Oui oui oui, enfin ! Et je ne boirai pas que de l'eau si vous voyez ce que je veux dire ! | 15 | |
Oui, mais seulement pour profiter du buffet gratuit. | 4 | |
Oui, mais je serai sombre et mystérieux, caché dans un coin à médire sur tous les gens que j'observerai. | 7 | |
Non, car j'utiliserai l'excuse foireuse comme quoi je suis dans un secteur fermé | 1 | |
Non, je suis associable, et je peux très bien médire sur tout le monde depuis mon canapé. | 3 | |
Non, je déteste Jalai et l'univers tout entier, je n'ai qu'un seul espoir : qu'un maximum de convives s'étranglent en avalant de travers. | 0 | |
Non, car je déteste surtout Jalai, et je veux le rendre triste et malheureux en le lui faisant savoir avec ce vote. | 0 | |
Je n'ai aucune personnalité, donc je vais répondre un "Peeeuuuut-êêêêêtreeee" car je ne me suis pas encore décidé. | 3 | |
Total : 33 vote(s) |
Cdt. Jalai
Respect diplomatique : 74 05/01/1022 ETU 03:01 |
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Score : 9
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« Et voilà, tout est prêt ! » S'exclama le Prince. « Où en sont les invités ? » « Il n'y a plus qu'à leur ouvrir les portes de la réception, mon Prince. » Répondit le conseiller. « J'ai hâte ! Savez vous qui va venir ? » Le conseiller sortit une petite liste en papier et commença à la lire. « Oui, il y a d'abord... » « Donnez moi ça, vous lisez trop lentement ! » Lui dit le Prince en lui arrachant la feuille des mains. Ses yeux avides plongèrent sur la liste. « Hmm... oh oui. Il y a lui. Et elle aussi. Oh et même ceux là, génial ! Tiens, il y a même lui ? Mais qui a osé l'inviter ?! » Commenta le Prince alors qu'il parcourait la longue liste avec son doigt. « C'est vous mon Prince, dois-je vous rappeler que vous avez tenu à inviter tous les commandants de la Galaxie ? » « Ah oui, c'est vrai ! Je vous testais pour voir si vous vous en souveniez ! » Le conseiller, toujours aussi désabusé qu'à son habitude, ne releva pas le mensonge éhonté de son Prince. « En revanche, que représentent tous ces noms barrés ? N'avais je pas insisté pour que toute la Galaxie soit invitée à la réception ? » « Ce sont tous les dirigeants qui sont indisponibles à cause... » « Laissez moi deviner ! » Le coupa le Prince. « C'est... c'est parce qu'ils ne veulent pas venir à ma réception parce qu'ils ne m'apprécient pas ? Non, ce n'est pas possible... » Continua t-il, sincèrement peiné de cette possibilité dont il commença à s'inquiéter. « ... à cause d'une disparition ou d'un décès prématuré. » Termina le Conseiller, habitué à être coupé. « Oh, tout va bien donc ! » Dit-il spontanément, soulagé. « Enfin non, c'est très triste, vraiment. » Se reprit-il. Un silence plana, comme si le Prince attendait un assentiment quelconque, qui ne vint jamais. Il rendit alors la liste au conseiller. « Allez, c'est partie, annoncez l'ouverture ! » _______________________________________________________________ Une grande salle dans l'Assemblée avait été spécialement aménagée. Un peu cliché, mais exactement comme l'avait demandé le Prince, un long tapis rouge parcourait toute la longueur de la pièce. Des tables avaient été dressées tout du long, et les petits plats avaient été mis dans les grands. Les mets les plus raffinés s'y trouvaient à la disposition des convives, notamment pour ceux trop impatient d'attendre le passage d'un valet avec son plateau. Les seuls aliments qui manquaient à l'appel étaient des bananes et tout produit issu de volaille, dans un soucis de ne pas choquer certains. Le Prince se tenait sur une petite estrade au fond, accessible par deux petits escaliers de chaque côté. La majorité des convives étant déjà arrivés, il savait qu'il devrait se conformer au protocole d'accueil, et au discours qui s'imposait en conséquence. Ayant hâte de s'en débarrasser au plus vite, le Prince oublia son trac, inspira profondément, puis prit la parole à l'adresse de tous les invités. « Honorables Dirigeants de toutes sortes, c'est un plaisir pour moi de vous accueillir à la Capitale pour cette Grande Réception ! » « Quand j'étais plus jeune, j'affichais ouvertement mon mépris pour les tristes sires qui se répandent en discours interminable en pensant que leurs élucubrations assommantes intéressent qui que ce soit autre qu'eux même. Plusieurs années plus tard, me voilà "Gouverneur", au moins d'apparence, et cette investiture m'oblige à mon tour à vous accabler de formules pompeuses et fastidieuses à souhait. » « Mon tuteur disait souvent qu'il y a un temps pour s'amuser, et un autre pour être sérieux. Dans ma vertueuse habitude à toujours chercher le compromis, j'ai décidé que je considèrerai toujours le temps de l'amusement comme un sujet sérieusement important, et le temps du sérieux comme aussi amusant que possible. Cette Grande Réception sera à l'image de ces valeurs ! Aussi sérieuse qu'amusante ! » « Ce moment est notre moment à tous ! Profitez en pour renouer avec des discussions courtes et sans prise de tête avec les convives présents. Discutez des sujets les plus mondains aux plus engageants, en fonction de vos goûts ! Sans rien vous imposer, je tiens à ce que vous ne reteniez pas l'attention de quelqu'un trop longtemps, pour que chacun puisse vagabonder et discuter avec un maximum de gens ! » « Au programme, des divertissements et jeux viendront entrecouper nos conversations aussi utiles qu'inutiles, comme la grande roue de Joël, le concours d'art, le Space'Scape, ou encore d'autres mystères et surprises ! Et des récompenses sont à prévoir ! Alors, mangez, buvez, divertissez vous sur toutes les activités qui vous conviendront et qui arriveront au compte-goutte. Honni soit quiconque qui repartira d'ici sans s'être amusé ou avoir au moins tiré un sourire ! » Le Prince frappa dans ses mains pour signifier la fin de son discours, puis joints ses bras et s'inclina légèrement pour adresser un salut Angmarien à l'ensemble des convives. Content de s'être acquitté de la besogne officielle, il descendit l'escalier en sautillant, pressé de rejoindre la salle pour se joindre aux premiers invités qu'il croiserait. |
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Cdte. Nyalnamar Veritas
Respect diplomatique : 129 04/01/1022 ETU 23:53 |
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Score : 8
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La Nyalnamar Veritas et Première Oratrice des labyrinthes était arrivée très tôt sur la capitale galactique. Profitant de ce passage exceptionnel qu'elle faisait en compagnie de l'Orée, tête de file du mouvement futuriste qui composait désormais le gros de son gouvernement, pour visiter les ambassades ainsi que les différents quartiers occupés par la diaspora Labyrinthique. Ça avait été une journée éprouvante. On avait profité de l'occasion pour faire inaugurer plusieurs structures à la cheffe d’État. Elle avait aussi dû visiter des hôpitaux, donner des interviews à quelques journaux, rencontrer des représentants locaux. Serrer une quantité proprement indécente de mains et participer à quelques rituels occultes dans les caves de certaines pyramides construites depuis peu. On avait beaucoup insisté pour qu'elle tienne le couteau lors du suicide rituel d'un doyen labyrinthe qui avait pendant de nombreux cycles représentés sa communauté auprès de l'administration planétaire. Le tout était rendu encore plus pesant par la situation politique. Malgré le retour tant attendu de la paix au sein du secteur II, tout n'était pas encore réglé et la Nyalnamar Veritas, toujours hérétique aux yeux des quelques survivants de la secte Apocalyptique, voyait ses déplacements suivis de près par sa garde personnelle. Si elle faisait parfaitement confiance au gouvernement de sa majesté princière pour assurer sa sécurité, il était impensable, pour son administration et son peuple, de déléguer sa sécurité. Ainsi donc c'était une l'Orée en armure de cérémonie blanche qui la suivait. Épée à la ceinture. Profitant de l'instant sous son air constamment maussade. La Première Oratrice, pour sa part, ne s'était pas embarrassée d'une quelconque robe de cérémonie ou d'un gilet pare-balle. Quelle idée, non. Elle portait son uniforme politique d'usage : tenue noire, crâne sur la poitrine, brassard au bras, grand manteau blanc à col haut. Celui-là, cependant, ne semblait pas tant posé sur ses épaules que flotter très légèrement au-dessus, tenu en l'air par l'effet de rayons tracteurs diffusés par les petits octaèdres noirs et blancs qui suivaient la dirigeante. Elle avait aussi, pour l'occasion, accrochée à sa poitrine de petites médailles représentants les trois mouvements composant son Grand Conseil, ainsi qu'une broche pouvant rappeler une épingle à nourrice, qu'elle avait passé dans sa joue au prix de quelques gouttes de sang. Le tout avait un aspect saisissant, un peu punk, qui détonnait un peu avec son air calme et sérieux. Ses bras, enfin, était cernés par de très nombreux bracelets qui tintaient gaiement au moindre de ses gestes. Elle arriva, accompagnée par l'Orée et à la tête d'une délégation mêlant ambassadeurs en faction à la capitale et officiels politiques dépêchés depuis Sappho et les mondes de son empire. Très droite, faisant son possible pour passer pour le centre du monde, bien aidée en cela par la capacité assez impressionnante des régimes aussi militarisés que le sien à faire passer tout déplacement officiel, aussi anodin fût-t-il, pour une véritable cérémonie. Les prêtres-mages dans leurs uniformes élégants, les gardes futuristes dans leurs longs manteaux bleus les chevaliers en armure blanche se dispersèrent en éventail, s'inclinèrent, se mêlèrent à la foule. Les ambassadeurs et officiels marchèrent au pas dans les traces de leur maîtresse puis, par groupe de deux, se dirigèrent couple par couple vers leurs pairs étrangers. Les