Cdt. Koy
Respect diplomatique : 217 10/06/1014 ETU 08:51 |
Message édité -
Score : 2
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Le calme commençait à revenir dans cette salle qui devait être le cadre d'un banquet d'accueil et de rencontre ... Quel gachis ... Enfin Koy se tourna vers Antho Mercer et Doragorn, qu'il n'avait même pas encore pu saluer ... Commandants, Messieurs, une soirée bien mouvementée pour un premier contact ... Je suis confus ... Puis Koy fit signe à la seule serveuse qui était restée dans la salle, se tourna de nouveau vers Petyr Baelish, la main légèrement tendue ... Commandant, Messire, un alcool pour se remettre de nos émotions ... il doit bien y avoir ici un de ces ArtMagnac ...
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Cdt. Petyr Baelish
Respect diplomatique : 432 10/06/1014 ETU 13:55 |
Score : 2
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<Il regarda les trois hommes et la main tendue de Koy redoubla ses sanglots. Je... J'ai fait cela... Pour Sagesse... Et je me suis battu... Pour Sagesse... Quand bien même, elle m'a découpé... Et je n'ai pas eu une seule seconde à moi pour évacuer... Ma souffrance... Je... PRRRT ! Il se moucha bruyamment avec la nappe de la table. Puis, torchant ses larmes d'un revers rageur, il reprit : Je débarque ici et on me crache à la gueule. J'aimerais que vous repensiez à vos attitudes lors de l'Apocalypse dans cette galaxie. Si je ne suis plus là pour vous les rappeler. Peut-être comprendrez-vous ce qu'un Commandant ayant payé cher pour sa galaxie défunte a pu ressentir. Il se releva et serra la main de Koy, le gratifiant d'un signe de tête. Il se tourna ensuite vers Antho Mercer. Non pas, messire. Votre émissaire a été très... Rédemptif ? J'ai su à qui j'ai affaire en visionnant les holos de la salle, mais il ne s'est pas présenté à moi. IPuis, s'adressant aux deux chefs d'état. Vous avez devant vous Petyr Baelish. Ancien Grand-Argentier de Westeros. Ancien tenancier d'un bordel remisé en quartier général de la Résistance en Sagesse. Ancien adepte de la débauche et de la luxure en Sagesse. Je n'en suis pas moins honorable et loyal.
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Cdt. antho mercer
Respect diplomatique : 72 10/06/1014 ETU 17:47 |
Score : 2
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La situation commença à se calmer enfin ce n’était point trop tôt, le commandant Koy se tourna vers nos deux « amis » pour leur adresser quelques paroles. Nous l’avons tous été, ne vous en faite point... Ce fut maintenant le tour du commandant Baelish, ses pleurs redoublèrent face à la main tendue du commandant Koy, il dit aussi certains de ses malheurs en Sagesse, en utilisant une nappe comme mouchoir, il dit aussi ce qu'il avait sur le cœur de ses rencontres jusqu'à présent, il ajouta quelques mots sur notre Doragon et pour finir, il put se présenter un peu plus dans les formes. Veuillez le pardonner, lorsqu'il croit en une idée, il a tendance à rester buté sur celle-ci, il s'appelle Doragon, l'on appelle monsieur, car il a un certain titre et certaine grâce de ma part. Pour ma part, je ne suis qu'un humble commandant de rédemption ni plus, ni moins. Je suis ravi de faire votre connaissance, même en ses circonstances. Bien, si cela peut vous rassurer, votre mort ne fait plus partit de mes envies, bienvenu en rédemption ! Même s'il était un peu en retard, il la dit quand même non ? Son aura rouge avait complètement disparu depuis, peut-être avait-elle un effet sur lui, qui sait... Il fit un petit signe de tête en guise d'un certain respect au commandant de Sagesse. Vous nous apprendrez sans doute beaucoup commandant, je ne dis point le contraire, votre expérience nous sera certainement nécessaire, comme à tous les ex-habitants de Sagesse. Je ne doute pas de votre honneur ou de votre loyauté, un homme ne peut être jugé par ses origines ou ses lieux d'origines... Bon ! Finis, les discours ennuyeux non ? Vous voulez aller prendre un verre camarade ? Le commandant Mercer, avait une drôle d’expression, comme-ci il avait presque honte de l’attitude de son envoyé, mais cette expression s’en alla assez vite et un léger sourire la remplaça, peut-être était-ce enfin le moment pour retourner festoyer qui sait.
