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Cdt. Jon Snow25
Respect diplomatique : 728 25/10/1016 ETU 20:45 |
Score : 0
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Un hologramme apparut, avec Antiochos : "Ah, il est toujours en train de débiter ses bêtises ? Autant pour moi, désolé pour le dérangement" L'hologramme disparut.
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Cdt. Gimli
Respect diplomatique : 762 25/10/1016 ETU 20:54 |
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Score : 2
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Le grand roi se leva... C'est vrai que c'est pénible à la fin, c'est toujours le même refrain. Ce que j'ai d'abord pris de la folie n'est en fait qu'artifice. Ce lâche ne peut rien faire et nous montre son impuissance. La juge est parti ? Bien camarade jurés que dites-vous d'aller débattre sur le sort de cet eunuque ? Cette plaisanterie n'a que trop durée !
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Cdt. Suno
Respect diplomatique : 632 25/10/1016 ETU 22:10 |
Score : 1
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Ilan était resté et s'était tut jusque là. Il se leva et prit la parole. Je soutiens la parole du Grand Roi. Cela suffit de tourner ainsi autour du pot. De tergiverser ici depuis de trop nombreux cycles. Par ses actes, cet homme, si l'on peut user de se terme, se condamne lui même. La mort serait peut être encore trop douce pour lui, pas assez spectaculaire pour s'allier à son ego. Que cela cesse!! Au nom de Révolution qui nous a vu naître, que cela cesse. Il avait perdu foi en la nature du vivant depuis qu'il suivait ces débats. À quoi bon vivre si c'était pour voir cela? À quoi bon naître, croître et se développer pour voir tout finir ainsi? À rien. Le vivant n'avait pas sa place en ce monde, du moins certains n'avaient rien à faire au sein des vivants. Certains peuples n'atteindront jamais là sagesse. C'était ainsi. Les Cynos n'avaient rien à faire ici de son point de vu. D'autres peuples n'avaient rien à faire ici, dans la lie du vivant. Il se rassit, ruminant sa colère et ses réflexions.
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Cdt. Flavius
Respect diplomatique : 2044 26/10/1016 ETU 02:56 |
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Score : 6
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Flavius est toujours perdu, des choses se passent, il ne comprends plus trop, quelques suggestions loufoques fusent sur le comment du pourquoi quelle solution pourrait être utile, venant de personne réagissant tels des spectateurs chevronnés devant un film, hurlant à la première erreur de l'acteur, du personnage, typique du "Il est con, pourquoi il n'a pas fait ça", alors que l'évidence sautait au yeux, l'événement l'imposait, la situation se "vivait". Alors que Mael reprenait ses esprits, Flavius lança quelques mots en arrière. Oui, le procès semble fini, nous pourrons délibérer sur son cas... mais pas avant ça... Il se retourna vers Mael alors que le chrono continuait. Vous voulez ma réponse... et vous l'aurez... Son regard était plein de quelque chose. Vous n'avez toujours pas compris qui je suis, et pourquoi je le suis... il saisit Mael par le colle. Je suis le Défenseur du Bien, Le Pourfendeur du Mal, La ferveur des cœurs, et la pureté de l'âme ! Il s'approcha un peu plus de Mael. Car j'ai offert ma Vie pour cette cause ! Il lui hurla au visage. J'ai sacrifié ma Vie pour cette cause ! Il le lâcha. Car l'instant où j'ai prononcé mes vœux, elle ne m'appartenait déjà plus, car elle était entièrement dévolue au Bien ! Chaque jour de ma Vie, chaque parcelle de mon être, chaque fibre de ma volonté, je l'ai consacré à cette cause, je n'ai jamais renié mes convictions ni même ma dévotion à celle-ci, au grand jamais, et je mourrai encore avec plaisir pour celle-ci ! Son regard inquisiteur appuyait Mael alors qu'il le pointa du doigts. J'ai offert ma Vie pour combattre des pourritures telles que vous, pour combattre le Mal ! il redressa son regard. Et je n'ai cure que certain le nient, que certain n'y croient pas, alors que la vérité est devant leurs yeux, car oui c'est bien le sang de Salusa, le sang de mes frères et de mes sœurs, le sang de nos âmes, Qui a légué cet héritage de Bien à notre Galaxie ! Son regard pointa de nouveau sur Mael. Car nous sommes prêt au sacrifice, et l'avons toujours été ! Mais pas comme vous essayez de me l'imposer, des sacrifices pour combattre le Mal, pas pour y plier ! Croyez-vous vraiment que je vous accorde la moindre once de confiance après ce que vous ayez fait à votre ancienne Galaxie... après ce que vous êtes en train de faire maintenant !? Il se pencha vers Mael, alors que le chrono continuait d'avancer, pour certaines raisons scénaristiques, les dernières 35 secondes étaient passées moins vite que prévu. Alors je ne dirai qu'une chose : NON ! Vous avez votre réponse maintenant ! Je dis NON à votre jeu infâme, interprétez le comme la réponse que vous voulez ! Mais je me permettrai la liberté de vous apporter une dernière solution, une unique solution. Il se redressa, le jugeant de haut. Vous annulez cette mascarade, vous épargnez ces vies, vous... épargnez le dernier lien qu'il me restait avec ma vie d'homme quand elle m'appartenait encore... et au delà du simple fait que l'on accorde plus aucune valeur à votre parole, chose qui est déjà le cas, vous pourrez peut-être prétendre à autre chose que la mort ! Il poursuivit, plus lentement. Ou alors, vous mettez vos menaces à exécution et... vous me donnez raison sur le Mal qui est en vous ! Vous me donnez encore plus raison que je n'ai jamais eu, sur ce que j'affirme tout fort depuis tout temps... et accessoirement, vous vous fermez les rares options salutaires à votre égard... car la Galaxie réclame déjà bien assez votre sang... et je les rejoindrai dans cet avis ! Il jeta un dernier regard à Mael, alors que son poing était serré, et que le Chrono continuait d'avancer. J'ai pris ma décision en pleine âme et conscience... prenez la vôtre maintenant. A cet instant, nul n'arrivait vraiment à savoir à quoi pensait Flavius, mais quelque chose était certain... un sentiment rare le parcourait, quelque chose dont il n'avait pas l'habitude. Une tension entière reposait dans la salle, alors que le temps semblait se figer pour Flavius, comme ces instants rare où certain prétendaient voir leur vie défiler devant leurs yeux au moment fatidique... oui, quelque chose de rare...