octaèdres de la Nyalnamar se mirent enfin à générer comme une série d'hologrammes, parant son manteau et sa peau de motifs floraux et funestes aux couleurs irisées, et enveloppant sa tête d'une couronne d'épine qui aurait sans doute fait hurler Denior à l'hérésie. Traditionnellement elle aurait dû en porter une vraie, mais quelqu'un dans l'ambassade lui avait soufflé que la vue de son visage couvert de raies rouges et de ses cheveux engluées dans le sang risquait de troubler plus d'un étranger. On avait donc opté pour ce compromis qui avait beaucoup plu aux futuristes. So chic. « Heureusement que les acéphales ont mystérieusement disparu. » La chevalière l'Orée fixait les buffets, et les quelques convives qui s'y pressaient déjà. Sa maîtresse haussa vaguement un sourcil, faisant mine de ne pas comprendre. « Je vous demande pardon ? – Auriez-vous vraiment voulu que les membres de votre délégation essaient de changer cette réception en... » L'Orée écarta un peu les bras, à court de mot. Toute la philosophie acéphale s'orientait autour de l'excès et du gâchis. Quand elle les laissa retomber, ce fut avec un mot, prononcé avec lassitude. « Orgie ? » L'idée sembla effectivement amuser la Première Oratrice qui, pour le plus grand désespoir de sa servante, ne s'indigna pas à l'idée d'une bande de Labyrinthes poussant au vice la moitié du gratin galactique. Elle se contenta de balayer l'idée d'un petit geste de main. « L'Orée, pour ce que j'en sais vos Futuristes ne sont pas en train de réduire tout le mobilier en cendre sous prétexte qu'il est vieux jeu, non ? – Madame... – Pourtant je suis sûre que ça vous démange. Regardez : » Elle indiqua Cassandre, bien en vue au centre de la pièce. « Celle-là a encore sa tête. Vous ne voudriez pas la décapiter par hasard ? Au moins votre épée servirait. » La chevalière n'offrit pas de réponse, mais acquiesça. Elle avait compris. Ce qui l'agaçait toujours un peu, même venant de sa maîtresse révérée. De toute façon, pensa l'Orée en son for intérieur, Cassandre et toutes ces vieilleries seraient effectivement vandalisées... Quand le contexte politique serait plus favorable au renouveau artistique de la capitale. Elle n'ajouta rien, car le prince venait de débuter son discours. Après un temps, elle pivota vers la Nyalnamar Veritas. « Il vient de vous insulter. » La Première Oratrice haussa à nouveau un sourcil. « Mais non. Il a parlé de tristes sires et d'élucubrations. – Madame, d'un certain point de vue ces termes pourraient s'appliquaient à vos discours. – Vous pensez ? – … Madame... – Oh... » Elles écoutèrent la suite du discours en silence. L'Orée attentive à la moindre insulte destinée à sa maîtresse, la Première Oratrice l'air un peu heurté, semblant réfléchir à la propension de ses propres discours à traîner en longueur. C'est vrai qu'à la place du prince elle aurait sans doute continuée pendant de longues minutes, expliquant la qualité historique du moment et la nécessité philosophique des festivités dans le cadre de la culture humaine semblant composer le gros de l'espace galactique civilisé, puis justifiant en de fors jolis termes le retard qu'avaient pris l'organisation des évènements. Elle échappa à ses réflexions en entendant la conclusion du prince. « Honni soit quiconque qui repartira d'ici sans s'être amusé ou avoir au moins tiré un sourire ! » « Vous avez entendu ? Vous allez devoir sourire. Décidément les Labyrinthes en prennent pour leur grade. – Dois-je indiquer à la délégation que nous partons ? » La chevalière s'était déjà retournée, cherchant des yeux les différents labyrinthes qui s'étaient dispersés dans la pièce. La Nyalnamar Veritas se racla doucement la gorge. « L'Orée. – Madame ? – … Non. Non vous n'avez pas besoin d'indiquer quoi que ce soit à la délégation. Allons. Il y a de nombreux commandants à embarrasser de nos platitudes. En route ! » Et elle s'élança vers les buffets, faisant un crochet dans la direction générale du prince qu'elle tenait à féliciter personnellement. Essayant de se placer dans sa ligne de vue pour le saluer d'un signe de tête, considérant qu'il serait plus prestigieux de le pousser à la rejoindre que de directement l'engager. L'Orée, qui ne tenait pas particulièrement à être honni, et qui avait reçu pour ordre de ne pas trop s'inquiéter de la possibilité d'un attentat, faisait de son mieux pour paraître avenante. Ce qui lui allait bien mieux que l'air stricte qu'elle affichait en toutes circonstances. |
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Cdt. Jalai
Respect diplomatique : 74 05/01/1022 ETU 02:42 |
Score : 6
