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> Mission "CLÔNES" [RP]
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Cdte. L'Ire
Respect diplomatique : 314 
06/05/1014 ETU 23:19 |
Score : 6
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Vermeil, rêveuse, se laissait aller, les yeux clos, la tête posée sur la poitrine de son compagnon. Lorsque celui-ci se redressa, elle grommela vaguement, se tourna sur le côté en chien de fusil et retourna à sa somnolence. Elle fût tirée de ses songes par les carresses appuyées du Commandant, ne laissant aucun doute sur ses intentions. "Hmm, entreprenant... Pourquoi pas..." -Allez, laisse-toi faire, tu ne demandes que ça, hein ? T'es trop bonne... Laisse-toi posséder par ton fiancé... sans cri et sans pudeur... Vermeil se redressa brusquement. " Hé ! Mollo garçon. Le dernier qui m'a causé comme ça il cherche encore sa paire de cou..." Au cours des années, Vermeil avait appris à se fier aveuglement à son instinct. Et lorsqu'elle posa les yeux sur Neal, ce dernier lui hurla : DANGER ! Elle eu un imperceptible mouvement de recul tandis qu'elle détaillait l'homme qui se tenait au-dessus d'elle. C'était Neal, mais quelque chose ne collait pas. Sa stature, fière et assurée était teintée d'agressivité. De même, elle distingua dans son habituel regard malicieux et son sourire charmeur une nuance de... perversion. Elle se redressa lentement, genoux fléchis pour abaisser son centre de gravité et assurer ses appuis, les épaules légèrement voutées, le cou rentré, tout dans sa posture évoquait un animal méfiant. "Putain, t'es qui connard ?"
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Cdt. Kemal
Respect diplomatique : 881 
07/05/1014 ETU 11:24 |
Score : 4
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 Ce message a été supprimé durant la partie.Amber les conduisit directement aux appartements privés de Neal qui se situaient dans les étages du bâtiment. ils avaient fouillés plusieurs pièces avant de se diriger vers les parties privées comprenant les chambres. Après avoir reçu l'appel de Kemal, Eithan laissa les filles et redescendit pour accueillir les deux commandants. Mon frère. Empereur Kensei. Trève de politesse, sais-tu où est Neal et où est le dernier clone? Pour Neal, on a fouillé les appartements privés et il nous reste que la chambre. Pour le clone, on ne sait pas. On espère qu'il n'est pas encore sur la planète ou même dans le bâtiment mais nous n'en avons aucune certitude. C'est le point faible de notre position. Ouais.... En espérant qu'il ne soit pas là. On sait que tous les clones ont un pouvoir particulier. Sachant que celui qui jouait les passes-murailles est mort, on peux espérer que celui qui reste n'a pas le même pouvoir. Mais lequel, ça après c'est une autre question. Tout en parlant il avait rejoint le reste du groupe et discutait sur la marche à suivre en continuant à fouiller. Amber était de plus en plus blanche, l'inquiétude se lisait sur son visage mais elle tenait bon. Ils arrivèrent devant la porte de la chambre de Neal. Amber frappa à la porte et tenta d'entrer sans attendre de réponse. La porte était bouclée. Neal? NEAL??? On entendit du bruit derrière mais personne ne vint ouvrir. Ok. Amber reculez, Eithan reste devant elle. Empereur, vous me suivez? Et il donna un coup de pied en plein coeur de la porte dont le système de fermeture céda et il pénétra dans la chambre en dégainant son épée. Il tomba alors devant un spectacle incongru. Une des soeurs de L'Ire, Vermeil il lui semblait, dans le lit de Neal, assez nerveuse et le visage grave. Neal au-dessus d'elle, une expression avide sur le visage. Qu'est-ce que?....
