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Cdt. Maestra
Respect diplomatique : 253 ![]() 26/05/1016 ETU 04:15 ![]() |
Score : 6
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Après avoir entendu les menaces du Joker et la panique qui régnait, un sentiment venait de naître au fin fond de l'assassin. Pas la peur, pas le désespoir. La colère. Le feu par le feu. Pour la première fois depuis qu'il était apparu à renaissance, il sorti de ses gonds. Au plus profond de son être, il étais bouillant comme de la lave en fusion. -''JOKER TAÎT TOI MAINTENANT.'' -''JE ME FICHE DE TON ATTENTAT DÉBILE, SI TU VEUX NOUS FAIRE SAUTER FAIT LE MAIS TU VA ATTENDRE QUE J'AI EU DEUX MOTS AVEC UN ÉGOCENTRIQUE.'' Il ce levas après s'être époumoné de manière forte. Il marchas en direction de la chose qui servait de président de renaissance. -''Toi....'' Il le regardas droit dans les yeux. Le désir de tuer, de détruire, de réduire à néant luait dans les yeux de Maestra. -''Petit con.'' -''Toi et ton ego avez tué plusieurs centaine de million de milliard de GENS ! DE PERSONNE !'' -''Si mon projet de loi avait passé, si TU ne l'avais pas bloqué, nous n'en serions pas LA ! Simplement parce que tu n'étais pas sous les projecteurs pour la proposer, tu as simplement manœuvré pour que ma loi ne passe pas mais cette loi aurait empêché cette catastrophe contrairement à tes belles paroles'' -''Voilà la différence entre toi et moi. Je prévois et j'anticipe. Tu n'as pas de cran, être président... Ce n'est pas fait pour toi. Tu n'en as pas les capacités'' Un silence de mort régnas durant une dizaine de seconde entre les deux hommes. -''Ton ego as tué des milliards d'innocents....DES MILLIARDS !'' Sans le vouloir, la main de l'homme en noir alla frapper le côté droit du visage de Londo. Une puissante gifle au visage qui fis tomber le sourire amusé de celui-ci. Une marque rouge apparu sur son visage. -''Tu agis en enfant. Je te corrige donc en enfant.'' -''N'ose plus jamais. JAMAIS, me dire que j'ai tort. Je prévois et je tente de sauver des vies, toi tu n'as pas le cran de les sauver. Tout ce que tu fait c'est de regarder les gens mourir en disant de belle promesse en l'air''. -''Alors dégage le plancher'' Un malaise d'une amplitude dépassant l'entendement eut lieu et ce même pour le Joker. |
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Cdt. Londo Mollari
Respect diplomatique : 878 ![]() 26/05/1016 ETU 07:39 ![]() ![]() |
Score : 5
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Londo recevait les rapports alarmants de son état major sur son terminal mobile. C'était une catastrophe... Mael avait déchainer les enfers sur toute la galaxie, les pertes étaient incalculables. Civils, miliaires, personne n'avait été épargné. L'ultimatum était tombé trop tard, seul une partie des civil avait pu rejoindre les abris anti-ADM de chaque planète... Londo était abasourdis... La gifle de Maestra le sorti de sa torpeur... Il attrapa alors le coup de Maestra et plaqua violement celui-ci sur la table. Une dague Centauri instantanément dégainée se trouvait maintenant sur sa carotide. Dans un calme froid, Londo pris alors la parole... Mr Maestra, vous êtes décidément le commandant le plus idiot de cette galaxie! Vous êtes peut-être retardé scientifiquement, en plus de votre retard mental évident, mais chacun sait ici que les ogives ADM mettent 48h à gagner leur destination. Ainsi quelque ait été ma réponse au Cdt Mael, ses ogives seraient tombées de toutes façon car voilà 2 jours qu'elles ont été lancées! Crétin! Et expliquez-moi en quoi votre loi aurait empêché ce désastre, puisque vous l'avez proposé bien après l'opération de SPECTRA contre Mr Mael, et que celui-ci a tiré grâce au stock d'apotium qu'il avait déjà accumulé! Au lieu de diffamer et de gesticuler comme le clown que vous êtes, vous feriez mieux de