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Cdt. Koy
Respect diplomatique : 217 10/06/1014 ETU 18:17 |
Score : 2
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La serveuse qui Koy s'était adressé revint vers Lui, présentant une bouteille cachetée que Koy reconnu sans difficulté, et plusieurs verres ballons ... Commandant, je connais bien le Barman d'Aethernalia, et j'ai pu faire venir ceci : je crois que c'est Votre Frère Zu qui en avait remisé quelques caisses ... grand argentier, tiens tiens ... Koy avisa une table basse et quelques fauteuils, un peu à l'écart ... Très bonne idée ..., merci ... Voulez-Vous poser cela là-bas ..., je vais l'ouvrir ... Koy sorti de sa poche un rouleau dont il tira quelques billets qu'il glissa dans la main de cette femme pleine de ressources Une initiative pareille ... ça vaut de l'or ... Puis, tourné vers Petyr en montrant la table ... Grand argentier dites-Vous ... Venez goûter ceci ... je suis certain que même en Sagesse il n'y avait pas un trésor pareil ... Puis vers Antho Mercer et Doragon ... Vous allez bien Vous joindre à Nous ... Koy en avait totalement "oublié" les autres convives ..., il se rattraperait bien après ...
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Cdt. Petyr Baelish
Respect diplomatique : 432 11/06/1014 ETU 16:06 |
Score : 3
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>Petyr prit place à la table.< Oui, "ancien" Grand-Argentier. Mon travail consistait à apprendre la reproduction aux pièces. On me donnait deux piècettes de cuivre et le landemain, j'en avais dix de plus. Pareii pour l'argent et l'or. Hélas, cela ne marche pas avec les £eems. Et aujourd'hui, Westeros n'est plus que ruines. Il se tourna vers Antho Mercer et dit un peu sèchement : Que je vous apprenne les secrets de la vie en Sagesse ? La guerre spatiale. Pas le genre de rixe de corsaires qui laissent des cicarices viriles. La plupart de nos troupes se faisaient exploser. Nos pères, nos fils et nos frères massacrés par les hordes kamikazes de Nicci. Nos mères, nos filles et nos soeurs violées par les diplomates de Lokos. Ricardo Rahl qui nous bombardait à l'ADM. Et Havelock qui en rigolait. Il eut un sourire ironique avant de rire franchement. Excusez-moi. Un petit trait d'humour noir de chez moi. Que dire d'autre ? Ah ! Sur Westeros, il existait des géants encore plus grands que messire Doragon ici-présent. Il sortit alors de sa poche une montre à gousset et la manipula un instant. On put lire dans son regard : le désir, la déception et l'espoir. Emotions qu'il commenta au fur et à mesure. Madame Vice adore mon cadeau. Madame Vermeil le trouve inutile. Et X me dit que je peux me faire soigner pour retrouver ma virilité. >Il se renfonça dans son siège, prit un verre et but en songeant au plaisir qu'il éprouverait à culbuter Vice. ou Zuu. Ou Elea. Ou Vice...