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Quand le Prince descendit les marches, c'est la première chose qu'il vit. « Quelle beauté... » Ne pût t-il s'empêcher de se murmurer à lui même. C'est d'une démarche convaincue qu'il se dirigea vers elle, bien déterminé à ne pas la laisser filer. C'est ainsi qu'il se saisit de la magnifique pâtisserie goût framboise qui voyageait sur un des plateaux. Fermant les yeux pour déguster sa première bouchée, c'est quand il les rouvrit qu'il aperçut Nyalnamar au loin. « Oh ! » Le Prince, qui ne semblait pas s'embêter des formes et de l'image de son approche, se dirigea vers elle avec précipitation. Il profita d'ailleurs du trajet pour mettre à contribution sa main pas encore prise : il attrapa à la volée et d'un geste fluide un verre de champagne qui passait devant lui. Juste le temps de boire une gorgée tout en arrivant enfin face à elle. « Nyalnamar, comment allez-vous ? Je suis content de vous voir ici en chair et en os, avec les vôtres et pas ceux d'un de vos Tulpas cloné j'entends ! C'est un avantage indéniable à ce que la réception ait pris tant de temps à s'organiser ! Alors, dîtes moi, est-ce que vous vous sentez à votre aise ? Oh, et dîtes moi aussi, qu'avez-vous pensé du discours... est-ce que vous ne trouvez pas que j'ai fait un peu long ? » Le Prince ponctua sa phrase d'un sourire innocent, qu'il cacha bien vite derrière son verre. |
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Cdt. Anudar
Respect diplomatique : 374 05/01/1022 ETU 13:35 |
Score : 5
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Le Basileus avait revêtu un chiton blanc auquel il avait superposé un omophorion vert chlorophylle - la couleur qui symbolisait à la fois la monarchie et l'Intégration soit donc l'Etat et le gouvernement de l'Ellada. L'association paraîtrait simple aux yeux de qui ne savait observer, d'autant plus qu'il ne s'était chaussé que de simples sandales en cuir blanchi : la mode, sur Théra, était à la sobriété depuis bien avant l'Apocalypse... Pour comprendre qu'Anudar agissait en tant que représentant de son peuple, il fallait envisager la richesse des tissus employés - nanofibres de kératine plus fines que la soie pour le chiton, et tissu végétal vivant d'une épaisseur cellulaire... comestible en cas de besoin, mais surtout d'une exceptionnelle solidité malgré sa minceur et sa légèreté. Le seul insigne de pouvoir qu'il portait sur lui était le Dactyle d'Enôsos - d'argent orné d'un péridot venu d'Arkhêia Théra, frappé de la devise du tout premier Basileus : la vie coule en toi et à travers toi. Le Basileus régnait et gouvernait, au contraire des monarques constitutionnels d'antan, si bien qu'il était suivi par des gardes du corps qui étaient aussi des conseillers. Il y avait ainsi Vaara Idasorê - statisticienne aux Identités adepte d'un art du combat nommé Déviance : elle savait comment se mouvoir en extrayant au moment le plus opportun l'une ou l'autre des aiguilles empoisonnées qu'elle dissimulait dans ses vêtements - et Tekhor Alcinias - Polémarkhos de la Phalange Hydrane, qui ne se séparait jamais du clap grâce auquel il lui était possible d'interrompre à distance le métabolisme de ses opposants. Anudar savait que les services de sécurité du Prince Jalai, responsables du bien-être des invités de marque, avaient inspecté avec un soin méticuleux chaque centimètre carré de sa peau et de celle des membres de sa suite : s'il y avait eu le moindre doute quant à la stabilité de l'un ou de l'autre d'entre eux, ils n'auraient pas été autorisés à faire entrer ces objets dans la salle des fêtes. Il y avait déjà quelques convives, parmi lesquels se tenaient le Prince lui-même et la Nyalnamar Veritas, à proximité d'une table chargée de victuailles. Anudar hésita : ces deux personnages s'étaient montrés amicaux à son égard, et de plusieurs façons, mais les rencontrer en chair et en os promettait d'être une expérience encore différente. Les peuples elladiques savaient que la survie nécessitait d'établir de bonnes relations avec leurs voisins, et ils y avaient été toujours prêts - mais ils avaient vécu en galaxie Entropie sans contacts avec le monde extérieur pendant trop de millénaires. Anudar lui-même se sentait plus à l'aise quand il s'agissait de traiter avec ses pairs à travers son écran de travail : l'échange direct de pensées permettait d'aller à l'essentiel, alors que faire face aux autres impliquait l'usage de la communication non verbale et de prendre son temps. Le Basileus était patient - comme tous ceux de son peuple, à la vérité - mais il se savait austère, doté de peu d'humour et peu capable d'interpréter les émotions de ses interlocuteurs. Il avait toutefois promis au Prince Jalai de se joindre à la réception et la parole du Basileus équivalait à celle de l'Ellada : d'un pas décidé, Anudar s'avança jusque devant les deux autres. "Prince Jalai, Nyalnamar Veritas, dit-il en basic, je suis heureux de vous rencontrer enfin. Ce soir, je doute que nous parlerons de choses sérieuses..." Puis, à voix plus basse et s'adressant au seul Prince : "Ami Jalai, ce festin est très alléchant mais j'ignore tout de cette cuisine... sauriez-vous m'indiquer lesquelles de ces spécialités sont végétariennes ?"
