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Cdt. Olhorìn
Respect diplomatique : 3203 ![]() 25/05/1016 ETU 00:00 |
Score : 5
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La rousse ressentit une grande lassitude tout d'un coup. Elle comprit ce qu'avait du ressentir Cassandre en voyant arriver la chute de Troie. Elle fit un rapide point dans sa tête. D'après les dires de son homologue, Le Joker n'était pas le Joker. Ou pas que. Ce qui laissait supposer qu'il était également quelqu'un d'autre. Olorìn regarda autour d'elle et s'interrogea sur chaque commandant. Ekko. Impossible, elle les avait vus ensemble au bar. Même chose pour Korda. Elle avait connu Silius en Utopie, ce ne pouvait être lui. Félix non plus ne venait pas de Renaissance. Restaient Serpas, Galactan, Tabor et Londo. Et Zitarg lui-même, bien sûr. A moins que ce ne fut aucun d'eux et que le Joker gambade dehors. Il lui manquait une pièce du puzzle. Mais laquelle ? Toujours d'après la blonde, il était possible qu'ils fussent tous en danger en ce lieu. Cela n'était pas impossible, et ce malgré les imposants dispositifs de sécurité déployés. Elle réfléchit encore quelques courtes secondes. La blonde était en vadrouille à la recherche... De quelque chose, sans doute, chez la Dame de Carreau. Elle, la rousse, était ici. Ce qui lui faisait un pied dedans et un autre dehors. Sans compter les autres. Elle décida de rester au sommet. Elle fit le point sur les commandants sur lesquels elle pouvait compter. Silius... Si toutefois il pouvait l'appuyer. Et... Peut-être Ekko. Elle ne savait qu'en penser. Elle verrait bien. Il était temps de reprendre la parole. C'est eux deux avant tout qu'elle essaierait de convaincre. Si elle était Batman... Ou plutôt Catwoman, elle préférait, elle espérait que Robin ferait son boulot, où qu'elle soit. Et en espérant qu'elle aille bien. Le fait qu'elle n'arrive plus à la contacter n'était pas fait pour la rassurer. Elle traversa la salle à pas cadencés, écoutant d'une oreille distraite les commandants qui continuaient à parler démocratie. Il leur fallait un électro-choc. Elle attrapa une chaise d'une main et pivota sur elle-même sèchement. La chaise s'écrasa avec fracas contre un mur. Ayant obtenu l'attention des commandants, elle reprit la parole. "Je sais que vous ne me connaissez pas ici. Et à part Silius, personne ici présent ne peut témoigner de mon passé. Mais si je vous dis que quelque chose ne tourne pas rond, c'est que c'est le cas. Croyez-moi. Vous vous croyez en sécurité... Mais si la menace ne vient pas du ciel ? A quoi vont vous servir vos bombardiers ? Si la menace vient d'ici, de l'intérieur et que vous ne voulez pas la voir venir ? Pourrez-vous y faire face ? Même si elle vient d'une personne que vous considériez comme un ami ? "Franchement, tout le discours que vous avez entendu à l'instant sur la véritable identité du Joker, sur les éventuelles failles de sécurité... Sans compter l'apparente inanité et le manque de but concret de ce sommet... Tout cela ne vous met-il pas la puce à l'oreille ? Attendrez-vous d'avoir un couteau sous la gorge pour commencer à vous demander si vous devez réagir ? Ne pouvez-vous anticiper ? "Ne voyez-vous donc pas que ces discussions ne mèneront jamais nulle part ? Si ce n'est à rassembler un maximum de commandants au même endroit ? Depuis quand retient-on des commandants contre leur gré ?" Elle se tourna vers leur hôte. "Zitarg, vous ne pouvez me détenir ici contre ma volonté. Je ne vous reconnait aucune autorité sur ma personne. Et je ne vous permets pas non plus de me donner des ordres. Je ne panique pas. Je ne panique jamais. Mais je prends des mesures de précaution pour une menace que je n'arrive pas encore à déterminer mais qui peut nous tomber dessus à n'importe quel moment. "Si vous n'êtes pour rien dans ce qui se trame ici, je vous conseille de faire relever le niveau de sécurité et de mettre tous vos gardes en alerte. Si ma blonde juge que la situation est critique, c'est que c'est le cas. Vous pouvez nous faire confiance..." La rouquine jeta un bref regard autour d'elle, essayant de discerner dans les visages ceux qu'elle aurait pu convaincre, ceux qui pourraient la rejoindre...
