas, ne compte pas sur moi pour faire ta connerie, on a des avancées technologiques dont tu n'as pas idée, et le temps que tu viennes ici, je serai déjà parti. Tchao !" Il éteignit l'hologramme et se tourna vers le conseiller. "Désolé pour la baffe, mais j'aime pas être dérangé quand je parle." Le conseiller bafouilla un excuse mais Argréon le coupa : "Prêt à partir ? Tout est en ordre ?" Le conseiller lui répondit : "Oui Sire, les bunkers ont été placé sous le régime automatique, et les robots travaillent déjà au quotidien. Le détonateur est prêt, et il explosera quand la limite sera franchie comme prévu, ça risque de faire des dégâts si Alderak arrive, ou un de ses copains, quel qu'il soit. Tout le monde est déjà partit autrement, il ne reste que nous. La machine de Dame Ariana fait des miracles vous savez, heureusement qu'elle nous en a fourni un paquet." Argréon fit un signe d'assentiment de la tête, et partit dans la pièce voisine. La pièce était composée d'un système informatique complexe ainsi que d'une machine ressemblant à une cabine de douche primitive à ceci qu'il n'y avait pas de pommeau de douche à l'intérieur. Le conseiller y entra, ferma la porte et appuya sur un bouton. Quelque seconde plus tard, la porte s'ouvrit sur du vide. Argréon pianota le système informatique, puis y inséra une clé. De là, il pianota encore quelques secondes. Une voix se fit entendre : "Auto-destruction programmée. Modalités de contrôle enclenchées. Destruction des données dans 50 secondes." Argréon retira la clé et se rendit dans la cabine. Il regarda encore une fois la salle puis referma les portes. Il attendit que le système se désagrège ce qui arriva, il vit de la fumée s'élever du complexe, et il appuya sur un bouton qui le transporta directement dans un autre lieu. La pièce, quant à elle, explosa littéralement, dispersant en innombrables morceaux la machine.
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Cdt. Roi de l'ombre
Respect diplomatique : 102 ![]() 14/10/1018 ETU 18:40 |
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Score : 4
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M’ooooh, Ce petit esclave gras souillé est très, Hummm, Divertissant ! Ajouté le donc à ma liste Seigneur ! Ce sera un plaisir pour moi que de faire une chasse avec ce petit bonhomme. Il sera une proie idéale ! Je suis certain qu’il ne court pas vite, Il a l’air si, vieux, Ouuuuh Je l’aime déjà !
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Cdt. Hamilton
Respect diplomatique : 1743 ![]() 14/10/1018 ETU 20:13 ![]() ![]() |
Score : 5
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Quelle déception!! ce pauvre xenomorphe qui veut un petit roi grassouillet comme victime Aurait il peur de se frotter à autre chose que des adversaires enchaînés?? Tu veux jouer petit alien?? Je te défie Toi contre moi, tes prédators contre mes soldats Le Myxomateux nous enferme dans un secteur, un systeme chacun, et on s'explique... Mais, mon petit doigt me dit que tu oseras pas.... Petit scarabée....
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Cdt. Roi de l'ombre
Respect diplomatique : 102 ![]() 14/10/1018 ETU 22:19 |
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Score : 3
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Oh Oh Oh ! Un défi, Non Non Non, Un duel Non Non ! Une chasse ! Vous commencez à me plaire ! Toutefois, Je ne prétend pas être un champion du combat, de la stratégie ou autre, je ne recherche que de l’amusement ! Je vous propose le défi suivant. Vous, et moi, dans un seul système, si je gagne, vous me servez loyalement jusqu'à la fin de votre période « d’esclave » et ainsi, nous chasserons ensemble le petit gras souiller ! Jusqu'à sa mort En revanche, si vous gagnez, je vous achète au marché ! je vous offre 30 planètes, et vous pourrez terminer votre période « d’esclave » tranquillement sur l’une de ces 30 planètes, sous la protection predatorienne évidemment ! Les règles sont simples, Acceptez-vous ? Et vous Seigneur ?