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Cdt. Neal O'Seven
Respect diplomatique : 358 
08/05/1014 ETU 14:50 
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Score : 5
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Connard ? Mais je suis ton Neal adoré !!! Viens ma dulcinée, ne fais pas ta farouche ! Je sais bien que tu as envie d'être dominée, toi la guerrière indomptable... Je vais te donner tant de plaisir que tu ne pourras plus te passer de moi... Quitte à t'y contraindre. Le clone s'était levé face à Vermeil et il attrapa le poignard qu'il avait à la cheville. Il allait falloir qu'il se battre pour cette femelle acariâtre, mais elle en valait le coup malgré ses cheveux rouges et son corps abîmé de multiples cicatrices. Ce n'est pas ça qui l'excitait mais le fait de la voler à Neal, le vrai. Rhââââ ! Un premier coup de poignard la fit sauter en arrière. Non ça ne pouvait pas être Neal ! S'ensuivit un combat où le clone avait, en principe, la suprématie puisqu'il était armé et que Vermeil était quasiment nue... ---------------------- Pendant ce temps, le "vrai" Neal était dans les profondeurs du lac, totalement inconscient, flottant entre deux eaux.
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Cdte. L'Ire
Respect diplomatique : 314
08/05/1014 ETU 22:36 |
Message édité -
Score : 7
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"Pour info, j'ai deux frangines qui me ressemblent comme deux gouttes d'hémoglobine, alors si tu crois que je vais gober que t'es Neal parce que t'es foutu pareil, tu me prends vraiment pour la reine de connes... Donc tu vas me dire qui t'es, ce que tu fous ici et où est Neal. Et ensuite on va regarder à quoi tu ressembles vu de l'intérieur..." Pendant qu'elle parle, Vermeil étudie ses possibilités. Un homme seul. Facile. En théorie. Nulle trace de Neal. Et ça l'inquiète. Trois solutions : inconscient, immobilisé, mort. Elle jette un rapide coup d'oeil vers la bordure du lac. Ses vêtements, son revolver et sa lame. Seul problème, il y a un individu armé entre elle et son matériel. -C'est ça, parle, occupe le. Tu l'emmènes tranquillement en direction de tes fringues et tu lui colles 6 balles à têtes creuses dans sa putain de tête de beau gosse. Mais 'Neal' est plus rapide. D'un geste souple, il tire un poignard à la lame effilée de sa botte. Large balayage en direction de la jeune femme. Elle se jette en arrière au dernier instant. Déluge de coups. Elle esquive tant bien que mal. Mais ça ne suffit pas. De profonds sillons ornent ses bras. Son sang coule. Sa sève s'échappe. Tâche vermeil sur l'herbe fraiche. -C'est ça. Fatigue-le. Et regarde. Regarde bien surtout. C'est un baguarreur pas un guerrier. Il tranche il pique. Il sait pas y faire. Cherche, cherche. Trouve son rythme. Attend la faille et frappe... Maintenant ! Le faux Neal se fend et est déséquilibré quelques secondes. Suffisant. Violent coup de paume sur le nez. Craquement sinistre. Le sang gicle. Vermeil se retourne et court vers ses armes. Elle glisse dans l'herbe humide. Chute violente. Douleur lancinante. Une, deux peut-être trois. Trois côtes brisées. -Pas grave. Rampe. Chope ton arme, tue tue. Elle tend le bras vers son arme. Une botte lui écrase la main. Elle se retourne. Son adversaire est déjà sur elle. Derrière, le lac, calme et paisible. Coincée. Coup de talon dans la tempe. Son esprit vacille à la limite de l'inconsience. Une main l'aggripe par les cheveux. La tire à l'eau. Sous l'eau. Elle se débat. Emmerge. "Enc...bllgrl...