Cdt. Jon Snow25
Respect diplomatique : 728 22/12/1016 ETU 23:39 |
Score : 4
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Le Lord Commandant Jon Stark était à l'Assemblée. A l'évidence, il était tendu. Le grand roi Gimli et l'Empereur Flavius également. Tout à coup, le premier reçut une demande de communication par hologramme. Le vice-amiral de la Garde, Alvhérion, en charge du Secteur VIII, apparut. Il dit alors : "Lord Commandant, grand roi, Empereur, les opérations de la Garde sont un succès. Plus de 90% des objectifs sont remplis, et la demande de reddition a été envoyée." Le Lord Stark le remercia et ferma le communicateur après quoi, il se leva après un regard à l'Empereur et à son ami le grand roi Gimli et se dirigea au centre de l'hémicycle. IL regarda en particulier une loge discrète, puis, il prit la parole d'une voix forte : "Galaxie ! La Garde, alliée de plusieurs commandants et de l'Empereur a donné l'assaut à toutes les possessions de la commandante Marlysa ! Cette commandante s'est rendue coupable de deux infractions graves. Tout d'abord, de la mise en déclin volontaire de deux planètes. Ensuite, et surtout je dirai, elle s'est rendue coupable de la non destruction du silo ADM et de la bombe ADM qu'elle possède dans son système d'origine, alors qu'elle possède déjà le projet Chaos ! Les troupes sont donc sur le pied de guerre depuis quelques cycles afin ainsi d'assurer la sécurité de la galaxie. Une demande de reddition lui a été envoyée, toute entrée non autorisée dans le Secteur VIII sera sanctionnée de mort en attendant la fin de cette crise. Toutes les demandes sont gelées au sein de ce Secteur et ce Secteur uniquement. Les troupes de la dite commandante sont déclarées ennemies de la paix, de la sécurité et des peuples, et la Garde tirera sur ces troupes tant que la reddition ne sera pas acceptée ou qu'elle soit enfermée sur une planète prison afin qu'elle se rende au tribunal, tout d'abord sectoriel. Je vous remercie de votre attention. Ceux m'ayant aidé peuvent s'ils le souhaitent faire une déclaration également." Le Lord Commandant Jon Stark retourna à sa place et se rassit. Là, il sortit son communicateur et prit des nouvelles du front.
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Cdt. Gimli
Respect diplomatique : 762 23/12/1016 ETU 09:23 |
Score : 4
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Un hologramme s’enclencha. Le Grand Nainréchal Purin apparu. Lord Commandant, Grand Roi, les troupes Naines en ont presque terminées avec le secteur 7. A l'exception des deux planètes en déclin qui serviront de prison à la commandante Marlysa en attendant son procès. D'autres nouvelles suivront.
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Cdte. Biquette
Respect diplomatique : 273 23/12/1016 ETU 12:36 |
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Score : 3
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Biquette plaça une petite remarque. On s'étonnera après que je ne désire pas ouvrir mon Secteur Chèvrique, car il serait très probable, qu'une ouverture, permettrait l'intervention des Carnivores sous n'importe quel prétexte, pour venir envahir mon Secteur. Libérateur ou Oppresseur, la différence est assez mince ... Comme certains appellent un Chicon, une Endive et d'autres une Endive, un Chicon, même si le légume est le même. Ici la situation est la même, on vient au nom de La Justice, pour y faire régner l'Injustice et je trouve cela assez déplorable ... Courage Commandante Marlysa. Veuillez recevoir, mes doléances pour votre liberté.
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Cdt. Jon Snow25
Respect diplomatique : 728 23/12/1016 ETU 16:05 |
Score : 5
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Le Lord Stark s'amusa de cette intervention somme toute déplacée. Il prit alors la parole : "Bla bla bla, vous parlez aussi bien que les gamins de rue, animal. Ce manque de vision ne fait de vous tout au plus qu'une vulgaire opportuniste. Occupez-vous de votre utopie qui ne marche qu'à moitié et laissez les gens intelligents faire leur boulot, nous n'avons pas besoin d'abrutis ici." Et il se détourna non sans avoir au préalable jeté un regard de défi à Biquette.