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Cdt. Serpas
Respect diplomatique : 147 ![]() 25/05/1016 ETU 00:36 |
Score : 8
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Il ne s'affolait pas, écoutant studieusement les débats depuis le début sans ressentir le besoin d'intervenir. Mais l'appel de la blonde laissait Serpas songeur. Il n'y avait pourtant pas l'once d'une agitation à l'intérieur du palais, et il lui semblait normal que les portes soient fermées pour laisser les commandants débattre. Alors pourquoi cet appel paniqué ? J'espère que ça ne vous dérange pas, chers amis. Il alluma son cigare, et tenait fermement, dans sa poche, sa capsule de téléportation instantanée menant à son vaisseau. Au cas où. Mlle Olorin, je vous prie de ne pas me dévisager comme si j'étais un comploteur, s'il vous plaît. Et en disant cela, j'inclus également galactan, homme droit et de confiance. Nous avons été invités tous comme vous à cette table pour débattre de l'avenir de la Galaxie, et ne sommes impliqués dans quoi que ce soit. Si soupçons, voire preuve, de complot existent, faites-en part à la garde Tarkyenne, je suis sûr qu'ils résoudront le problème. Vous avez bien vu comme moi l'impressionnante police qui entoure ce bâtiment, sans compter les hommes armés de chacuns de nous. Il tira sur son cigare, voyant que l'inquiétude d'Olorin n'était toujours pas vaincue. Bien, supposons que votre amie ait raison, et que nous courrions un danger. Si j'ai bien compris, il semblerait qu'elle ait découvert la véritable identité du Joker. Il est vrai que personne ne connaît son vrai visage, et qu'il pourrait très bien être ici en ce moment. Mais dans quel but ? Nous tuer tous en même temps ? Cela paraît difficile à croire. Il serrait sa capsule en dévisageant l'assemblée.
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Cdt. Le Joker
Respect diplomatique : 1224 ![]() 25/05/1016 ETU 01:01 ![]() ![]() |
Message édité -
Score : 9
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(Précédent : « A l'extérieur du sommet inter-galactique », page 1, 7e post, http://www.apocalypsis.org/assemblee/viewtopic?c_topic=9849&c_forum_page=1) Dans le palais, loin de la salle du sommet… Le soldat Titarg avait passé la porte avec beaucoup, beaucoup d'encombres. Les ordres avaient changé le temps de passer à la boulangerie s'acheter un croissant : les soldats réguliers avaient été relevés par la garde présidentielle. On avait vérifié son identité, effectué le scanner visuel, vocal et ADN réglementaire ; c'était bien l'ADN, les yeux, la voix de Titarg. On avait passé son armure aux rayons X : il ne dissimulait pas d'armes, hormis son équipement réglementaire. On avait vérifié son ordre de mission, qui était authentique, mais plus guère valide ; il devrait se rendre à la centrale de la caserne de son régiment pour recevoir sa nouvelle assignation ou son congé pour ce soir, selon l'utilité qu'on aurait de lui. « D'accord, avait dit Titarg, mais je fais comment pour mes affaires ? J'étais censé rester là toute la nuit, alors j'ai demandé à ce qu'elles soient déposées au vestiaire de mon aile d'assignation… — Déclinez son numéro ? avait demandé le garde d'un air professionnel. — Vestiaire 1-5ACE5, aile B, casier 534. » On vérifia. Effectivement, l'auxiliaire Bitarg, matricule 10029020519, avait déposé une holo-tablette, des boissons gazeuses, des livres, une rechange, et beaucoup, beaucoup d'argent dans le casier 534 de l'aile 1-5ACE5 assigné au soldat Titarg. Mais les ordres avaient changé. On demanda l'état du personnel disponible pour chercher les effets du soldat Titarg. Requête invalide, avait-on répondu : impossible d'épargner des hommes sans