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Cdt. Denior’back
Respect diplomatique : 352 05/01/1022 ETU 14:16 |
Score : 6
Détails
Le Peacefigther one s’était posé sur l’héliport dédié. Denior en était sorti rapidement et après son habituel bénédiction d’une sol, pris la navette que le prince lui avait envoyé pour rejoindre son Palais. Les réceptions n’étaient pas si courantes et celle ci serait cruciale pour l’avenir de la galaxie. Il fallait donc s’y rendre puisque l’Assemblée ne jouait plus ce rôle. Le discours du Prince était retransmis dans la navette et le Pape sourit à l’évocation des discours interminables. Cela pouvait s’appliquer à lui comme à d’autres et son orgueil habituel lui fit considérer que les siens étaient sans doute interminables mais que contrairement à ceux d’autres, les siens soulevaient toujours les bonnes questions’ avaient du sens et étaient bien écrits. Ils n’étaient ni syllabiques et encore moins Silla Bêtes. Ce genre de jeu de mot intérieur préparait Denior à la réception. Il savait être mondain et les jeux de mots, l’ironie spirituelle y étaient monnaie courante et appréciés. Et de toute façon, lui aimait cela et il ne comptait pas s’en priver si la réception ne prenait pas le tout politique qu’elle devait prendre. Jalai devait prendre ses responsabilités et assumer sa possession de la capitale galactique en étant le Prince. Enfin, il arrivait. On stationna la navette devant le tapis rouge usuel et le Pontife bomba le torse et sortit son plus beau sourire en se dirigeant vers Jalai - « Jalai mon enfant, je suis positivement charme de te rencontrer et de connaître enfin ce Palais dont tu m’as tant parlé » Le Pontife tendit la main ou se trouvait son anneau papal puis regarda autour de lui. D’un regard , il salua le Basileus et l’Oratrice. Qui seraient les prochains ? |
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Cdte. Astery
Respect diplomatique : 93 05/01/1022 ETU 16:10 |
Score : 6
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" OUIIIII ENFIIIN ! " Les bras en l'air, Astery s'enfonça contre le dossier de son siège pivotant et fit un tour complet avant de retomber devant son holocom. Ses yeux parcoururent avec avidité, une nouvelle fois, le message qui y était affiché. Elle se releva d'un bond pour faire face à ses collègues médusés. L'exclamation soudaine de la jeune reporter dans l'open-space avait provoqué quelques sursauts, et le contenu d'une tasse de café s'était déversé sur un projet d'article que son rédacteur tentait de sauver en pestant. " J'ai reçu une invitation pour la Grande Réception sur la Capitale", lança-t-elle sans parvenir à masquer son excitation. " La Grande Réception prévue pour fêter l'arrivée au Gouvernement de Jalai ?" " ... Oui, enfin, peut importe le prétexte..." " Celle qu'on attend depuis des lustres, qu'on avait annoncé dans le premier Scoop ?" " Oui bon ça va ! On s'en fiche, ce qui compte, c'est qu'il y aura tout le gratin de la Galaxie et que je dois absolument y être." Tout en parlant, Astery fourrait son matériel de travail, stylos, calepins, dans son sac à main et débrancha son holocom. " C'est surtout qu'il y aura Jalai..." lança quelqu'un à la cantonade. Quelques sourires entendus s'échangèrent entre les journalistes de l'open space. " Evidemment qu'il y aura Jalai, c'est le gouverneur," répliqua Astery d'un ton sec. Elle jeta la sangle de son sac à main par dessus son épaule et marcha d'un pas vif vers le porte-manteau, sentant le bout de ses oreilles qui commençait à rougir. Elle se retourna une dernière fois vers ses collègues et fusilla du regard celui qui avait lançé cette remarque. " Annulez tous mes rendez-vous. Je serais absente quelques cycles, je vous tiendrait au courant. En attendant, rattrapez les archives de tout ce que j'ai râté dans les affaires sectorielles, je veux un compte-rendu détaillé sur mon bureau à mon retour." Elle s'engouffra hors du bureau et claqua la porte sous les protestations de ses collègues, et s'élança à pas légers dans le couloir. * * * * * * * * [ Capitale Galactique. Entrée du Bâtiment de l'Assemblée. ] " Comment vous dites ?" " Astery. A-S-T-E-R-Y" La jeune femme se détourna du portier, empêtré dans ses recherches dans le registre, et laissa son regard détailler chaque pierre, chaque décoration du bâtiment qui s'élevait devant elle. Au loin, elle percevait des échos de la réception qui avait commencé, mais elle était pour l'instant bloquée à l'entrée. " Alors ?" questionna-t-elle d'un ton impatient. " Alors je suis désolé mademoiselle, je ne vous trouve pas. C'est avec un A, vous êtes sûre ?" " Oui, Astery c'est avec un A, j'en suis sûre", lâcha-t-elle dans un soupir. Le portier recommença sa liste, énumérant les noms du bout de son stylo. Le bout du stylo était mâchouillé, tout comme les ongles du jeune homme, remarqua Astery. Elle fronça le nez et tapota impatiemment son sac à main. " Aaron...Andra...Anudar...Archidragonblood... mmmh... Non, je suis désolé, je n'ai pas d'Astery sur ma liste." " C'est forcément une erreur, j'ai reçu personnellement une invitation !" " Je suis désolé, mais si vous êtes pas sur la liste, je peux pas vous laisser entrer. Oh, salut Maurice !" Le jeune portier s'interrompit pour