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Cdt. Suno
Respect diplomatique : 632 23/12/1016 ETU 19:14 |
Score : 4
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Lekma suivait les débats de cette salle également. Et explosa de rire dans la salle du procès. Devant les regards, il s'excusa platement et reprit son sérieux. Les "personnes intelligentes"? Qu'il est marrant ce gars. Pourquoi serait elle moins intelligente que lui? Car c'était une femme? Ou encore un animal? Pfff que c'était pathétique. Rien que cette remarque dénotait de sa stupidité. Il s'amusait comme un gosse de voir tous ces mouvements incongrus de toutes ces formes de vie. Que tout cela était futile. Ils ne s'en rendaient pas compte. Ils ne se rendaient pas compte de leur ridicule.... Que c'était pathétique... Il jeta un regard dans la salle, s'excusant encore du retard et s'assit normalement afin de paraître plus sérieux.
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Cdte. Katarina Skull
Respect diplomatique : 171 24/12/1016 ETU 00:04 |
Message édité -
Score : 7
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"Oh merde, j'peux pas encadrer les fascistes..." Katarina Skull, un peu en colère. Elle avait les mains dans les poches et affichait son habituel air neutre. "Qu'est-ce que j’apprends Johnny, espèce de mal-honnête !" Elle haussa un sourcil et tira longuement sur sa clope. "Y parait que tu tiens des propos intolérables, où y'a pas de tolérance ? Tu sais donc pas que c'est pas bien d'être racistes ? Que c'est mal ?" Elle marqua le coup ainsi qu'un silence, puis se mit à avancer vers le commandant Jon Snow, clope tendue comme un doigt accusateur. "On ne doit pas faire de discrimination raciale, c'est mal. Juger les gens sur leur religion c'est mal, sur les couleurs de peau, sur leurs origines sociales ou sur leur nationalité c'est mal !" Enfin elle était juste en face de lui, le méprisant de toute sa hauteur. Elle inspira vaguement, et souffla un long nuage de fumé holographique en direction du Lord commander de la garde. "Alors quoi. T'aime pas les gens moins biens lotis que toi ? La pauvreté ça te dérange ? L’ascension sociale ça te dérange ? T'aime pas que les petits besogneux se dressent et arrivent au pouvoir ? Hm ?" Elle se retourna et écarta les bras, embrassant la salle dans un geste qu'elle avait inconsciemment volée à Hismer. "J'en attendais pas moins de la part d'un leader militaire. P'tite brute épaisse. T'est pire que les fascistes. Eux au moins assument ce qu'ils sont." Nouveau silence, elle rabaissa les bras, planquant sa main gauche dans une poche de son manteau, et jetant sa cigarette par dessus son épaule. Derrière-elle, un ingénieur paniqué se jeta sur le mégot pour éviter qu'il n'abime le sol de la salle de projection holographique. "Alors quoi. Soumettre chaque commandant à un test de QI ? Censurer ceux qu'on juge inaptes ? Stupides selon des standards biaisés par la culture de quelques peuples au pouvoir ? Ah ! Et les animaux ! Parce que la race humaine compose la majorité des peuples galactique, doit-on pour autant mépriser les autres espèces, sous prétexte qu'ils sont différents ? Que leur apparence nous rappel du gibier ? J'trouve ça honteux." Ses yeux, qui s'étaient éveillés au milieu de son petit discours, reprirent leur air neutre et froid. Elle tira une longue cigarette d'une poche intérieur et laissa un officier l'allumer avant de longuement tirer dessus. "J'voulais juste vous signaler que je trouvais ces propos ridicules et un poil honteux." Court silence. "Sinon, tout baigne ?"
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Cdt. Gimli
Respect diplomatique : 762 24/12/1016 ETU 08:21 |
Score : 5
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Le Grand Roi fit son entrée. Il ne comptait pas rester, mais il venait voir si tout allait bien. Lorsqu'il vit la teneur des discussions, il intervint. C'est dingue comme tout le monde victimise ceux qui ont été attaqués. A quand un mausolée à la gloire de Londo et Mael, ces deux grandes victimes de l'empereur ? Le Lord commandant vous a annoncé un procès. Certes sectorielle, mais où toutes les preuves seront présentées. Pour en avoir connaissance, je peux vous dire qu'il dne s'agit pas d'une simple étourderie de Marlysa, et je peux certifier que le Lord commandant à tout fait, jusqu'au dernier moment (j'avoue que je n'aurais pas eu cette patience d'ailleurs) pour essayer d'éviter le conflit. Mais c'est sur qu'il est plus facile de critiquer sans savoir et sans rien faire. Chers commandants je ne vous souhaite qu'une chose, c'est qu'un fou furieux genre le Thorium vienne dans votre secteur et le mette à feu et à sang. Que vous soyez obligé de le détruire ou du moins de le neutraliser, et là comptez sur moi pour venir vous interpeller comme étant des monstre sanguinaires ! Puis se tournant vers le Lord Stark Il est rigolo Suno, quand il intervenait avec l'Union Sacrée, il ne tenait pas se discours !