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Cdt. Hamilton
Respect diplomatique : 1743 ![]() 14/10/1018 ETU 22:32 ![]() ![]() |
Score : 5
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Ce que vous n'avez pas compris toi et le Myxomateu, et encore "lui" il fait "semblant" de pas le savoir, c est que je ne suis pas votre esclave, et jamais ne le serai Le dernier a avoir tenu ce genre de propos, régnait sur la Galaxie précédente avec sa bande de fou sanguinaires. Et disons qu’après avoir menacé quelques extra G comme vous êtes en train de le faire, et bien, ils ont eu des petits problèmes. Le genre de problèmes que tu n'aimeras pas petit scarabée... |
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Cdt. Roi de l'ombre
Respect diplomatique : 102 ![]() 14/10/1018 ETU 22:57 |
Score : 2
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Tu refuse donc mon offre, Tempis ! Le Roi leva ces yeux au plafond Des menaces, encore et toujours.. Je commençais à vous appréciez ! Mais bon, Dommage, Tempis, M’enfin ! Je vous ai offert la possibilité de sauver le petit gras souillé, maintenant il va juste mourir, de votre faute. Je vous laisse donc sur votre caillou, sa provoque pour ensuite fuir ! Et après elle ce vente de toute ces victoires ! Ohlala M’enfin, Je ne souhaite pas déclaré la guerre à une nation aussi grande est valeureuse qu’est la votre ! Je ne recherchais qu’un simple duel pour me divertir. Votre peuple débarque dans cette galaxie, claque dès pieds pour avoir des terres, des ressources, des leems, le gouvernement propose à ceux-ci de travailler pour avoir des terres ! Et ils refusent ! Ohlala ! Je m’égare, je dévie du sujet, c’est tout moi sa hein ! Pas vrai ? Regarder, la dernière fois, j’étais en pleine séance de sexisme avec une esclave, j’ai commencé à parler, je me suis énervé tout seul, je l´ai tué ! Alors qu’elle n’avait pas dit un mot, La malheureuse.. Il y a des avantages à être Roi ! La preuve, cette esclave humaine a étais jeté dans l’espace, et une nouvelle a aussitôt pris sa place ! Quelle vie Ohlala, je m’égare encore, Ouff, j’commence a être fatigué moi..
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Cdt. Hamilton
Respect diplomatique : 1743 ![]() 15/10/1018 ETU 08:12 ![]() ![]() |
Score : 2
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Mon offre tient toujours petit scarabée, et à mes conditions Un système chacun dans un secteur comme terrain de jeu. Qu’y a-t-il que tu ne comprennes pas ? Serait-ce une question de compétence ? Un secteur serais ce trop grand pour toi et tes Predators ? Pour ce qui est de la proposition du grand sachem actuel, tu sais, celui qui se brûle les yeux sur slaveporn.com, et bien ce n’est pas vraiment ce que tu décris… Je ne vois aucune proposition, que de l’imposition (dans tous les sens du terme) Le fait est que vous avez peur, que vous faites dans vos culottes à la simple idée que nous puissions mettre fin à votre main mise sur cette galaxie. C’est bien dommage car c’est ce qui arrivera quand même, et c’est vous qui le provoquez. Accueillez aidez, vous n’aurez qu’à y gagner Continuez ainsi, et vous écrivez votre fin
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Cdt. Olorìn...