créer une faille dans la sécurité. Titarg avait insisté pour récupérer au moins son argent. « Votre ordre de mission était valide… Vous allez devoir aller chercher ça vous-même, mon vieux. Restez en alerte, gardez votre équipement bien rangé et ne faites pas de mouvements brusques dans les couloirs, on est en alerte maximale. Les capteurs pourraient ne pas apprécier. On vous abattrait à vue. » Titarg avait salué, mais avant de passer la porte, il n'avait pas pu s'empêcher de lâcher une blague de soldat : « C'est un amiral qui s'adresse à un de ces sergents au garde à vous : "Alors comment trouvez-vous l'armée ? — L'armée c'est comme les poils, j'en ai plein le cul ! — Et tes permissions c'est comme mes couilles, elles sont suspendues ! » Les gardes et lui avaient ri, et il était entré. ⁂ « Tu le vis ça ? Une heure que je suis entré dans ce bâtiment. J'ai cru qu'ils allaient me tirer dessus. Crois-moi que la consigne, je l'ai pas quittée d'une semelle. — M'en parle pas. Tu veux mon avis, ils sont complètement paranoïaques. Mais on ne rigole pas avec la sécurité, il y a des chefs là-dedans. » Titarg avait passé des dizaines de portes avant d'arriver au vestiaire, et même au vestiaire il avait dû se laisser contrôler. Il avait fini par le savoir, qu'il s'appelait Titarg, ah oui ! L'autre était un des gardes du palais, de la protection rapprochée du Président. Son armure dorée, ultra-perfectionnée, rien à voir avec son propre matos, était posée sur un banc quand Titarg était rentrée ; il s'apprêtait à aller à la douche. Depuis, ils bavardaient sans se voir, le temps que lui se lave avant de reprendre son poste, dix heures de faction, tu te rends compte quand même ; et que Titarg se repose un peu en mangeant les miettes du croissant que la sécurité avait fouillé — et réduit en une bouillie informe de pâte feuilletée. Titarg ne lui avait évidemment pas demandé quels dispositifs étaient mis en place pour les gardes présidentiels. C'est pas des trucs qui se demandent ; c'est secret-défense, ces choses-là. Il ne lui avait pas non plus demandé son nom, pour les mêmes raisons. Cinq minutes sympathiques où on pouvait mettre la paranoïa de côté avant de reprendre le service. « Je me demande où je vais être posté ce soir. Figure-toi que j'ai passé quatre heures entières posté à côté de la navette du décoiffé. — Mollari ? Ha ha, avait ri le garde, ouais. Je me demande s'il se rend compte à quel point c'est ridicule. Y'a vraiment des types bizarres dans la salle de réunion. — Ah bon ? demanda Titarg. Du genre ? — Oh, un avocat qu'on dirait tout droit sorti d'un jeu vidéo, une femme qui a dérangé tout le monde y'a une bonne demi-heures en prenant un appel en pleine réunion, un black un peu fou, Korda — la Korda, avec ses beaux, enfin tu vois —, un alien — un alien, ouais. Mais qu'a vraiment une tête d'alien : marron, avec une tête plate et des yeux jaunes et de grosses lèvres. Et avec ce qu'ils s'échangent, crois-moi, ils s'ennuient pas. On rigole bien au poste de surveillance à les regarder sur les écrans des caméras. Surtout la rousse, elle est vraiment casse-couilles, elle fait tourner en bourrique tout le monde et… hé, tu m'écoutes ? » Le garde présidentiel Petitarg, conducteur comme un câble électrique et aveugle sous l'eau de la douche, n'eut pas le temps de voir venir la décharge électrique tétaniser tous ses muscles. ⁂ « Bon sang ça fait du bien d'être propre après avoir passé des heures à suer sous cette armure. T'en as pour longtemps, toi ? — Encore une heure, et je serai relevé pour deux. — Bah, bon courage hein ? » Le garde présidentiel Petitarg salua son comparse qui gardait la porte des vestiaires et s'éloigna. Ses deux heures