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Cdt. Jon Snow25
Respect diplomatique : 728 24/12/1016 ETU 14:08 |
Score : 4
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Le Lord Stark hocha la tête vers son ami et lui répondit : "La meilleure arme est le silence mais là, ça va un peu loin je dois avouer." Il se leva alors et dit : "Je n'aime pas ceux qui montent dans l'échelle sociale, je les rabroue, les freine bien. J'accepte la critique. Maintenant, je vais t'expliquer quelque chose que tu ne connais pas encore. Quand mon Secteur a ouvert, Flavius était déjà au pouvoir. L'Ombre Dévorante était morte depuis un moment et Korto M allait mourir. Tu ne connais pas les deux derniers ? C'est normal. Tiens, on pourrait leur élever un mausolée à eux aussi non ? Vous en pensez quoi Empereur Flavius ? Bon, j'ai commencé au bas de l'échelle, j'ai pris patience, je suis monté petit à petit, avec certains, d'autres ont arrêté. Je vaux éviter le même chemin aux autres ? D'accord, alors je prends l'exemple vivant de mon ami le Grand roi Gimli qui monte, qui monte, sans que je regarde de trop à la dépense. Ai-je déjà demandé un retour hormis une amitié sincère entre nous en échanges de toutes les planètes données grand roi Gimli. Il se planta devant l'hologramme de Katarina Skull et reprit : Méprisez-moi tant que vous voulez, le jour où vous aurez des décisions à prendre qui concernent la vie de dizaines de milliards de vivants, on en reparlera. Mais moi au moins, je ne critiquerai pas de manière aussi virulente comme vous et la Biquette le font. Cette dernière ne sait pas non plus ce que ça signifie, d'être juste avec tous quitte à se mettre dans des positions délicates. Quand ce sera le cas, on en reparlera également. Autre chose ? Ah oui, j'allais oublier. Il fit une petite moue en disant : C'est pas bien de dénigrer les différences ? Oh ma pauvre, mais il fallait me le dire que t'étais complexée hein ? Je t'aurais éviter ce pauvre petit spectacle.. Puis il reprit son ton : Non mais et puis quoi ? J'appelle cela de la politique ignare ! Il retourna s'asseoir non sans avoir adressé un sourire complice à son ami.
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Cdt. Flavius
Respect diplomatique : 2044 24/12/1016 ETU 14:31 |
Score : 2
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"Juger les gens sur leur religion c'est mal [...]" Flavius a appuyé sur un bouton, et la répétition audio de cette phrase précise de Katarina Skull sur son dernier discours s'est enclenchée. Même pas quelques secondes après, une autre pression précise, et une nouvelle boucle audio, plus ancienne mais de la même intervenante pourtant. "[...] une religion tout aussi stupide que la tienne [...]" Il laisse quelques secondes s'écouler, avant d'afficher un petit sourire vers la Loge de Katarina.
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Cdte. Katarina Skull
Respect diplomatique : 171 25/12/1016 ETU 01:41 |
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Score : 9
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Katarina fixa Jon, arqua un sourcil et attendit. Elle allait lui répondre mais la réaction de l'Empereur détourna son attention. Levant les yeux au ciel, elle tendit le plat de sa main en direction de Lord Commander comme pour lui signifier d'attendre et approcha de l'Empereur, remettant ses mains dans ses poches. "Eh ben ? Je te juge pas sur ta religion, gros père. Je juge TA religion. Tu pige la nuance ? Croire en quelque-chose de stupide ne fait pas de toi quelqu'un de mauvais. Tu vois, je crois sincèrement que si on ne doit pas imposer sa religion à tout le monde, on ne doit pas non-plus buter ou mépriser des gars sous prétexte que leur croyance nous déplait. Jusque-là c'est compréhensible, non ?" Elle inspira, ferma les yeux. Lorsqu'elle les rouvrit, elle affichait un petit sourire en coin. "Non, en soit, je dis juste que quand on utilise la religion comme argument de vente ou autre, faut aussi accepter qu'on critique cette dernière. Par contre, on ne peut pas juger un individu parce qu'il croit en quelque-chose de faux. Ce qui importe c'est ce qu'il en fait, de ce mensonge. Toi par exemple, gros père, je t'aime bien : Tu crois au "Bien" unique, c'est adorable et tout, mais du coup tu nous laisse libre de nous exprimer