"Le Théâtre du Petit Enculé" était cette énorme épave, qui avait très certainement été un repaire de récupérateurs de ferraille spatiale, de contrebandiers et autres saloperie avant que les gars de Joe ne débarquent à bord et ne massacrent sauvagement tout le monde à grand coup de fusil plasma. Quelques survivants avaient été gardés, et bien évidemment, on allait sûrement jouer aux fléchettes en visant des cibles scarifiées à même leurs ventres. Rhalala, les gars de Joe... Ce sont vraiment les rois de la déconne !

Le vaisseau avait une superficie plutôt folle, et pour donner un ordre d'idée, l'épave tapait dans les sept cent mètres de long ou deux cent de large, et avait douze niveaux de haut, hangars à nefs exclus, à son épicentre. Une belle machine, donc, mais une belle machine totalement mitée, dans laquelle on avait du sceller des parties entières et rétablir un champ gravitationnel convenable dans le centre. Néanmoins, histoire de déconner un bon coup, Joe avait ordonné que l'on désactive le champ gravitationnel dans les chiottes, afin que les gens se pissent dessus, car c'est bien connu, haha, le pipi, c'est drôle.

Notre bon gros con dénommé Joe avait vraiment tout prévu. Des baffles d'enfers, la foutre tonne de bouffe en tout genre, assez de doritos et de chittas pour un régiment entier, et la majeure partie de la bouffe se ferait via un énorme barbecue, que des esclaves faisaient déjà chauffer. Il y avait de toutes les boissons low-cost qu'on pouvait imaginer, de l'huile de moteur à la sempiternelle bière. Quelqu'un de mauvais goût (Joe) avait écrit, à l'entrée du hangar d'arrimage du cuirassier, directement à la peinture rouge et sur un mur : "le premier connard qui se croit à une réception de luxe de merde et qui m'amène un bouteille de vin rouge ou autre, ou le force à manger hallal avec Mouhammar & Muslimov, okay ?". Le mauvais goût, le racisme, l'absence de classe, bref, c'était Joe.

Il y avait, sur une énorme table longue, ce qui paraissait être une pile énorme de drogues en tout genre. Des gars avaient directement amenés des pieds de pas mal de plantes aux origines discutables et avaient empilé ça dans un coin, tandis qu'une bonne grosse pile de seringues était plus loin sur la table, à côté de desserts, et au delà du simple fait qu'il y avait vraiment de tout à ce niveau là, c'était sans compter la sempiternelle et énorme montagne de cocaïne qui trônait au milieu de la table, clairement tape-à-l’œil.

On avait aussi pensé au "quota bougnoule", pour ne citer que Joe, et donc il avait fait amener des chèvres et des xéno-poulets-raptors ainsi que des couteaux sacrificiels ainsi que des tapis de prière, afin que Mulsimov et Mouhammar ne soient pas trop dépaysés. Et aussi, pour citer Joe : "Haaan, en vrai la chèvre servira aussi pour ce dégénéré de Donatelo, s'tu vois ce que je veux dire.

- Commandant. Vous êtes sûr pour votre histoire de requin ? Ça nous a tout l'air un peu dangereux.

- Ecoute-moi bien, Franky Vincent, arriver en faisant du rodéo sur un requin catapulté et atterrir au beau milieu de la réunion, CA, c'est de l'entrée. Et je compte sur les gars de l'équipe pyrotechnique pour qu'ils me fassent des flammes et tout, et même une explosion, histoire qu'on ait pas acheté ces cinquante kilos de TNT pour rien.

- Vous n'avez pas peur que quelqu'un s'en serve pour tuer tout le monde ?

- ...

- Commandant ?

- Vous avez raison. On va virer les explosifs dans le vide spatial. Sur ce, amenez-moi l'requin !

- Commandant...

- Quoi, encore,, bougre de connard dubitatif ?! Elle te plait pas, mon idée absolument trop pimp' ?! MEC. MEC ! REGARDE CA ET DIS MOI SI C'EST PAS LA CLASSE !"