de relève étaient terminées, trop vite hélas, et il devait maintenant reprendre son poste dans le terminal de surveillance du palais. Des heures et des heures supplémentaires à surveiller des types plus riches et plus puissants que lui, dans l'ennui et l'attente paranoïaque du danger. Il fallait bien que la paye soit élevée et que le poste soit extrêmement honorable pour être dans la garde présidentielle, ah ça oui. ⁂ Le vestiaire était vide. Plus de Titarg et Petitarg parti, il régnait là-dedans une atmosphère normale. Leurs casiers respectifs étaient verrouillés. Celui du premier était vide des affaires que l'auxiliaire Bitarg, matricule 10029020519, y avait déposées. Celui du garde présidentiel était plein, et verrouillé. On n'y découvrirait ni l'armure et les affaires du premier soldat, ni le cadavre carbonisé, sans peau, sans yeux, du garde.
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Cdt. Ekko
Respect diplomatique : 857 ![]() 25/05/1016 ETU 01:03 |
Score : 6
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J'ai dit ce que j'avais à dire sur la démocratie et ce que j'en pensais. Je n'ai pas de réforme à apporter en dehors de ce que j'ai déjà mentionné. Si jamais ce que je propose vous intéresse, faites donc, mais moi-même je ne pense pas que tout ce système soit viable. Je fais confiance à mon cher Londo pour donner la position de l'actuel gouvernement, il n'a pas besoin de ma voix de toute manière. Visiblement, la pilule n'était toujours pas passée. Si jamais danger il y a, je serais bien d'avis de rester. Juste par curiosité, j'aimerais voir quel est le fou furieux qui veux essayer de nous tuer. Vieil coutume de fédéré je suppose. Cependant, si tu veux partir Olhorin, je te suivrais. Autant me fritter avec la mort me rends tout chose, mais je doute que tu sois autant armée face à celle-ci. Ta disparition ne m'emplirait pas de joie. Pour les autres faites comme bon vous semble. Mais en soit, c'est vrai que ça pu un peu cette histoire. Il disait ça avec un grand sourire, comme si il prenait son pied à se retrouver face à une situation de danger.
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Cdt. Olhorìn
Respect diplomatique : 3203 ![]() 25/05/1016 ETU 01:37 |
Score : 6
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La rouquine laissa échapper un petit rire sans joie. "Je suis désolée, Serpas, je n'ai pas la réponse à votre question. Les actes du Joker sont imprévisibles. Quant a ses raisons... Parce que Harley ne lui a pas amené son petit déjeuner, ou parce qu'il a vu passer un chien dans la rue, ou un oiseau dans le ciel. Mais le Joker a-t-il vraiment besoin d'une raison ? Quoiqu'il en soit, je vous remercie de prendre conscience qu'un danger existe peut-être." Puis elle se tourna vers Ekko. Et lui sourit. "Je vous remercie de votre sollicitude, Ekko. Et de votre confiance. Mais ce n'est pas la peur qui me fait agir. Ne faites pas l'erreur de me prendre pour une demoiselle en détresse et sans défense. Je ne suis pas fédérée mais j'ai eu mon lot de batailles, je vous rassure. Et je pourrais vous surprendre au combat... "Je voulais quitter les lieux pour rejoindre la blonde. Mais c'était avant de me rendre compte que quelque chose clochait ici. A présent, il est hors de question de partir. Mais il est hors de question de ne rien faire et d'attendre. Nous ne savons pas quelle menace nous affrontons, ni d'où elle viendra. Et je n'ai pas l'habitude de me retrouver dans le rôle du lapin. Vous non plus, je suppose. Un minimum de précautions s'impose. Et faire quelques petits préparatifs ne peut nous nuire..." Cela faisait donc, Silius, Serpas, Galactan. Et Ekko. Qui se rangerait encore à ses côtés ?