Respect diplomatique : 599 ![]() 15/10/1018 ETU 12:14 |
Score : 7
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Olorìn pénétra dans la salle. Sa démarche était lente et assurée. Elle prit bien le temps de fixer chaque hologramme présent, et finit par s'arrêter au milieu de la pièce. Elle était toujours vêtue d'une tenue noire, qui moulait parfaitement ses formes. Elle se baissa pour resserrer les lacets de ses rangers et commença à parler. "Bien. Cela fait un moment maintenant que je dors, et j'ai besoin d'un peu d'animation. Et vu que vous nous en proposez... Pourquoi ne pas en profiter, hein ? Surtout qu'on l'a attendu, votre marché des horreurs. Vous ne me semblez pas être la personne la plus ponctuelle de cette galaxie. Vous n'atteignez pas le niveau d'Alen, mais quand même..." Elle se releva, et entreprit de rassembler ses cheveux en queue de cheval. "En revanche, avant de commencer, j'ai une remarque importante à faire... Seigneur Aldi, vous mettez en place des jeux du cirque pour votre propre plaisir, toussa toussa, et il me semble avoir bien compris que nous ne sommes pas en démocratie. Si toutefois vous connaissez le mot." Sa queue de cheval finie, la rouquine lissa ses vêtements, se redressa, accentuant sa cambrure, et croisa ses mains dans le dos. "Cependant, je trouve inadapté, même pour un... Truc tel que vous, de permettre le coup des listes en privé. Qu'est-ce qui me prouve, à moi, que j'aurai remporté le plus gros des suffrages ? Mmmmh ? Ou l'inverse, mais j'en serai déjà plus étonnée... Non, franchement, si vous voulez que votre marché ait un minimum de crédibilité, vous devriez n'accepter que les suffrages exprimés ici-même, en public. Cela devrait être les seuls qui devraient avoir de la valeur à vos yeux." Elle marqua une pause et eut un sourire rayonnant. "Vous ne voudriez quand même pas passer à côté d'une occasion d'humilier publiquement vos ouailles, quand même ? Ce serait indigne de vous... Permettre à des commandants de participer à votre marché, sans que tout le monde en soit témoin ? Ttttt, ttttt, tttt. Cela ne vous ressemble pas. Vous mollissez, mon cher. Faites attention, c'est le début de la fin..." Elle se tut un instant et sembla réfléchir. "On m'a dit que les exemples marchait toujours bien pour expliquer un truc aux cons, alors en voici un. C'est un peu comme si vous acceptiez aussi que les extra-g fasse leur auto-promo en privé, par com-x. Inimaginable, n'est-ce pas ? Eh bien, là, c'est la même chose. "Bon, je suis prête, passons aux choses sérieuses, à présent. "Vous voulez que je fasse ma propre promotion ? Facile. Ce n'est pas vraiment non plus comme si je devais en rajouter des couches, il me suffit d'être sincère." Elle écarta les bras et tourna sur elle-même tout en parlant. "Je m'appelle Olorìn. J'ai quelques milliers d'années derrière moi, et plusieurs autres devant..." Elle baissa les bras. "J'ai eu entre mes mains des galaxies, je suis une diplomate experte et manie ma langue de la meilleure des manières qui soit. Je suis invaincue jusqu'à présent et j'ai toujours suivi ma route. Et compte bien continuer. "Si vous me choisissez, vous aurez deux possibilités. Me traiter comme une moins que rien, si cela peut vous faire plaisir, mais sachez que vous n'y gagnerez rien. Et risquez de tout y perdre. Notamment la vie, à plus ou moins brève échéance... Vous pouvez aussi me traiter de manière civilisée et me choisir afin de faire en sorte que quelqu'un de plus malavisé que vous ne me réserve un sort que vous n'approuveriez pas. "Si votre attitude est correcte avec moi, me prendre avec vous permettra deux choses. A vous de faire une bonne action et d'en récolter les bénéfices sur le long terme. Comme rester en vie une fois que tout ceci sera fini. Ou gagner des technologies que vous n'avez pas encore développé sans débourser un centime. Ou gagner une amie fidèle, même, peut-être. Et à moi, de faire une formidable étude sociologique sur les commandants qui peuplent cette galaxie. Et accessoirement, de me remettre en forme, comme dit plus haut. "Parce que j'avoue que votre attitude me laisse perplexe. Et je suis curieuse d'en apprendre davantage sur vous et vos idées... "Alors, mesdames, et messieurs, faites vos jeux ! Et n'oubliez pas de me mettre en haut de votre liste..."
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Cdt. Roi de l'ombre
Respect diplomatique : 102 ![]() 15/10/1018 ETU 16:57 |
Score : 2
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Pourquoi je devrais vous combattre ? Chaque guerre a sa récompense ! Chaque combat a un motif Acceptez-vous les règles du Seigneur Alderak ? Non, Acceptez-vous mes conditions pour ce combat ? Non, Vous n’acceptez rien, toutefois vous imposez vos conditions, alors que vous n’avez pas ce qu’il faut pour l’imposer ! Et vos provocations d’enfants, m’enfin. Bon, sur ceux, je retourne gérer mon empire, mes salutations Commandante Hamilton.
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