Joe fit un grand geste du bras, et un objet holographique en réalité augmentée apparut devant lui : http://www.lavisqteam.fr/wp-content/uploads/2016/08/sharknado-4.jpg

"C'est CA qu'je veux, tu piges ?!

- Mais, m'sieur Joe, le requin est mort sur le trajet, en fait.

- COMMENT ?!

- Oui. On vous avait dit qu'il fallait le mettre dans un aquarium, ou dans un bocal géant. Vous en avez encore fait qu'à votre tête."

Une larme coula sur la joue gauche de Joe. Il baissa la tête, renifla quelques instants, et mit de côté l'idée du rodéo sur dos de requin.

"Ok les gars, c'est pas grave, c'est pas grave ! On va poser le requin à côté du barbec', et on va s'en faire des steaks ! Dans l'idée ça reste métal donc ça va. Ah, et rapprochez moi les platines de zek près de la pile de coke, ça c'est pas négociable. Et je veux que les putes soient prêtes d'ici vingt minutes, okay ?! Nos invités devraient arriver, ils ont reçu la coordonnée du rendez-vous."

En effet, ils les avaient reçus, Joe y avait veillé.

Ainsi allait débuter le sommet des fils de putes, au théâtre du petit enculé, lequel sommet réunissait tous les pires psychopathes qui avaient osé répondre à l'appel.

Qu'est-ce-qui pourrait mal se passer ?

Pour l'heure, les hangars d'arrimage du cuirassier étaient ouverts, d'hors et déjà prêts à accueillir la plèbe.

Toujours fifèle à lui même, Miguel avait osé répondre à l'appel de ce dépravé qu'était Killing Joe, et bien que Miguel le considérait comme l'un des individu les plus irrécupérable en terme de respect de l'étiquette, il demeurait qu'il partageait des intérêts communs avec ce sale fils de pute.

Son navire s’amarra aux quais du "Théâtre du petit enculé", un fort joli nom.

Accompagnée de son bras droit Tulio(http://asg.animatedheroes.com/albums/tulio/Tulio_plan.jpg) et de son bras gauche, Merguez, qui était vraiment indescriptible par rapport à ces deux autres compagnons. Miguel, visiblement premier arrivé à la réception salua le grand Killing Joe, il allant à sa rencontre avant de lui tendre une bouteille contenant un liquide rougeâtre qui semblait ressembler à du vin.

Il fit un geste de main vers Merguez, avec un côté gracieux dans l'excès.

Il entendit le bruit d'un homme visiblement en train de nettoyer le sol avant que le tout ne devient le lieux le plus dégueulasse et sordide de la Galaxie. Miguel leva un doigt.

Il dégaina aussitôt un révolver usé par le temps et tira, le tir perfora le crâne du sous-fifre venant répandre le contenu de son cerveau sur le sol.

Dit-il tout en astiquant le canon de l'arme avec une mouchoir.

Les représentants de l'Odre Esotérique de Discordia (prononcé "Discoridia" par ses représentants) furent les seconds invités à arriver sur l'épave. Trois croiseurs aux formes chaotiques, couverts de détails et d'ornements en tout genre qui, si pris individuellement étaient caractérisés par une certaine beauté esthétique et par une grande qualité de conception, formaient ensemble un tout difficile à cerner. On pouvait l'observer, mais le cerveau humain ne pouvait pas efficacement comprendre la masse de tourelles, de dômes, d'oriel et de bras qui s'étendaient sur chaque mètre carré de coque. Les croiseurs s’immobilisèrent, formant ce qui devait être un périmètre de sécurité, et trois navettes comparativement minuscules s'échappèrent d'un hangar béant pour rejoindre le "Théâtre".

Une fois posés, les vaisseaux laissèrent s'échapper un flot intarissable de caisson, transportés par des soldats. Ceux-là semblaient tous atteints de difformités. Suivirent de très nombreux esclaves. Ils portaient tous des tatouages divers qui semblaient tant caractériser leur statut de marchandise jetable ainsi que leur appartenance à l'Ordre. Enfin, un être en costume trois pièce brun, vieillot, quitta la navette. C'était Khan Tôars, un administrateur de haut rang qui avait déjà fait une brève apparition à la taverne sectorielle. Propre sur lui, droit comme un I, il se mouvait comme un oiseau. Coup par coup, avec une extrême précision. Sa peau flottait autour de sa chaire.