é de fi...bllgr...ls de...blll put...brllll" Et replonge. Plus d'air. Plus rien. Juste le silence. Le silence et cette pression sur son torse. -Calme, calme. Il veut te tuer. Il te tue. Elle arrête de se débattre. Se détend. La pression se fait hésitante. Se relâche. Elle lui décoche un violent coup de genou dans l'aine. Il tombe à l'eau. Vermeil se redresse, tousse, crachote. Elle remonte sur la berge. Et cours. -La fôret. Il va te chercher. Tu vas le trouver. Tu vas le tuer. Tu survis. Tu survis toujours. Il meurt. Elle détale. Glisse. Trébuche. Elle continue. Une main se referme sur sa cheville. Nouvelle chute. Deux mains puissantes se referment sur son cou. Elle gratte le sol frénétiquement. -Une branche. Un pierre. N'importe quoi. Là ! Une pierre grosse comme son poing. Elle l'agrippe et frappe. Dans la tempe. Grognement douloureux. Il tombe sur le côté. Nouveau coup. Encore la tempe. -Allez c'est fini. Il se relève plus. D'un coup de dents, elle lui déchire la carotide. Le sang coule dans sa gorge. Chaud. Visqueux. Jouissif. Et elle frappe encore. -Tu survis ! Toujours la tempe. - Il meurt ! La chair éclate comme un fruit trop mûr. - Rage ! Le crâne s'ouvre. - Haine ! Sous les coups répétés, la cervelle vole, éclabousse les alentours. - Ire ! Le visage de l'homme n'est plus qu'une bouillie informe. Vermeil se redresse, lentement elle relâche la pierre. Le sang qui coule de ses plaies se mêle à celui de l'individu qu'elle vient de tuer. Elle reprend ses esprits, revient à la conscience. Le berserk, la rage du sang. Cet état de conscience... d'inconscience animal, brutal propre à son peuple qui l'a sauvée plusieurs fois. Il l'a encore sauvée ce soir. Elle redevient Vermeil. Elle se dirige vers son équipement, récupère son revolver à crosse d'ivoire et tire à six reprises dans le torse du cadavre. C'est fini. "Enfoiré !" Elle crache par terre. "Tu serais tombé sur Vide, tu serais mort en 5 secondes. Avec Vice tu serais en train de supplier qu'on t'achève...." Moue dégoutée. "T'as du bol que Neal me trouve plus à son go..." - Neal ! "Neal ?"
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Cdt. Kensei
Respect diplomatique : 322 
08/05/1014 ETU 23:57 |
Message édité -
Score : 5
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Qu'est-ce que c'est que cet appareil ? De la téléportation ?... Sur une aussi longue distance ? C'est... dérangeant. Nous parlerons de ça plus tard. Bref... Pour les troupes, ce n'est même pas la peine. Si c'est là où je pense... Eh bien oui, c'est bien là où je pense. Kemal et Kensei déambulaient dans les couloirs. L'appel radio leur indiqua qu'il n'y avait rien dans le bâtiment. Dehors, peut-être. Qu'est-ce qui vous fait dire que c'est dans les environs ? Un tir retentit, ainsi que d'autres, plus loin vers le lac. D'accord, oubliez ma phrase. Hâtons-nous. Kensei dégaina son sabre et Kemal ses armes, ils se dépéchèrent d'aller à l'endroit en question. J’espère que rien de fâcheux n'est arrivé. Ce serait embêtant. Les coups se sont arrêtés, c'est vraiment mauvais signe. Ils arrivèrent au lac, et virent des traces de sang. Tout indiquait que plusieurs personnes s'étaient battues ici. En les suivant, une forêt fut visible. Eh bien, formidable. Une forêt. Le terrain parfait pour les embuscades. Il faut être prudent. Les traces continuaient sur une certaine distance. Kemal et Kensei redoublaient d'efforts pour n'être ni audibles ni visibles. Dans une clairière, il virent une femme debout, couverte de sang, devant un cadavre à peine reconnaissable. Ils sortirent, armes à la main. Retournez-vous lentement et déclinez votre identité...