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Cdt. Tabor
Respect diplomatique : 338 ![]() 25/05/1016 ETU 02:33 ![]() |
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Score : 6
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http://img110.xooimage.com/views/d/9/1/alien_portrait_by...-d3i7qp5-4ecabef.png/ Crantell s'adressa a la Sergente Traqueuse hé bien Sergente ? qu'avons nous comme matériel à portée de main ? Sénateur ? avec vous et moi, nous avons chacun un pistolet Flascher, j'ai également mon fusil Flascher et cinq grenades élecktros Bien fit Crantell, pour les cinq grenades c'est en effet la bienvenue !! il connaissait l’efficacité de ses grenades, voila qui ne serait pas de trop
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Cdt. Ekko
Respect diplomatique : 857 ![]() 25/05/1016 ETU 02:59 |
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Score : 6
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Oh ne t'en fais pas je n'ai aucun doute sur ta capacité au combat, je suis très lucide, on ne gouverne pas une galaxie et on ne survit pas à une apocalypse en étant une faible petite chose. Là n'est pas la question, disons juste que je suis quelqu'un de prévoyant, je préfère me trouver à l'endroit où je peux agir plutôt que d'avoir péché par excès de confiance. Qui a dit que c'était la peur qui t'animais ? Certainement pas moi. Très bien si tu veux rester, ça ne me pose pas plus de problèmes que ça. Si tu déambule dans ce palais pour faire ta petite enquête ou tes préparatifs, tu me permet de t'accompagnée ? On sait jamais. Il s’étira doucement. Il semblait de super humeur. Décidément, la vie est bien faite, je m'attendais à roupiller à ce sommet, c'est foutrement passionnant en réalité, j'ai hâte de raconter ça au comptoir aux copains !
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Cdt. Maestra
Respect diplomatique : 253 ![]() 25/05/1016 ETU 03:30 ![]() |
Score : 7
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Au vu de la situation, le cerveau du détraqué en noir tournait à un rythme assourdissant. Il n'avait pas vu venir ce coup bas. Les autres commandants discutaient entre eux évoquant diverse théorie du complot ainsi que les armes disponibles pour ce défendre en cas de pépin majeur. Avec le cerveau en bouillis et la gorge sèche, il pris la parole d'une voix puissante et tranchante. -''J'ai écouté attentivement ce débat ainsi que chaque argument et je n'ai qu'une idée en tête.'' -''La majorité d'entre vous n'ont pas les mêmes idées ou façon d'agir face aux citoyens de cette galaxie mais il existe un fait convergeant.'' -''Vous n'êtes pas satisfait de la manière dont les choses vont. Si vous seriez satisfait, un tel débat n'aurait pas lieu. Cela me semble on ne peux plus clair.'' -''Le plus gros problème ici est qu'on ce joue de nous Mr.Zitarg ou devrais-je vous appeler Mr. Le pion ?'' -''Car oui, je tiens seulement à vous informez cher commandants que je sais pourquoi ce sommet à été organisé et à quel fin.'' -''Notre président à tous, Londo Mollari as tout simplemenent demandé à Zitarg d'organiser un tel débat car il as peur de ce que pourrait advenir de sa petite personne s'il continue à faire n'importe quoi de son siège.'' -''Ce que je veux dire par là, c'est que pour avoir plus de pouvoir, organiser un tel sommet est intéressant. Quel autre événement pourrait faire déplacer autant de potentiel collaborateur ? Quel autre événement pourrait donner à Londo le moyen de mettre sur le tapis les problèmes qu'il veut régler sans qu'on sache expressément que c'est lui qui les y as mis ? Une simple manipulation de masse en soit'' -''Ce n'est qu'une théorie mais ne soyons pas