"Voilà des alcools et des psychotropes tout droit tirés des caveaux du Palais Discoridia. Ainsi que certains et certaines des meilleurs esclaves de la branche Doloriste de l'Ordre."

Il toussota et cracha ce qui ressemblait à une espèce de morceau de viande. Celui-là s'anima et s'enfuit en rampant se cacher à l'ombre. L'individu reprit sans relever.

"Mon maître vous fait savoir qu'il arrivera à la fin des festivités. En temps normal il les préside, il n'a pas coutume d'y participer."

Et plus généralement, le Calife de l'Ordre Ésotérique était un être plus que profondément dérangé, dont la perception du plaisir et de la luxure était profondément déviante, même selon les standards locaux. Il se serait probablement mortellement ennuyé. Khan Tôars, cependant, était loin d'être arrivé au même stade de dégénérescence. Il y avait fort à parier que d'ici une heure il se serait vidé et rempli de toutes les manières imaginables. Il allait enchainer sur la suite préparée de son petit discours lorsqu'un détail attira son attention à l'autre bout de la pièce.

"Est-ce que..."

Une sueur épaisse et gluante se mit à suinter sur sa peau flasque.

Et l'administrateur traversa le hangars en courant, bousculant au passage Miguel et déboutonnant son pantalon de costume.

Trois VME recouverts de graffitis arrivèrent près du Théatre du petit enculé et se posèrent dans le hangar qui servait de statioport de fortune. Des gros TKO multicolores et dans tous les styles calligraphiques recouvraient les carlingue, ainsi que des personnages de toute sorte représentant essentiellement des femmes nues s'enfilant divers objets allant de la bombe de peinture au fusil a plasma en passant par pèle mèle une noix de coco, un chat, une main sectionnée, une bouteille de tekilla, un club de golf, ... on pouvait voir que les artistes étaient talentueux, car bien que peint à la peinture ces graffitis était de qualité holographique.

Les cales des VME s'ouvrirent et en sortirent une bande de lascards portant tous sur la tête un bandana de couleur pourpre. ils sortirent diverse caisses et se dirigèrent vers le bar et les tables afin d'y déposé tout ce qu'elles contenaient : Alcool, drogue diverses et variées, d'la barbaque à gogo. ensuite ils retournèrent au pas de courses jusqu'au VME et sortirent trois grosses caisses ou il était peint dessus en gros et en rouge :

dérriere un type habillé d'une sorte de combinaisont rouge avec des bandes blanches et d'un casque intégrale les suivait en beuglant :

Dans sa main il transportait un objet archaïque qui ressemblait a une enceinte transportable de l'air préhistorique

Sur que ce devait être le fameux DJ Zek en costume de scene

imediatement derrière lui Bokar et Camélia firent leur apparition. pour l'ocaze Bokar avait mis sont costume complet veston et chapeau melon des grands jours, car on avait beau etre a la soirée des fils de putes, il fallait quand meme qu'il montre c'est qui l'patron.

Camélia quand a elle était divine baskets dorées, une petite jupe dorée lui arrivant a mi cuisse et un Tshirt blanc coupé au niveau du nombril, siglé d'un gros "Fuck you I'm infamous" en lettre dorée sur sa poitrine. Dans son dos elle portait un katana long de plus d'un mètre en partie cachée par sa longue chevelure rousse. Ce qui l'a rendait heureuse c'est que T.K.O n'avait pas reçut dinvitation pour le bal des promus d'la classe et qu'elle allait pouvoir s'amusé avec bok et zek, et puis franchement elle kiffait vraiment Zek, c'etait vraiment un bon DJ qui avait toujours des sons pour toute situation elle avait hate d'entendre sa sélection

Le petit groupe se dirigea cette fois vers la place qu'avait réservé joe pour le dJ les gremlins portant les lourdes caisses de vinyles (bien que techniquement ça ne ressemblait plus aux vinyles originaux de l'ere préhistorique) Zek derrière leur geulant tous les deux pas de faire gaffe, Bokar et Cam un peu plus éloigné scrutant la salle avec attention, repérant un plan de sortie au cas ou ça tournait vinaigre, les endroits ou avaient pu se planquer un tireur embusqué ...