faire un salut de la main à un homme richement vêtu, qui lui rendit son salut et s'engouffra dans l'entrée du bâtiment. " Mais ! ... Et lui, il rentre comme ça ?!" s'indigna Astery. " Je le connais. Et il est sur la liste, lui" répondit d'un air hautain le portier en cochant un nom dans son registre. La jeune femme bouillonnait. " Bon. Essayez sous les P alors ?" " ... Pastery ?" demanda le portier dans un haussement de sourcil. " P pour Presse" répondit la jeune femme en serrant les dents. Mais ça marche aussi pour Patate, pensa-t-elle. Le jeune homme, avec une mauvaise volonté affichée, tourna les pages de son registre. Puis, au bout d'un moment... " Non, je n'ai rien sous Presse non plus" " Alors dans les S, pour SCOOP ?" " Ecoutez, j'ai du travail, et..." " Cherchez Scoop dans les S, ou je m'arrange pour que vous perdiez votre job et je fais publier un dossier sur vous dans le prochain Scoop." Le portier la dévisagea un instant, puis, serrant la mâchoire, il tourna les pages une nouvelle fois. " Ah. Oui, en effet, j'ai quelque chose sous Scoop. Astery, reporter." " Bin oui." " Vous pouvez entrer. Bonne réception." " Merci bien." Astery planta là le portier avec un immense soulagement, et la boule qui commençait à se former dans sa gorge se dissipa. Après quelques mètres, elle se rendit compte qu'elle courrait presque, et décida de se reprendre. Elle inspira lentement, ralentit le pas, et poursuivit son chemin vers la Réception avec plus de retenue. Le velours épais d'un tapis rouge étouffait le son de ses pas, et le bruit de la fête se rapprochait peu à peu. Elle marqua un arrêt devant un large miroir, et inspecta sa tenue d'un coup d'œil critique. Elle avait enfilé pour l'occasion une robe noire légèrement pailletée, dénudée sur les épaules et cintrée au niveau de la taille. Elle s'évasait ensuite pour s'arrêter au niveau des genoux, et la jeune femme tourna légèrement sur elle même pour s'assurer qu'aucun vilain pli ne persistait des longues heures de voyage dans la navette. Astery passa encore rapidement une main dans ses cheveux, remonta ses lunettes d'un geste rapide, et sourit brièvement à son reflet. Arrivée à l'entrée de la salle de Réception, la reporter parcourut rapidement les lieux du regard. Tapis rouge, tables, buffet, lustres, champagne... oh, voilà certainement la Première Oratrice là bas, et... mmh, ça c'est Anudar. Et Denior aussi. La jeune femme avançait vers ces visages connus, lorsque son regard fut accroché par une silhouette en mouvement. Ah, et voilà Jalai. Une curieuse chaleur dans la poitrine accompagna cette remarque, qu'Astery accueillit avec un froncement de sourcil. Curieux... Elle chassa toutefois rapidement son interrogation et se rapprocha des invités avec un large sourire pour les saluer enfin. |
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Cdt. Denior’back
Respect diplomatique : 352 05/01/1022 ETU 18:24 |
Score : 1
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Alors que Denior se tenait devant Jalai, il reçut de son secrétaire posté à son côté une communication de toute importante. « Jalai, mon Prince, Nous sommes ici chez toi, dans ton Palais mais aussi et surtout dans ton secteur, dans le cœur de ton gouvernement, dans ce secteur où tu as recueilli l’Eglise en lui octroyant une terre d’accueil, faisant de nous de néo natifs de ce secteur. Nous sommes dans le cadre de cette réception dans une période qui devrait être dévolue à la Paix un peu comme aux temps des jeux olympiques. Tous devraient ici venir en Paix et pour la Paix. Et pourtant. Et pourtant je t’expose les faits récemment advenus ; Votre flotte à la coordonnée 18.0.9.1 a subi un assaut de la part des troupes de la cdte. Gomeïsa. Une bataille dans l'espace a donc eu lieu. Vos pertes : 6 145 mécanoïdes télépilotés 10 navettes d'exploration 5 300 vaisseaux diplomatiques Kela Notre défense a estimé les pertes ennemies suivantes : 1 corvette ionique Une troupe d’unités pacifiques a été détruite sans sommation ni déclaration de guerre par la commandante ci dessus mentionnée. Outre l’attaque contre nous, c’est toi que l’on insulte, c’est ton autorité que l’on bafoue. C’est donc à toi d’agir car tu le sais l’Eglise n’est pas une entité combattante. Tu dois agir et sanctionner, quelques fussent les raisons invoquées par cette hyène, car celui ou celle qui tue des êtres désarmés et sans défense est pire qu’une Hyène, tu dois sanctionner. Je t’ai déjà fait rapport des attaques commises par cette soi disant république. Je les expose ici publiquement pour que tous sachent et puissent agir en conséquence. Tu es le détenteur de la capitale. On te bafoue, tu es le Prince, tu dois l’être jusqu’au bout »
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Cdte. Sarah Kléptoman
Respect diplomatique : 19 05/01/1022 ETU 19:52 |
Score : 4