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Cdt. Koy
Respect diplomatique : 217 11/06/1014 ETU 20:49 |
Score : 3
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Koy s'était assis sur le devant de son fauteuil et avait pris le temps de tapoter doucement la cire d'étanchéïté qui couvrait encore parfaitement le bouchon ... qu'il commença ç faire tourner lentement ... Attention, surtout ne pas le casser ..., et respirer profondément en même temps pour laisser aller le trop plein d'énergie accumulé ... regarder le bout du bouchon ... le respirer ... soulever la bouteille ... attraper un des ballons pour verser le haut du goulot ... mirer la couleur de l'alcool ... goûter ... et ressentir son chronoBras vibrer à un rythme d'alarme très particulier ... qu'est-ce qui se passe encore bon sang ... y peuvent pas me fou... ouvrir le son et entendre à l'oreille Eléa ... en sanglot ... Koy, rentre vite ... Neal ... Amber ... ils sont .... Reviens interloqué, Koy tendit la bouteille à Petyr en balbutiant ... Tenez ... servez ... on m'appelle ... Neal et Amber ... je dois partir Koy modula ... et disparu
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Cdt. antho mercer
Respect diplomatique : 72 12/06/1014 ETU 15:23 |
Score : 2
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Après tout ceci, le commandant Koy nous montras une table assez reculée, Baelish ne se fit pas attendre et alla directement s’installer à cette table et Koy lui invita nos deux compagnons à les rejoindre... C’est avec plaisir que nous nous joindrons à vous commandant Il fit comme une petite courbette pour bien marquer sa politesse sans doute et reprit une position normale. Parfais mon gars ! J'n'attendais que ça ! Mais merci de proposer hein ! Nos deux amis partirent donc en direction de cette même table, le commandant Baelish répondit entre-temps à notre commandant... Et bien, quel humour... Intéressant, je suis navré si je n'en ris point, mais cela était bien essayé. Tu parles de géant qui « existait » hum ? Bah sache que moi, j'existe encore et pour longtemps ! Jamais je ne mourrais ! Soudain le bracelet d'Antho se mit à vibrer et afficha un holo-message devant notre commandant, il fit un pas en arrière sans doute pour la surprise et ses poings étaient maintenant serrés. Désolé de devoir vous laisser comme ça... Je viens d'avoir une nouvelle... Inattendue, je vous pris de m'excuser, Doragon vient ! Il salua les commandants restant à ce banquet et commença à partir. J’n’ai même pas pu boire un verre ! Même après cette remarque, il remarqua que son commandant était plus que sérieux... Il laissa le verre qu'il avait déjà pris et en fit don au commandant Baelish. Vu que t'es le seul à côté d'moi, tien et profite en bien.... Il avança vers le commandant Mercer et lui demanda ce qu'il se tramât. Une affaire importante... Bon et bien retournons sur Hades ! Nous ne pouvons pas... Comment ?! Qu’importe allons-y Il s’en alla comme il était venu, dans l’ombre avec son géant, chaque pas de ceux-ci résonnèrent dans tout le couloir ainsi que dans le banquet... Et le vaisseau... ? Pas le temps ! Personne ne pouvait les voir d’où ils étaient, sauf un soldait qui trainait par-là, Antho alla près de cette personne, qu’il le salua poliment et il lui donna un code d’accès à son vaisseau ainsi que quelques coordonnées. Allé à ses coordonnées, je vous pris, vous serez récompensé et logis quelque temps là-bas après votre voyage. Je vous remercie de faire ceci. Il salua le garde, qui lui fonça vers le vaisseau Mercerien... Maintenant, seul le commandant dit un mot étrange et un cercle blanc se dessina sur le sol, il sauta à l'intérieur avec Doragon et juste après ceci, le cercle disparut.