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Cdt. Neal O'Seven
Respect diplomatique : 358
09/05/1014 ETU 00:16
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Score : 5
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Au même moment, de grosses bulles d'air et un gros remous dans le lac fit remonter le corps de Neal, inerte, flottant sur le dos à la surface. Il était inconscient, ses cheveux auréolant son visage exsangue et son corps nu était d'une blancheur spectrale sous la lumière lunaire. Ballotté tranquillement par les eaux, Neal semblait mort. Cependant son esprit vivait encore et des sensations l'agitaient. J'ai froid... Il fait noir et froid... Je n'ai pas mal mais j'ai froid... Il faut que je respire mais c'est bloqué, je n'y arrive pas... au secours... ma voix ne sort pas... je n'ai plus de souffle... quelqu'un... au secours ! Il n'avait aucune conscience de ce qui pouvait se passer sur la berge à quelques mètres de lui et ne se souvenait même pas de ce qui lui était arrivé. La seule pensée réconfortante qu'il avait était un baiser reçu, chaud et sensuel auquel il s'accrochait pour ne pas sombrer dans la nuit froide.
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Cdte. L'Ire
Respect diplomatique : 314
09/05/1014 ETU 00:45 |
Score : 6
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Avant qu'elle ait pu se mettre en quête de Neal, une voix intima à Vermeil l'ordre de se retourner. La voix du berserk qui résonnait en elle ne s'était pas encore totalement tû. -Ennemis ? Du Sang ! Elle reconnu les commandants Kemal et Kensei pour les avoir croisés à quelques reprises à l'assemblée. -Non "Tu tombes sur une nana à poil au milieu des bois et ton premier réflexe c'est de la braquer ? Tu dois pas t'envoyer en l'air souvent toi..." Les commandants ne firent pas mine d'abaisser leurs armes, affichant un air sévère. "Ok, c'est peut-être pas le moment pour un trait d'esprit." Du canon de son arme, elle désigna le cadavre en charpie à ses pieds. "Il... Enfin vu l'état je devrai dire ça." Sourire sardonique. "Ca vient d'essayer de me buter. Manque de bol je suis plutôt du genre coriace. Vous foutez quoi ici ? Vous êtes les secours ? Un gusse en sable et un mec à moitié cafetière. Sacrée équipe... D'ailleurs, cyborg, c'est une insult... Merde ! Neal ! Il a disparu juste avant que ce type se pointe. Il doît être quelque part près du lac. Grouillez-vous ! Je suis pas en état pour piquer un sprint. Ah ! Le gars, là, c'était son jumeau."
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Cdt. Kensei
Respect diplomatique : 322
09/05/1014 ETU 18:17 |
Score : 6
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Kemal et Kensei se regardèrent pendant quelques secondes, l'air légèrement étonnés. Kensei soupira. Je vois qu'elle n'est pas plus polie en vrai que derrière un écran. Pour votre information, ce n'est qu'une armure de combat. J'ai des implants et des éléments cybernétiques, mais je garde un corps normal... Bien. Retournons près du lac. __________________ Les cheveux du Zuu flottaient au vent. Elle affichait un regard grave, Eithan conduisait le véhicule et Amber était à côté de lui, fixant chaque recoins. L'appareil était un gros aéroglisseur magnétique. Il glissait sur l'herbe, de façon très rapide. Ils se mirent à contourner le lac. On a bien fait d'emprunter cet appareil. Franchement, je n'aurais pas im... LA ! L'aéroglisseur fit un énorme dérapage, suite à un coup de frein violent d'Eithan qui avait également remarqué le corps de Neal flottant à quelques centaines de mètres dans l'eau. Zuu se mit debout et sauta du véhicule, effectuant une roulade au sol sous les yeux de ses deux compagnons, incrédules. Elle fit tomber son sabre au sol avant de se jeter à l'eau. Elle ramena rapidement Neal à la berge, et ils tentèrent de le réanimer. __________________ Kemal, Vermeil et Kensei sortaient de la forêt. En arrivant sur la plaine, ils purent distinguer le groupe. Ici. Regardez, il y a Zuu et ses compagnons. Je crois voir Neal, allongé... Dépêchons. Ils arrivèrent en courant, et trouvèrent Eithan en train d'essayer de réanimer Neal, et Amber, visiblement très anxieuse. Neal, blanc et allongé, ne semblait plus respirer.