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Dans un scintillement, Sarah apparaît à son coté une bien étrange créature. Un humanoïde en armure dorée apparaît, mesurant environ six pieds sept. Ses jambes digitigrades, une peau semi-perméable couverte d'écailles d'un gris translucide. Quant à Sarah, elle avait revêtu sa tenue civile, une chemise souple de lin couleur crème et un pantalon de cuir sombre qu'elle accorde avec des bottes de cuir. Elles restent à l'écart des discussions, jaugeant les commandants présents. Celle si c'est la journaliste de se magasiner que tu aimes lire ! Lance Zemtal en montrant Astery du doigt. Tu as le prête qui as l'air en grandes discussions avec le gouverneur de la galaxie et de Veritas avec qui il est ou était en guerre en secteur 2. Je n'ai pas lu les dernières nouvelles de l'assemblée. Pfff c'ton job ! Répond Sarah en roulant des yeux. J'suppose que j'vais d'voir aller saluer l'gratin-là. Un soupire au bord des lèvres. Oui ! C'est ton rôle de représenté le groupuscule, en plus ça serait le moyen de parler avec les commandants extérieurs, enfin un peu plus que les deux trois avec qui tu communiques. Elle s'élance d'un pas assuré, Zemtal à sa suite, toutes deux se dirige vers le petit groupe composé de Jalais, Anudar, Denior’back et de Nyalnamar Veritas. Elles s'arrêtent net arrivées à leurs côtés. Salutation à vous commandants ! Je suis Zemtal, lieutenant de notre dirigeante Sarah Kléptoman, veuillez accepter les hommages du Secteur 5 pour votre gentille invitation à cette merveilleuse réception. C'est un plaisir de pouvoir rencontré d'autre dirigeant et commandants de cette galaxie. s'cusez Zemtal, coupe Sarah. Elle sait être très pompeuse parfois. Comme elle disait, j'suis super contente d'être là. C'cool d'lancer une p'tite fête, elle est ou la poulette ? S'pas que je m'ennuie, mais j'voudrais essayer de communiquer avec l'volatile, ça l'air drôle.
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Cdte. Gomeïsa
Respect diplomatique : 120 05/01/1022 ETU 21:02 |
Message édité -
Score : 3
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Un vaisseau de parade escorté de corvettes ioniques avait décollé de Pieni Koira. Gomeïsa avait laissé les rênes temporairement dans les mains de l'Assemblée Galactique selon la constitution. Cela faisait des année qu'elle n'avait pas pris de temps pour se changer les idées et espérait qu'elle y arriverait auprès des commandants de la galaxie. Eux savaient les affres du commandement de dizaines de milliards d'habitants. Elle s'installa dans un fauteuil et écouta le discours du prince Jalai. Dans le même temps, elle reçut un Com-x d'Astery et sourit. Elle lui répondit rapidement, et transmit la copie à l'Assemblée puis se cala confortablement dans son siège. Le copilote vint la réveiller quelques heures plus tard. "Nous arrivons ma Dame." "Hein ? Déjà ?" "Vous avez dormi tout le long du voyage. L'escorte vient de nous quitter en stratosphère de la capitale galactique et nous avons reçu l'autorisation de nous poser. Désirez-vous quelque chose ?" "Non, je vous remercie lieutenant". Elle regarda sa suivante, Tava et sa garde du corps, Lumni qui bavardaient tranquillement, puis se leva et passa dans la salle des bains pour se préparer. Elle contempla son choix de tenues et prit une robe bordeaux qui lui allaient jusqu'au pied avec cependant un ouverture qui lui permettaient de se mouvoir plus facilement quand elle entendit un toussotement de l'autre côté de la porte. Ouvrant, elle vit sa garde du corps qu'elle invita à entrer. "Je vous glisse cela à votre cuisse ma Dame. En cas de problème..." "Merci Lumni, mais normalement, je n'aurai pas à m'en servir" tout en lui souriant afin de lui montrer qu'elle la remerciait. Tava arriva inopinément et annonça que le lieutenant leur avait annoncé leur arrivée et qu'un officiel les attendaient sur la plateforme pour les conduire à un véhicule devant les mener à l'Assemblée. Elles sortirent toutes trois après que Gomeïsa eut remerciée le pilote et son second et rejoignirent l'officiel. Les échanges d'usage durent rapidement échangées et elles montèrent à son invitation dans le véhicule qui les conduisirent au palais du prince Jalai. Arrivé au pied des marches, elles sortirent du véhicule et grimpèrent les marches jusqu'au portier qui enregistra le nom de Gomeïsa mais eut une brève hésitation devant la suivante et la garde du corps qui le regardaient. Il fit mine de leur demander de ne pas entrer, mais Tava lui fit un grand sourire et l'implora de les laisser elles aussi. Gomeïsa s'amusa de voir sa suivante mettre au supplice ce pauvre portier qui n'avait rien demandé, mais avant d'avoir pu dire à sa suivante de se calmer, il avait capitulé. Elle lui embrassa les joues et toutes trois entrèrent, Gomeïsa ayant juré voir du rouge sur les joues du portier. Arrivées dans la salle de réception, Lumni lui glissa : "Je vais là-bas, si vous avez besoin de moi, j'ai une présence trop...tranquillisante pour des dinées mondains." Gomeïsa acquiesça et repéra celui que devait être le prince Jalai. Elle s'avança droit vers lui et le salua par un bref salut de tête. "Prince Jalai, heureuse de vous rencontrer enfin, je suis Gomeïsa. Nos échanges réguliers me poussaient à la curiosité et je suis ravie d'être ici." Tava lui toucha très discrètement le bras et indiqua une personne. Gomeïsa reconnut Astery et vit son regard. Elle laissa alors Jalai et lui souhaita une bonne soirée. Passant à côté d'Astery, elle lui sourit et lui glissa doucement "Je vous le laisse" avant d'aller rejoindre Nyalnamar Veritas. Arrivée devant elle, elle la salua courtoisement.