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Cdte. Mélopée
Respect diplomatique : 281 12/06/1014 ETU 23:40 |
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Score : 3
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"Du Lyrrd esclaves! et servez vous donc un verre, c'est jour de fête, même pour le bétail!" Mélopée semblait appréciée l'instant et la conversation avec sa compatriote, mais aussi la boisson. Elle se délectait aussi de la rumeur ambiante, et plus discrètement, prenait note de l'attitude et du comportement de ceux qu'elle ne connaissait pas encore en Rédemption, derrière son sourire et sa conversation enjouée, son esprit froid et analytique s’efforçait, malgré l'assaut que le Lyrrd donnait aux portes de sa conscience, de décrypter l'assemblée de Commandants et de notables. Un jeune esclave lui apporta un plein verre de Lyrrd et s'empressa de retourner à ses tâches avec un air obséquieux. La Matriarche se retourna vers Saryoni, elles se mirent alors à parler dans leurs étrange et incompréhensible langage: "Savez tu que dans les Dominions les plus éloignés du centre de l'Hégémonie, les Hiérarques planétaires remplacent les esclaves par des servants mécaniques appelés Robots." Mélopée, en entendant cette déclaration d'apparence anodine, sourit de toutes ses dents. "Saryoni, cesse d’essayer de faire de moi une réformatrice doublée d'une progressiste, j'ai déjà arrêter des les castrer chimiquement, et les sacrifices humains n'ont plus lieux dans les foyer, seulement en publique, tu conviendra que c'est déjà un bel effort en matière de droit coutumier. De plus, mon expérience avec les machines pensantes ce résume à l’annihilation des troupes de ce fichu toaster de Titanium." La Magister, qui n'était pas dupe, renvoya un sourire radieux à sa Matriarche, qui semblait d'humeur mutine. "Ils emplissent nos kamikazes, et des usines qui servent à produire leurs nourritures..." Mélopée posa son verre, toujours souriante. "Qu'il est bon de parler dans notre langue natale, cela évite bien des tracasseries diplomatiques. Saryoni, je t’apprécie vraiment, mais si tu parle de tout ceci à un étrangers, je demanderai à Briza de te tuer en te jetant dans une fosse de rampants." Les deux femmes éclatèrent de rire à l'unisson puis savourèrent leurs Lyrrd en silence pendant quelques minutes. Mélopée dit alors en langage commun Galactique: "Je vais me joindre à la foule, fais ce qu'il te plait ma chère, prends du bon temps, car j'ai maintenant envie de discuter avec certains Commandants ici présent." Mélopée se leva, son verre dans la main, et observa un instant la foule. Les gens riaient, parlaient, buvaient, mais ici, chacun représenter une Nation, et la présence d'extra-galactique dont les Empires dataient d'ages antédiluvien était une opportunité à ne pas ratée. Elle écouta le discours de Amber O'Seven un sourire aux lèvres puis leva son verre mollement. Juste après, elle se retourna un instant vers Saryoni, restée seule à la table, qui arborait le même air légèrement narquois. Elle fit glisser une autre gorgée de Lyrrd qui réchauffa son cœur en une coulée brûlante tout en se disant que sa Magister devrait vraiment apprendre au moins une fois à s'amuser dans sa vie. Elle ne pût s’empêcher de sourire en se disant qu'en certaines occasions, Saryoni savait être joueuse. Elle s’arrêta quelques instants de plus en apercevant à travers la foule la scène de Petyr, qui semblait bien confuse avec son brouhaha d'insultes générés par des actes peu compréhensible ou même visible de son point de vue, néanmoins une atteinte à la condition des femmes lui était insupportable, mais elle n'aimait pas se fier à des faits mal connus de sa propre personne, aussi s'abstint elle d'intervenir. Cette agitation lui rappela à quel point les étrangers était mal éduqués et bruyants, aussi rappela t'elle Saryoni à ses cotés d'un geste de la main ample qui fit tinté un instant ses bracelets de métaux fins et ciselés. Les deux femmes, qui avançaient à la même démarche lente, gracieuse et assurée, fendirent la foule sans prêter attention aux Commandants, s'en allant ensemble directement vers Vice. Elle n'avait toujours pas rencontrer les Soeurs de l'Ire à part une fois, lors d'une cérémonie. Une nation pourtant plus qu'alliée de l'Hégémonie, aussi elle fut étonnée de la grande grâce émanant de la jeune femme. Elle commença aussitôt, sans présentations ni formalité, de manière étrangement naturelle chez cette femme plutôt rigoureuse, sa voix claire tout en intonations chantantes était enchanteresse, elle dit en langage commun: "Vous semblez avoir était au cœur de toutes les attentions ma chère! bien que je n'ai rien comprit, je suis sure que votre grâce y est au moins autant pour quelque chose que votre réputation! Voici Saryoni, Magister du Conseil Régent, mais aussi confidente, et amie, au sens que nous lui accordons nous autres, Dynastes. Je suis heureuse d'enfin vous rencontrez, nos flottes ont eu à opérer ensemble de nombreuse fois, mais je n'avais rencontrer que Vermeil pour l'instant." Elle marqua une petite pause et porta son Lyrrd à ses lèvres encore une fois. Ses yeux s'écarquillèrent alors et elle se tourna vers l'un de ces esclaves, qui comprit aussitôt et accouru avec un plein verre de cette boisson qu'il déposa rapidement devant Vice. Les deux Dynastes prirent alors place calmement près de Vice, en attente de sa réponse.