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Cdt. Kemal
Respect diplomatique : 881
10/05/1014 ETU 13:38 |
Score : 6
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*Allez.... Respire....... Respire.....* Eithan faisait du bouche-à-bouche à Neal. Zuu venait de le sortir de l’eau et il peinait à lui faire reprendre sa respiration. Entendant du bruit, il vit Kensei, Kemal et, lui semblait-il, la commandante Vermeil dans une tenue plutôt légère voire inexistante, arriver vers eux. Il s’en étonna peu, n’ayant pas le temps de s’en préoccuper. Il continua les massages cardiaques et le bouche-à-bouche pendant plusieurs minutes mais sans succès. Il se releva et croisa le regard de Kemal qui comprit de suite et acquiesça. Il se mit à genoux à côté de Neal et posa son épée. Il mit sa main dans les replis de son habit et en sorti un objet. C’était une pierre plate et ronde, fixée à une armature métallique. Un arceau métallique permettait de mettre la main et de caler la pierre contre celle-ci. Tu es sur ? On n’a pas le choix, c’est ça ou il meurt. Il est resté trop longtemps dans l’eau. Eithan opina et prit le même instrument. Kemal en prit un autre, une autre pierre plate mais plus petite avec un arceau métallique en forme de bague se mettant sur trois doigts. Il le mit à sa main gauche, sur son annulaire, majeur et index, le premier instrument allant dans sa main droite. Il mit celle-ci au dessus du ventre de Neal, sa main gauche au dessus de sa tête. Eithan mit sa main droite au dessus de la cage thoracique, sa main gauche sur la première. Les deux Ilakiens fermèrent les yeux, leurs visages se détendirent. Ils se mirent alors à parler, d’une langue ancienne, jamais entendue en dehors de leur monde. Ils psalmodiaient d’une voix gutturale que personne ne leur connaissait. Leurs visages se crispaient, les pierres émettaient une lumière orangée dont la luminosité augmentait. Les mains des Ilakiens se crispaient, les muscles de leurs avant-bras étaient contractés et des craquelures apparaissaient. Ils ouvrirent les yeux et ses derniers, d’ordinaires de couleurs étincelantes, étaient ternes et ternissaient encore et encore jusqu’à devenir noir. La litanie s’élevait, de plus en plus pressante et oppressante. Puis la lumière se coupa. Neal ouvrit les yeux et la bouche, cherchant de l’air. Kemal tomba en arrière, se rattrapant sur son bras droit. Eithan bascula en avant, se rattrapant sur ses poings. Neal !!! Amber lui sauta au coup en sanglotant tandis que le guildéen reprenait bruyamment sa respiration. Eithan et Kemal respiraient lourdement, leurs yeux reprenant leurs couleurs.
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Cdt. Kensei
Respect diplomatique : 322
10/05/1014 ETU 15:28 |
Score : 6
Détails
Zuu s'approcha lentement de Kensei, et les deux se regardèrent. Ils étaient véritablement surpris de l'étrange litanie que réalisaient les deux ilakiens. Le temps passa, durant les longues minutes, Zuu s'approcha d'Amber pour la soutenir et Neal se réveilla à nouveau. Le groupe entier sembla beaucoup plus détendu. Kensei acquiesça. Ravi de voir que tu vas bien Neal. Il te faut des soins poussés, mais avant cela... Il faut que nous discutions. Ces clones ne sont pas sortis de nulle part. Pour la sécurité de la galaxie, il va falloir découvrir qui est derrière cela.
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