vous concentrer sur la réorganisation et la défense de notre galaxie. Même si votre colère est compréhensible, vous étant fait atomiser par celui que vous pensiez votre allié, elle n'a pas lieu d'être en ces lieux. Londo relâche alors Maestra et se tourne vers le reste des commandants présents. A vous tous, je comprends le choc que ce bombardement massif a pu engendrer en chacun de vous. Dans notre défaite, nous avons tout de même une petite victoire: La famille Joker n'a pas pris le contrôle de la capitale. Nous devons maintenant nous rassembler et faire front. Défendez vos secteurs, vos contrebandes, votre peuple contre les invasions à venir. Tirez à vue sur les flottes du Joker, de Harley, de Mael et de Zorn'a'Thorn. Utilisez les PE, les flottes, les HA, même les ADM s'ils le faut. Bouclez vos systèmes porte aux HA pour éviter toute intrusion.S'ils ont pu endommager toute la galaxie, ils ne peuvent la contrôler. Vos pertes ne sont que temporaire. Votre civilisation renaitra de ce désastre, votre population se multipliera de nouveau, vos usines tourneront de nouveau à plein régime, et bien assez tôt les méfaits de la famille Joker ne seront qu'un lointain et douloureux souvenir. Rassemblez-vous, c'est le seul moyen que nous ayons pour organiser la Renaissance de cette galaxie...
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Cdt. Tabor
Respect diplomatique : 338 ![]() 26/05/1016 ETU 07:47 ![]() |
Score : 3
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Encore faudrait il sortir d'ici monsieur le président ....je pense que je suis bien le seul ici qui n'ai eu aucune perte dans ma population puisque nous sommes dans un secteur fermé, et c'est heureux pour nous de ce fait ! Mais je pense que, il n'est plus temps de se battre entre nous, il faut maintenant agir et vite ! sortons nous du bâtiment ou pas ? Maestra ? cela va t'il ? nous devons reprendre nos esprits maintenant ! que faisons nous messieurs ?
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Cdt. Zitarg
Respect diplomatique : 252 ![]() 26/05/1016 ETU 10:32 |
Score : 4
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Assis autour de la gigantesque table ronde à côté du Président Londo et du Sénateur Crantell. Dés les première tonalités entendu venant de la voix du Joker aux haut-parleurs, Zitarg se prit dans une paralysie complète de haut en bas et tous son corps se mit à frémir. Comment était-ce possible ? Le Palais censé être le plus sûr de l'univers , venait d'être pénétré, et pas par des petits voyous mais par les plus grands criminelles de cette époque sans que personne n'ai pu sans apercevoir. Au fil de l'intervention du Joker , le visage de Zitarg se transforma. Comme s'il avait prit 50 ans en pleine "gueule", les traits fermé, les poings serrés sur la table. Le Général Byarg aux côtés de son président, également sous le choque mais ne se laissait pas pour autant submerger par la panique, il s'éxécuta rapidement quant la traque des individus. - Envoyez toutes les unités disponibles à la salle des vidéos surveillance tout de suite !! Lorsque la voix du Joker ne se fit plus entendre, tous les yeux étaient rivés vers Zitarg. Tout le monde voyaient qu'il était entrain d'exploser intérieurement. Qu'allais t'il advenir du Sommet ? Après un assez long silence, il ouvris enfin sa bouche. Comment avez-vous osé ? Venir ici, chez moi, et nous faire du chantage. VOUS ETES UN HOOMMMME MOOOOOORT JOOKER !!! Son cris avaient surpris certains commandant autour de la table. Puis au fil des heures des événements imprévu ne cessez de se passer. Les bombardements ADM de Maestra, le gifle, la dague de mollari au coup de celui-ci, coupure de courant, les tensions était à son paroxysme dans la salle du Sommet, cela ne ressemblais plus à rien. - Personne ne sort d'ici je maintiens, à le seconde même ou Le Joker a parlé