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Cdte. L'Ire
Respect diplomatique : 314 23/06/1014 ETU 21:26 |
Score : 6
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Vice se saisit du verre qui lui était proposé. Elle bût une gorgée et se délecta du breuvage qu'elle fît tourner un moment dans sa bouche tout en scrutant les deux femmes. Elle leur adressa un imperceptible hochement de tête. "Madame la Matriarche, Madame Magister... J'suis honorée... Vermeil m'a parlé de vous. En bien -ce qui est plutôt rare- je vous rassure. Hé oui, on s'arrache mes faveurs... Les mâles ont pas vraiment le sens des priorités si vous voulez mon avis. Se fritter pour une paire d'esclaves un peu chahutées... C'est ce qui arrive quand on préfère irriguer un organe flasque plutôt que son cerveau... Pas que ça me dérange bien au contraire. M'en veuillez pas, mais j'ai surpris votre conversation un peu plus tôt et si vous voulez bien, j'aimerais vous poser une petite question..." Vice s'interrompit un instant, savourant l'entêtante sensation qui s'emparait d'elle au fur et mesure qu'elle s'abreuvait de Lyrrd. Elle repris dans un dialecte proche de celui utilisé précedemment par les deux Dynastes de L'Hégémonie, quoiqu'usant d'un idiolecte différent aux intonations convulsives et moins harmonieuses. "Qui vous a appris L'Æsir ? La langue de la Mère est réservée aux filles des origines. Alors je suis pas franchement dévôte, mais c'est un petit peu un blasphème doublée d'une hérésie de le causer quand on est pas une initiée. Et aux dernières nouvelles y a que les frangines et moi qui le parlons. Alors j'aimerais bien que vous m'expliquiez comment une nana de 1000 berges - vous en faîtes même pas 500 d'ailleurs - et ses soeurs parlent une langue transmise uniquement dans ma famille."
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Cdte. Mélopée
Respect diplomatique : 281 23/06/1014 ETU 23:51 |
Message édité -
Score : 5
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Mélopée et Saryoni dévisagèrent Vice dès le moment ou elle commença à leurs répondre dans leurs propre langue. Les deux Dynastes affichées un air totalement incrédule. Un silence gênant s'installa quelques secondes, puis Mélopée, après quelques échanges de regard insistant avec Saryoni, commença dans sa propre langue: "L'Æsir? il s'agit de l'Ae'ly! Le Saint Idiome de l'Hégémonie, que seule les Dynastes sont censées pouvoir parler... Par Vestige! même les noms des langues se ressemblent... Votre parler n'était pas tout à fait correct, et vous avez un accent étrange, néanmoins c'est tout à fait prodigieux que votre famille utilise une langue qui est censée être un dialecte planétaire ancestrale..." Mélopée laissa une nouvelle fois le silence s'installer, tant elle avait du mal à trouver ses mots, néanmoins, elle continua, avec un peu plus d'aplomb cette fois ci: "Notre société est restée fermée sur elle mêmes pendant des millénaires, et pourtant... nous ne sommes même pas natives du même Secteur, c'est à n'y rien comprendre! Je ne suis pas très au fait des questions d'Histoires, ou même de langue, et à priori, vous non plus. Mais cette situation se doit d'être clarifier sur le champs, aussi, je sollicite de toute urgence un travail commun entre nos deux Nations." Plus elle avançait dans sa tirade, plus elle retrouvée son calme habituel, il était évident qu'elle était ébranlée mais qu'au fur et à mesure qu'elle parlait, les idées lui venaient rapidement, tant elle était curieuse de cette étrange corrélation entre l'Hégémonie et les Berzerks. "Si vous êtes d'accords, La Sybille, qui dirige le Lien, notre culte ancestrale, représentera l'Hégémonie et apportera avec elle son immense savoir, fruit d'une vie entière tournée vers la Contemplation; bien évidemment, je vous laisse le choix du lieu et des conditions, je pense que notre présumée équipe de recherches sera de toutes manières, amenée à se déplacer."
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