bête....'' Il continuas sur sa lancée d'un ton sarcastique -''Alors ?'' -''Il ce levas de son siège et marchas d'un pas lent mais décidé.'' -''Alors dites moi ? Je suis tout ouïe !'' Un silence de mort imprégnait la pièce exactement comme lorsque qu'on laisse un aliment périmer hors de l'holo-réfrigérateur. Il s'arrêtas regardas au sol et rigolas seul. -''C'est bien ce que je pensais. Vous pensez pour la plupart ce que je dit mais n'osez pas le dire.'' -''Ce système est désuet et inefficace. Il nous faut quelque chose de neuf. L'usagé est périmé et ne semble pas faire le travail....'' -''La question étant ce qu'elle est, vous nous empêchez de sortir de cette salle par question de sécurité. Mais êtes vous fiables ? Vous dites que nous ne partirons pas tant qu'un accord n'auras pas été signée ? Pardon ? '' -''Vous nous manipulez, êtes inefficace et maintenant vous nous séquestrez ?'' -''On auras tout vu !'' -''Vous êtes à ce point désespéré ? On as dû vous mettre beaucoup de pression pour avoir une telle réaction venant d'un bureaucrate.'' -''Mais pour l'instant, mettons de côté ce débat et discutons sécurité Mr.Zitarg voulez-vous ?'' Il le pointas effrontément du doigt. -''Vous nous vantez sans cesse la sécurité de ce sommet mais pouvez-vous réellement garantir ce que vous dites ?'' -''Au vu des événements, il semble que Londo Mollari et vous êtes de mèche. Il est inutile de le niez. Vous êtes très proche...'' Il avanças vers le siège sur lequel le président Zitarg était assis et lui tendis une carte. Une magnifique carte rouge brodé or sur laquelle il était possible de voir... Un Joker. Il élevas la voix au maximum pour que tout ceux présent puisse l'entendre et lanças. -''Les dés en sont jeté ! Cet homme pourras t'il assuré notre sécurité ? Échoueras t'il exactement comme l'as fait ce gouvernement ?'' -''Seul le temps nous le diras !'' -''Je tiens à annoncer que je protégerais de ma propre vie tout ceux le désirant. Chaque vie est précieuse et je ne compterais pas trop sur ce zigoto ( Il touchas le nez de Zitarg du doigt ) pour vous protégez.'' Il repris son chemin et s'arrêtas en chemin pour être côte à côte avec Ekko. -''T'en fait pas mon pote, je suis armée et mes troupes peuvent débarquer en cas de besoin. J'ai 80.000 hommes prêts à en découdre et si jamais tu venais à périr, le responsable périrait de mes propres mains.'' Il pris alors une cigarette, l'allumas et fumas une bonne bouffée.
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Cdt. Félix Bright
Respect diplomatique : 182 ![]() 25/05/1016 ETU 08:44 |
Score : 5
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"(Oh merde, merde, merde, meeeeeerde ! J'ai pas envie d'y passé moi ! J'ai vécu comme un lépreux toute ma vie pour qu'elle se termine maintenant ? Nooooon ! J'veux une femme, une famille, être casé avec un boulot pas trop chiant et finir ma vie tranquillement, J'EN AI PLEIN LE CUL DE CES ATTENTATS A LA CON !) Hmm... Gardons notre calme !" Bright disait cela du bout de la salle, là où il s'était adossé au mur, afin de n'avoir aucun angle mort. Pour ne rien faire paraître, il se tenait droit comme un I, mais le commandant est le genre de personne à paniquer facilement... et à le faire savoir. "Le risque vient du commandant Joker, non ? Enfin, je sais pas... Ça pourrait être une idée. C'est p'tet pas lui... Mais il aurait aucune raison de tous nous tuer. Qui que ça puisse être, je pense que cette personne est là pour Londo... Attendez... Hé !" Bright longea le mur de la salle jusqu'à arriver au niveau d'Ohlorin. Il prit soin de compter l'intégralité des personnes la salle, et se dirigea vers la commandante. Il lui chuchota quelque chose à l'oreille.