aux micros du Palais, l'armée Tarkyenne a tout bloqués, et a mit le Palais sous quarantaine, personne ne peux sortir d'ici, Personne ! Je vous garantis que nous allons rapidement reprendre le contrôle de la situation. Actuellement la garde présidentielle effectue des manœuvres de re-sécurisation totale. Tout vaisseaux non autorisé à décollé ou à atterrir seras directement abattu par nos missiles sol air, et peux importe à qui se vaisseau appartient. Puis il se tourne vers le Sénateur Crantell Vous êtes le seul à avoir l'autorisation. Pendant ce temps-la dans les longs couloirs du Palais, le Général Byarg et quelques 300 hommes se réunissaient devant la salle des vidéo-surveillances, la salle venait d'être condamné par la seconde porte métallique et blindé et ne pouvait s'ouvrir que de l'intérieur et réputé indestructible. - Que pouvons-nous faire Général ? - Rien. N'oubliez pas qu'il a selon ses dires un complice au sous-sol prêt à tout faire sauter. Attendez devant cette porte, il va bientôt sortir rejoindre la salle du Sommet, escortés le jusqu'au autres dirigeants. Une unité est parti dans les sous-sol, trouver son complice, une fois qu'il l'aurons capturé, abattez-le. - Compris Général. |
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Cdt. Tabor
Respect diplomatique : 338 ![]() 26/05/1016 ETU 11:29 ![]() |
Message édité -
Score : 4
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Crantell se tourna vers Zitarg ... Je ne peut vous laisser tomber mon ami, je ne laisserai pas un ami dans le danger, ce serait lâche de ma part ! et tant que l'on y est .... Il lui confia une de ses grenades Elecktros... Ce joujou est particulièrement meurtrier, cette grenade sphérique possède un détonateur fermé par un petit couvercle dessus, une fois relevé, cela découvre un petit bouton bleu, vous appuyez dessus et la lancez immédiatement .... Dans les trois secondes qui suivent, le système se déclenche alors libérant ainsi un champ d'épais arcs électriques se distordant dans tous les sens et ce dans une circonférence de trois mètres pendant près de huit secondes, je vous laisse imaginer le dégât, un seul arc électrique traverse tout adversaire et le foudroie sur place....Cependant, autant vous le dire de suite, une fois lancée , il vaut mieux se garer fissa, et ...la victime qui serait prise par un arc n'est ensuite plus très belle a voir ....C'est une invention de Steffey bien sur ! Je vous en fait cadeau !
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Cdt. Lucky puke
Respect diplomatique : 363 ![]() 26/05/1016 ETU 12:22 ![]() ![]() |
Score : 4
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* Pendant qu’il se passait tout ce ramdam, le petit dylan a été amené dans l’aile médicale du château escorté par six gardes d’élites Tarkyen. La femme est quand a elle menottée et observe tranquillement tandis qu’un médecin arrive pour examiner l’enfant allongé sur une table d’opération. « Bon alors qu’est ce qu’il a celui-ci ? » Il prends le pouls. Aucun signe. Il va pour sortir les appareils de réanimation, a la pointe de la technologie tarkyenne pour voir si il y a encore un espoir de le sauver, puis les installe près de l’enfant. Un soldat tarkyen fait alors irruption dans la pièce avec fracas. « Sodats ! On nous signale une intrusion du joker dans le palais, ainsi qu’une explosion dans les souterrains ! Que tout le monde aille voir son chef d’escouade au pas de course, on passe en niveau d’alerte 4 !» « Mais et pour ceux la ? » L’officier regarda la femme menotté et l’enfant allongé sur une table. « Vous deux, restez ici et surveillez les bien ! » fit-il en désignant deux des soldats. Tous s’éxécutèrent illico, ne laissant plus que deux soldats dans la pièce avec le médecin et les deux civils. « Bon sang… Ce sommet ne pouvait pas se dérouler dans le calme et la bonne humeur hein ? » demanda le médecin a l’attention des soldats qui ne répondirent rien, inquiets de la tournure que semblait prendre la situation. Avant d’actionner la machine de réanimation, il retira le tee-shirt de l’enfant pour pouvoir y poser des électrodes. En le retirant, il remarqua un appareil qui lui était inconnu scotché sur le cœur de l’enfant. « Mais qu’est ce que c’est que c’est que ça ? » a peine eut-il effleuré l’objet qu’un léger bip se fit entendre. Puis un second. Suivit d’un multitude de bip. Soudain le corps de l’enfant se redressa comme si il venait de prendre une décharge électrique qui l’avait ramené depuis les morts. Le petit dylan regardait droit devant lui, sa respiration est bruyante et rapide puis se calma petit a petit. « Wahou ! Ca décoiffe ! » Les gardes et le médeçin qui entendaient pour la première fois sa voix le regardèrent avec un air ahuri. L’air de rien il poursuivit : « Vous êtes qui vous ? Vous êtes mes amis ? J’ai cru que j’allais mourir dis donc ! C’est vous qui m’avez sauvé ? - Hein ? Mais comment ? Mais non nous a rien… - Pour vous remercier, je vais vous donner un cadeau ! » Il se tourna et ouvrit son cartable d’école qui était posé sur la table a coté avant de plonger la tête dedans pour chercher quelque chose. Immédiatement, l’un des deux gardes pointa son fusil sur lui tandis que le deuxième tenait la femme en joue. « Ne bougez plus ! » L’enfant se retourna lentement en tenant dans sa main un objet rond. « Mais… C’est juste un pin’s… C’est pour vous remercier… C’est un pin’s du président Zitarg. » Il finit de se retourner et les deux soldats purent effectivement voir qu’il s’agissait d’un grand pin’s a l’effigie de Zitarg, avec marqué en dessous « la démocratie vaincra » Un de ces pin’s de campagne sans doute. Les deux soldats ne sachant comment réagir a ça, Ils restèrent à le tenir en jour tout en se regardant de côté, comme pour se concerter sur la méthode adopter. L’école militaire tarkyenne est sans doute très bonne mais elle ne vous apprends pas comment réagir face a un enfant de 10 ans qui semble revenir d’entre les morts et vous offre un pin’s. Tout sourire, il continua, « j’en ai même un autre ! » Il replongea sa tête dans son cartable et immédiatement les deux gardes se remirent à les tenir en joue aussi sec, resserrant l’étreinte de leurs mains sur leurs fusils. Leurs nerfs étaient mis a l’épreuve. « Sur celui la, il dit « la démocratie c’est le bien ! » dit alors l’enfant d’une voix nasillarde tout en se retournant de nouveau et en flanquant les deux pin’s juste devant le nez des deux gardes. Excédés, les deux hommes relâchèrent un instant leur garde et s’apprêtaient a coller une rouste a l’enfant et a le renvoyer chez lui a grands coups de pompes dans le derrière quand l’un des deux réalisa que l’enfant portait quelque chose de transparent sur le visage. Un petit et discret objet qui semblait lui pincer le nez et recouvrir toute sa bouche. « Mais… » En un instant, les pouces de l’enfant actionnèrent un petit bouton dissimulé sur le rebord des pin’s et un léger gaz s’échappa instantanément du centre de ceux-ci en pleine face des soldats qui n’eurent pas le temps de réagir. Le gaz leur paralysa les muscles et après une ou deux secondes les fit s’évanouir. Le médecin en voyant cette scène se rua vers la porte pour appeler a l’aide mais avant qu’il ait pu atteindre celle-ci, la femme lui bondit dessus et avec ses poings l’assomma d’un grand coup sur la tête. L’enfant sourit alors : « Amateurs… » Il bondit hors de la table d’examen, se mit a faire quelques étirements et dit : « Bon… C’est maintenant que ça va devenir compliqué… Tu es prête ? » *
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Cdt. Olhorìn
Respect diplomatique : 3203 ![]() 26/05/1016 ETU 12:25 |
Score : 4