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Cdt. Zieloth
Respect diplomatique : 29 05/01/1022 ETU 21:28 |
Score : 3
Détails
Un vaisseau s’avança dans les profondeurs les plus noires de la galaxie. On ne voyait pas grand choses si ce n’est les étoiles et les manteau de différentes couleur qui se dessinait de manière très subtile et jolie. Puis, l’hyperpropulsion s’arrêta, et des planètes apparurent à différents endroits. Devant le vaisseau la capitale. « -Commandant nous arrivons. -Vous savez ce qui vous reste à faire. » Zieloth descendit dans ses quartiers pour se préparer. Il avait choisis simple, comme d’habitude : un pantalon rouge sombre, une tunique pourpre, et un manteau bleu nuit lui arrivant aux genoux. Sur le manteau, un simple bijou qui ornait le col, une épée croisée avec une carte stratégique. Il enfila sa tenue, puis ses bottes noires, et ferma un instant les yeux, essayant d’oublier les derniers évènements qui s’était passé. Il comptait bien profiter de cette soirée, pour se relâcher un peu. Il y eu tellement de mort, et on continue à parler de morts à droite et à gauche. Ils ne se doutaient pas qu’ELLE avait des rapport très privilégié avec le premier stratège… « -Nous allons-nous amarrer. » Zieloth hocha la tête. Comme d’habitude, il a prit plus de temps plongé dans ses pensée. Il se leva, et alla vers le pont. Il donna ses instructions, en demandant a son équipage d’être prêt mais de profiter tout de même un peu de la capitale. Pas tous les jours qu’on pouvait aller l’admirer. Lorsqu’il sortit de son vaisseau, on l’aborda immédiatement pour savoir son nom. Dès qu’il déclina son identité, on le conduisit immédiatement à travers un dédalle de couloir et de portes. Puis on lui indiqua que la réception se tenait derrière la dernière porte. Zieloth hocha la tête, inspira, expira, puis poussa les portes. Il faisait déjà chaud dans la pièce et l’ambiance était déjà au rendez-vous. Denior se plaignait encore des bombardements qu’il avait reçus, et tout le monde avait l’air de passer un bon moment, dans l’ensemble. Zieloth sourit. Cela lui faisait du bien… Il attrapa une flute de Champagne qui passait, et en but une gorgée, avant d’aller commencer à faire le tour des personnes. Il commença par Anudar, et s’approcha de lui en souriant : « -Bien le bonsoir, enchanté. Je m’appelle Zieloth, et j’espère que nous pourrons à l’avenir faire plus ample connaissances. » Il discuta un moment avec ce dernier puis Zieloth alla voir Jalai. Avec un franc sourire. « Prince Jalai, il était temps que je vous rencontre. Enfin nous pouvons se voir, c’est un honneur. J’espère que vous prenez plaisir à cette fête. En tout cas, elle semble bien réussie ! » Il discuta un peu puis partit saluer d’autres personnes. Denior… « Salutations, mon père. Je suis surpris de vous voir ici, mais j’espère que vous saure profiter des festivités. Et nous sommes dans un moment ou nous nous amusons. Laissez la guerre, et les broutilles de la sortes de côté, détendez-vous. Mangez, et buvez, ce sera mieux pour votre grand âge. » Zieloth ricana doucement, avant de parler de deux trois choses avec lui, puis prit congé de ce dernier. Il s’approcha d’Astery. « Mademoiselle Astery, il était temps que nous nous rencontrions. Sachez que j’aime beaucoup vos revues, et vos scoop elles sont très bien faites, et fournies. Vous avez des informations partout ! » A nouveau, il discutât de quelques mondanités, avant de changer de personne. Il s’approcha de Sarah, et sourit, avant de dire : « Je vous reconnais à votre accent, et votre Franc parler, mademoiselle Sarah. Heureux de faire enfin votre connaissance… » A nouveau, il parla, un peu plus longuement cependant, avant de se diriger vers Gomeïsa, et la Nyalnamar. A la première, voici les propos qui lui dit : « Enchanté de faire enfin votre connaissances ! J’espère que nous pourrons en apprendre un peu plus l’un sur l’autre. » A nouveau, des échanges, là aussi un peu long, puis il se tourna vers la Nyalnamar, qu’il salua d’un hochement de tête : « -Je suis heureux de vous revoir à nouveau. Et je suis heureux de voir également que vous n’êtes pas venue seule, dit-il en saluant l’Orée également. » [Note HRP : Lorsque je dit qu’il parlent un peu, c’est des mondanité, comment allez-vous, le voyage etc. Et il se déplace pas vraiment, mais il laisse la possibilité de partir sur une autre conversation.]
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