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Cdt. Londo Mollari
Respect diplomatique : 878 ![]() 25/05/1016 ETU 09:02 ![]() ![]() |
Score : 4
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-''Au vu des événements, il semble que Londo Mollari et vous êtes de mèche. Il est inutile de le niez. Vous êtes très proche...'' Hahahahaha! pff mouhahahahaha! Londo n'en pouvais plus, fort heureusement il n'avait pas bu car il était prêt à se pisser dessus... De mèche! Moi, Londo Mollari, "de mèche"! hahahaha! Maestra, votre humour est digne de celui du Joker! Un coup de peigne plus tard, Londo reprends: Quant à savoir si Mr Zitarg et moi même sommes proches, et bien étant assis l'un à côté de l'autre cela n'est un secret pour personne, n'en déplaise à votre fantastique sens de la déduction Mr Maestra (sourire) Trêve de plaisanterie, je ne pense pas qu'aucun d'entre nous soyons réellement en danger. Qui viendrai? Le Joker? Pensez vous vraiment qu'il puisse entrer ici et tous nous abattre? Il n'aura pas dégainé son arme que nos amis John, ou Ekko l'auront déjà abattu... Il aurait payé des gardes de Mr Zitarg? Nous pourrions offrir bien plus. Non, je pense que si le Joker se pointe, c'est pour parler plus que pour tirer. A vous maintenant Mr Ekko. Je comprends votre réaction, mais au risque d’entacher nos relations, vous n'avez jamais été nommé ministre. Lors de l'établissement de ce gouvernement, je représentais le pouvoir disons "législatif" et John ici présent l’exécutif. Après l'incident de la mise en Paria de Joker et Maestra j'ai repris la direction complète du gouvernement et John s'est absenté pour se remettre des accusations à son encontre. Par la suite, j'ai mandaté certains commandants pour agir au nom du gouvernement. Vous, mais aussi Mr Skriff, Mr Galactan, Mr Lord Antarch etc.... Vous êtes tous des partenaires privilégiés mais pas des ministres. De plus comment pouvez vous vous revendiquer du gouvernement en aidant Mr Maestra? Vous évoquez l'affaire du Sc9 où vous vous êtes battu avec John contre Joker et Maestra, puis vous donnez ensuite des planètes à ce même Maestra, avec en prime la contrebande du Sc9 que j'avais rendu à l'homme trouble et que vous avez reprise à la disparition de ce dernier? Mieux encore, alors que les complots de Maestra contre le gouvernement et ses tentatives d'alliance avec SPECTRA sont mis à jours dans une taverne de votre coa, vous continuez à soutenir ce commandant... Non Mr Ekko, bien que je vous apprécie et que je ne nie en aucun cas votre aide lors de diverses opérations gouvernementale, votre position est bien trop ambiguë pour que vous soyez un membre à part entière de ce gouvernement. Pour répondre aux autres commandants, mon gouvernement a été créé pour répondre à la voix des peuples de renaissance. La démocratie me semblait être le meilleurs moyen d'y parvenir, donnant à chacun la possibilité de s'exprimer sur divers points d’intérêt et permettant à chacun de contribuer à ce qui serait une constitution. Si jamais les peuples de Renaissance désirent un autre régime, alors qu'ils s'expriment lors d'un scrutin même si cela doit être le dernier. Je respecterai leur décision comme je l'ai toujours fait. Si au contraire la majorité désire un gouvernement plus autoritaire, je serait ravi d'avoir en main les outils pour répondre à leur désirs (sourire)
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