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La rouquine venait de sortir depuis quelques secondes à peine, lorsque le verrouillage de la porte de la Grande Salle où se tenait le sommet s'enclencha. Elle fit volte-face, tenta de l'ouvrir. En vain. Puis il y eut la voix du Joker. Assourdi par l'épaisseur des battants, mais bien audible tout de même. Au même moment, son messager personnel se mit à vibrer. C'était la pluie d'ogive ADM qui venait s'annoncer à elle. Olorìn serra les poings. Elle ne réfléchit qu'une seule seconde. Elle se plaqua contre les portes et hurla du plus fort qu'elle put. Sa voix leur parvint assourdie, mais audible. "Restez où vous êtes. Il peut vous voir et vous ne voulez sans doute pas qu'il détruise toute la ville et ses habitants. Tant qu'il peut vous surveiller, tout ira bien. Les portes sont verrouillées. Faites-le patienter. Parlez-lui. Engagez la conversation. Ekko et moi sommes déjà dehors. On va s'occuper de son cas. "Prenez soin de vous !" D'une simple rotation du poignet, elle fit apparaitre deux dagues-poignards à triple lames. Ses armes favorites. Elle les fixa en un instant à ses cuisses, d'un geste expert du à l'habitude. Puis elle se tourna vers Ekko, lui fit un clin, le sourire aux lèvres et les yeux devenus deux émeraudes flamboyantes. "On y va ?"
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Cdt. Ekko
Respect diplomatique : 857 ![]() 26/05/1016 ETU 12:44 |
Score : 3
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Il avait les yeux injectés de sang. L'adrénaline couplé avec la fureure, le gardien du temps était méconnaissable. Il avait les yeux pleins de violence, il était pret à sortir de ses gonds. Depuis le temps que j'attendais ça. Il prit à sa ceinture sa longue dague noire en obsidienne. Comme on dit chez les fédérés d'Andoria, " The river will run red "
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Cdt. Le Joker
Respect diplomatique : 1224 ![]() 26/05/1016 ETU 14:28 ![]() ![]() |
Score : 5
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Toujours dans son terminal de sécurité, le Joker… « HA HA HA HA HA HA HA HA HA HA HA HA HA HA HA HA HA KEUF KEUF EUUUURRHHHHHFFFF… HHHHHHHHHAAAAAHHHH HAAAA HA HA HA HA HAHA OUUUUHHH HOU HOU HOU HOU HOU HOUUUUU ! » … riait tellement qu'il s'en étouffait. Il n'en pouvait plus. Les choses étaient encore plus drôle que ce qu'il avait imaginé. Assister au message préenregistré du petit Maël. Contempler le magnifique feu d'artifice qu'ils avaient déclenché. Regarder le spectacle des conférenciers qui commençaient à s'entredéchirer ; Maestra qui cognait Londo, Londo qui menaçait de le planter, Zitarg surtout, qui braillait tant et plus, et proférait des menaces à son encontre. Il regardait la troupe s'affairer autour de la porte blindée. Plus qu'un terminal de surveillance, cet endroit était un super cinéma ! Il essuya le coin de ses yeux, en tâchant de ne pas toucher la chair sous le masque, pour évacuer ses larmes de rire. D'un coup il perçut un super truc : un des techniciens avait effectivement pris cet endroit pour une salle de cinoche ! Du pop-corn ! Exactement ce qu'il lui fallait ! Ah, que le monde était bien fait ! Il goba une poignée de la sucrerie, vida un cadavre de son siège, s'affala et regarda les écrans. Il manquait un petit quelque chose, quand même… Bingo ! Il saisit un des converseurs qu'il avait disposé sur les cadavres, pianota sur l'écran, le posa devant le micro le plus proche, réactiva tous les hauts-parleurs du palais et de la capitale… … et voilà ! C'était quand même vachement plus sain comme ambiance de travail ! Et pendant que la gentille musique tournait, il parla dans les micros. « Bon, vous m'avez bien fait rire, je peux rentrer chez moi maintenant. … BLAGUE ! HA HA HA ! » Crise de fou rire. Le décalage entre la situation, la musique, et ce rire, mon Dieu, ce rire, c'était malsain. « Y'a quand même un truc