Et lachant sa vielle relique, qu'il tenait depuis le début du trajet comme si c'était un string en Crystal, il se précipita comme un dératé vers son saint graal et ...

... il percuta un putain de cadavre a la tronche explosée et ...

... tomba la tête la premiere dans une marre de sang et ...

... emporté par son élan il se mit a glisser comme une bille sur un parquet ciré, dans une position des plus étrange; pareil a un joueur de foot en plein tacle a part que le corps etait en position miroir. Cette glissade dura bien 5 ou 6 secondes et ...

il finit sa course comme un ballon dans un filet mais le filet etait en fait un pantalon baisser sur les chevilles d'un type. Quand il leva la tete il vit une espèce de fils de pute en train de s’accoupler avec un requin mort !

Bokar qui observait la scène de loin se tourna vers Camélia et lui dit :

et il l'a planta là se dirigeant vers le buffet; ça lui avait ouvert l'appétit

L’homme au costard regardait le vide de la galaxie, un cigare à la main, ayant adopté une position totalement classe. Sur le pont du vaisseau, l’équipage vaquait à leur occupation. Du haut de sa plate-forme, ils n’étaient pour lui que de petits points noirs, qu’il percevait du coin de l’œil, telles de petites fourmis. Ces petites fourmis s’occupaient de servir la reine, et surtout, de la satisfaire ; et la reine c’était LUI ! Bon, ils faisaient surtout cela car ils étaient esclaves. Mais, il n’empêche, ils le FAISAIENT.

Ouais ; les esclaves, c’était vachement bien.

Alors qu’un sourire totalement grossier apparaissait – pensant certainement à sa folle nuit de la vieille avec une petite gam-femme – un messager vint lui apporter la nouvelle qu’ils étaient sur le point d’arriver à destination.

Sans se démunir de son sourire, il jeta son cigare au sol et l’écrasa.

« La cargaison ne s’excite pas trop ? »

Le messager secoua la tête.

« Non. Ils se content de faire ce que … ce que vous faites habituellement. Quelques-uns se masturbent dans leur boxe, devant leurs confrères … Nous essayons de les calmer, mais ils persistent. »

« Ah, quels coquins ils font ! Ça me rappelle des souvenirs.» Il sembla fier. « Bon, peu importe. Faites-nous accoster.»

Et l'immense vaisseau commença à accoster. Le vaisseau en question était totalement chromé, voire pimpé sur les bords. Les néons installés sur les flancs envoyaient dans tous les sens des lumières éblouissantes et particulièrement agaçantes. Généralement, les vaisseaux du peuple de Lackbar étaient plus sophistiqués, et beaucoup plus ... jolis. Mais on pouvait supposer que c'était le vaisseau privé de sieur Muslimov. Vu le peu d'invités, le vaisseau réussit à se trouver une place dans le hangar, sans grandes difficultés.

Rapidement, les esclaves commencèrent à sortir, en un flux interminable et insondable. Ils commencèrent à dérouler un tapis, qui devait bien mesurer une centaine de mètres, devant le sas d'où devait débarquer leur maître. Quelques-uns passèrent rapidement le balais sur le sol dur et métallique des lieux, et se mirent ensuite en haie d'honneur, les yeux baissés, telle des femmes battues.

Et le sas s'ouvrit. L'homme au costard sortit du vaisseau, l'air ravi. Derrière lui venait des boxes lévitantes, poussées par des esclaves. On entendait des bruits étranges à l’intérieur.

Lentement, Muslimov commença son avancée, les mains derrière le dos, vers Joe et son requin, chose qui ne l'étonna pas vraiment ; il avait bien un lamantin dans ses appartements. Sauf que, lui, était dans un aquarium.

Une fois arrivé au bout du tapis, il ordonna qu'on ouvre les boxes ; il devait bien y en avoir une cinquantaine.