et de gérer nos petits morceaux de mondes dans une paix relative. Ça, tu vois, je trouve ça respectable. En fait j'irais même jusqu'à dire que c'est cool de ta part. Ouais, tu crois à des conneries, mais t'es un chic type malgré tout. C'est ça, ne pas juger les gens sur leur religion." Nouveau silence, elle haussa les épaules et se retourna vers Jon, inspirant longuement sur sa cigarette, elle eut une sorte de petite rire dont l'intention se situait entre le strictement méprisant et le gêne absolut. "Bon, à ton tour Johny. Jusque-là je t'aimais bien. Tu es honnête, tu m'as contacté en privé pour m'expliquer les nuances de la politique galactique, en bref, tu te comportais correctement avec moi, ce qui change pas mal de certains autres, et est une belle preuve d'abnégation." "C'est bien le mot ? Ouais ? Ok, je reprend. "Je t'aimais bien, donc. Le souci c'est que là, à l'instant, tu viens globalement de dire à une commandante de se la fermer sous prétexte qu'elle ressemblait à du bétail et te faisait l'effet d'être stupide. Si j'étais un peu conne j'irai jusqu'à dire que, puisque t'es au pouvoir, c'est une infraction à la loi sur la liberté d'expression, mais comme ma stupidité n'est que relative je vais me concentrer sur quelque-chose d'autre. Mon grand. Je pense l'avoir assez dis mais l'absence de tolérance ne constitue pas un argument en soit. Tu sais, je m'en fout totalement de Biquette. Ce qu'elle a exprimée ne m'intéresse pas. Le problème c'est que toi, en réponse, tu lui crache à la gueule. Et pas un petit glaviot en plus, tu lui gerbe littéralement des propos immondes au visage. Bordel, ç'aurait été Harvest, ma super copine, là, vous serriez douze à être montés au créneaux pour hurler au scandale absolu. Mais là non, hein. J'imagine que c'est parce que t'as une bonne gueule. Ou alors ils te doivent un truc. Mais bon, pour reprendre tes propos, en substance, c'était du "Ah, tu parle comme des gamins de rues." Donc la forme d'un propos conditionne obligatoirement son contenu ? Hein ? Non mais dites-le moi, parce que si c'est le cas, j'ai carrément pas ma place ici. ... Ensuite t'en profite pour la traiter d'animal. Ok. Parce que l'apparence d'un individu conditionne aussi la qualité de ce qu'il dit, apparemment. Eheh, ça aurait été un Kaiserdien qu'aurait dit ça, j'suis sûr que vous l'auriez traités de vieux facho, et à raison en plus. M'enfin, si c'est la position officielle des membres du gouvernement j'attends encore votre tableau de classification des espèces, histoire de savoir quelle race est respectable et quelle race doit être considérée comme du bétail. Bon, la suite est du même acabit. En gros tu lui dit clairement que tu la trouve conne. Enfin, pour reprendre tes propos, tu la qualifie d'abrutis, et en profite pour gentiment te jeter des petites fleurs au visage en te qualifiant toi-même de "personnes intelligente". Non, vraiment. Si le silence est la meilleurs des armes, t'aurais peut-être mieux fais de la fermer, pour le coup." ... "Quant à on histoire elle est vraiment adorable, mais elle est totalement hors de propos. Quand je parle d'être en bas de l'échelle, j'cause pas des petits rois et tyrans locaux, mon grand. Je parle des "gamins de rues", ceux que tu utilise pour qualifier tes ennemis." Enfin, je ne suis pas surprise, puisque tu assume totalement ton comportement odieux. Pour reprendre tes propos : "C'est pas bien de dénigrer les différences ? Oh ma pauvre, mais il fallait me le dire que t'étais complexée hein ?" J'aurai dû commencer par là, car en gros mon discours ne sert à rien : Toi-même tu assume pleinement ton fascisme. Puis puisqu'on en est à citer tes propos, et pour finir : "...Je ne critiquerai pas de manière aussi virulente comme vous et la Biquette le font." "Vrai, toi tu préfère l'insulte pure et simple. Je ne suis pas sûr que ce soit qualifiable de critique." Elle inspira longuement, jeta sa cigarette dans son dos (provoquant une nouvelle réaction de la part du même ingénieur que la dernière fois), et croisa les bras, passant sa langue sur ses dents. Pas une fois durant son discours son ton n'avait quitté sa neutralité. Ses phrases résonnaient plus comme des faits établis énoncés sur un ton froid que comme des arguments discutables.
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