qui me chiffonne, mes bichous. J'veux dire, vous avez jamais vu un seul film policier ? Ou un feuilleton ? Quand y'a un dangereux terroriste qui vient tout faire péter, y'a d'abord le temps où on l'insulte comme on peut, ça c'est fait, mais ensuite on lui demande ce qu'il veut ! Et après le terroriste il répond LA phrase ! "J'AI DES REVENDICATIONS !" » Long silence, meublé par la musique. Le narrateur de cette scène se sentait quelque peu ridicule. Après une trentaine de secondes on l'entendit marmonner. « Et après les flics lui demandent de préciser ses conditions pour gagner du temps, mais le terroriste il sait pas lui que c'est pour gagner du temps, alors il demande aussi cinq cent mille dollars et un avion pour le Mexique… »
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Cdte. Harley Quinn
Respect diplomatique : 981 ![]() 26/05/1016 ETU 14:35 ![]() |
Score : 5
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Pendant ce temps là, en dessous... ________________________________________________________________________________________________________________________ Le soldat devant Harley lui donna un coup de tête de son casque, la cassant dans son élan et brisant par la même son rire strident mais il était déjà trop tard pour le soldat d'élite et les deux bras d'Harley s'abattirent de chaque côtés du pauvre soldat, perçant armure et os avec les deux couteaux subtilisés à sa victime, s'en suivit un cri étouffé et il s'effondra en arrière. Harley en profita pour relâcher la prise de ses jambes et se propulsa en arrière pour rentrer de toutes ses forces dans le soldat qui espérait la surprendre et sauver son camarade. Alors que le mur les arrêta, une troisième et dernière soldate arriva par la droite et se jeta sur Harley, roulant à terre ils échangèrent coups de poings, de pieds et jurons. C'est alors que la soldate semblait avoir l'avantage qu'Harley cracha dans la visière de son opposante sa sucette. La demi-seconde gagnée fut suffisante et elle frappa de toute ses forces la sucette, enfonçant le bâtonnet dans la faiblesse du casque jusqu'à son visage et fatalement; son œil. Du sang jaillit et elle poussa un cri tout en basculant en arrière, la seconde d'après Harley s'empara de son couteau et le pointa en direction d'une faiblesse de l'armure : le cou ! La dernier soldat ayant repris ses esprits tenta de se jeter sur Harley mais se retrouva nez à nez avec un de leurs armes. "Pas cette fois, gamin !" Elle tira. Le corps sans vie du garde tomba à terre. A combien était elle ? C'était le cinquième groupe de gardes. Et ils se baladaient par petits groupes de 3 à 5. Peut importe ! Qu'ils continuent de venir par petits groupes. Ça ne sera que plus fun ! Elle ramassa son sac à dos tombé dans la mêlée, jeta dans un recoin sombre que personne ne remarqueras de premier abord une des bombes, dégaina une nouvelle sucette et ramassa une arme avec des munitions par terre avant de se mettre en route jusqu'à ce que sa cuisse droite la fasse souffrir : c'était une blessure par balle. "Haaaaaawwwww ! J'avais pas de cicatrice ici ! Vous déconnez les gars." Lanca-t-elle en s'adressant aux cadavres derrière. Elle arracha un morceau de tissu au premier vêtement qu'elle trouva qui ne lui appartenait pas et serra le plus fort possible la blessure pour arrêter le saignement. Elle bascula la tête en arrière pour essayer de se détendre et mettre ses idées au clair quand elle aperçue une trappe dans la conduite d'aération. Le système était HS avec les évènements récents, les bombes seront bien planquées. Son esprit ne fit qu'un tour et elle entreprit de monter là haut, si elle se débrouillait bien elle pourrait même aller rejoindre les joyeusetées en haut. Il suffisait juste de faire attention aux pâles tranchantes des ventilateurs. Du gâteau !
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