Il avait promis des putes, non ? Il était un homme d'honneur, ainsi il avait tenu parole. Lorsque qu'on libéra la marchandise, une masse abondante d'hommes commencèrent à se bousculer afin de sortir, visiblement à l'étroit, un fez sur la tête et le costard sur le dos ; c'était des Muslimov.

La masse qu'étaient les Mulimov sourit à l'unisson. Leur visage se déformèrent.

Ce fut un tableau horrible.

« Faites-vous plaisir, messieurs.»

Et ils se firent plaisirs. Une majeure partie de la troupe s’élança vers la nourriture, alors que l'autre irait harceler les convives avec des insinuations douteuses et parfois peu subtiles ; est-ce que vous voulez baiser ?

Si il y a un truc dont Donatelo pouvait être fier, c'est la capacité de ses boyz pour pirater les ondes.

Et là merde quoi, y'avait du Gradur à fond dans toutes les stations du secteur un, et ouai mec, c'comme ça la vie.

Sinon pour en revenir au concret, le réel t'vois, bah y'a cinq cuirassés qui se dirigent vers le théâtre. Chacun des navires étaient, outres les multiples tags, marqués d'un grand

Outre ça, les vaisseaux sont plutôt stylés. Genre paquebots spatiales quoi, grandes vitres, matières luxueuses, lumières partout, plus adapté à la frime qu'à la guerre. Les petits bijoux se dirigeaient tout droit vers la carcasse qui servait de lieux de fête. Deux cargos partirent du vaisseau central vers le lieu de rendez-vous

Donatelo sortit accompagné d'une vingtaine de personne. Parmi eux, Tonio - déjà connu -, une blonde bien gaulée, queue de cheval et mini short, du genre doggy style et cheveux tirés, ainsi qu'un mec coupe afro et tenu de samuraï. Le reste se répartit 30/70 entre boyz et putains.

Et le second cargo s'ouvrit sur une chicha de cinq mètres de hauts, pas moins de soixante tubes et remplie de weed. Deux cents kilos - " D'la white wiiiiiidow, high psych effect maaan" que commenta l'afro - accompagnèrent le bordel, pour recharger "Au cas oû, y'a encore le quintuple dans ma chambre.".

Bokar squattait a coté du buffet, le Joe il avait pas lésiné sur la barbaque. quand il vit arrivé Donatelo et sa bande de pote il se figea. Les mecs n'avaient pas lésiné sur le matos. La chicha géante ça il trouvaient que c'était une méga idée de génie. Par contre niveau style les vaisseaux des FF était moins bien décoré que ceux du T.K.O. mais il décida qu'il s'abstiendrai de rentrer dans un débat entre vandal et terrain, après tout chacun maniait les sprays comme il le sentait.

Camélia elle était désespérée, elle regardait Zek le nez dans la montagne de coke et se disait que si Gros Joe il se magnait pas le cul de lancé la soirée, le Zek il allait plus etre en état de poser le moindre scratch.

Puis elle vit jo, il avait l'air beau gosse l'Américano et détail amusant il avait l'air de kiffer les katanas lui aussi. elle se ferait bien une petite partie de jambe en l'air avec lui. Mais ... wouah, non laisse tomber Jo, la petite blondasse c'etait une vrai bombe. Elle sentait sa culotte s'humidifié rien qu'en la regardant. Elle écouta attentivement l'avertissement de Donatelo et se dit que bon, vu que techniquement elle avait pas de vermicelle entre les jambes, ça devait pas s'adresser à elle, puis de toute façon sa vieille elle l'avait jamais connu alors ...

Quand à Zek lui il était aux anges, il avait même oublié qu'il devait se produire en show ce soir. Le seul truc qui l'intéressait à cette heure ci c'était de s'en foutre plein les narines, quand il vit Donatelo arrivé à sa hauteur il lui dit

Un grand bruit ce fit entendre a l'entrée et une voie de femme se fit entendre :

Une trentaine de femmes entrèrent en dansant dans la salle principale. Six jeunes filles les suivaient.

https://www.noelshack.com/2017-39-7-1506883677-img-20171001-204726.png

Trazyne s'approcha du bar, s’inclinât légèrement :