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Coa. Temple Jedi
Respect diplomatique : 100 26/10/1016 ETU 13:17 |
Score : 0
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Maître Windu se leva, et prit la parole : "Que les jurés délibèrent et rendent leur sentence. Que la Force soit votre secours dans ces délibérations."
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Cdt. Mael
Respect diplomatique : 1034 26/10/1016 ETU 21:23 |
Score : 9
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Une fois que Flavius le lache, Mael vacille, mais reste debout. Il s'appuie contre quelque chose, un fauteuil, une rambarde, peu importe. Sa tête tourne. Nausée. Mais il écoute. Il ne quitte pas des yeux le paladin. Quand Flavius crie non pour la première fois, il hausse les sourcils. Il tend la main vers l'oreillette, appuie sur un bouton, et marmonne quelque chose, alors que Flavius déclame ses conditions. ecran: Connecté. Système armé. L'image revient. La caméra est posée par terre, et le caméraman, qui est en fait une femme d'une quarantaine d'années, est agenouillée vers l'objectif, les mains jointes et le visage en pleurs. Le son est coupé, mais on comprends la supplique continue. Derrière la femme, la bombe. Flavius a fini de parler. Il attend. strictement immobile. Mael crache. Encore du sang. " 'chier. ... respire, Flavius. On a le temps. T'es vraiment un beau grand taré, tout de même. Evidemment, qu'à force de chercher le mal dans le coeur des hommes, tu finis toujours par le trouver ! C'est toi qui te mets dans une situation pareille: à semer des appâts, à pousser à la faute comme tu l'a fait via Londouille, à envahir et enfermer des commandants sans sommation, à les juger à travers des procès truqués... à force de faire toutes ces choses, ou des les provoquer, ou de tolérer ces infamies au nom du plus grand bien... à cause de tout ce que tu as fait, il fallait bien qu'il y aie des conséquences? une réplique? des révoltes? Cependant... Cependant... tu as raison. Je ne peux rien espérer de plus en déclenchant cette explosion. Je ne suis pas venu dans cette galaxie pour t'affronter: j'ignorais ton existence quand j'ai pris cette décision. C'est toi qui veut combattre... pas moi. Alors pourquoi pas te laisser cette victoire, poursuivre ce procès inutile, et enfin laisser aux jurés l'opportunité de dire haut et fort cette sentence qu'ils me réservent, bien au chaud, depuis le premier jour? Comme ca, tu passeras à autre chose, t'iras faire l'inquisiteur du coté de tes amis qui se révoltent timidement. Ca sera bien, on pourra dire aux générations future que la justice a été rendue, et un jour, quand tu en auras besoin, toi et moi on repartira sur de meilleures bases. C'est beau, l'espérance... on fait faire n'importe quoi à un type avec ca: L'envie de croire... T'es tout de même mal tombé: cette partie de moi est morte il y a longtemps: j'ai cessé de croire. Depuis le début, tu me fais comprendre que tu tolères mon existence du bout des lèvres...Et ce procès est une manière de déguiser une décision derrière l'anonyma de quelques votes... courus d'avance. Quand je constate ce que vous avez eu le culot d'infliger au gentil Castellan, je ne me fais guère d'illusion sur ce que vous me réservez. Et ca n'entre pas dans mes plans. J'avais pas besoin de tout ca, de toi dans mon chemin. T'es venu quand meme, et tu insistes, et je ne peux pas t'abattre... Alors, tant pis..." Il écarte les mains, en signe d'impuissance.... puis montre l'écran. "Je vais peut être échouer, mais je ne vais pas renoncer! Je vais taper sur ta carapace, sur ta folie du zèle bienfaiteur qui nous a tous amené ici. T'es sur mon chemin, tant pis, je vais avancer jusqu'a ce que j'en crève ou que tu dégages... ou que quelqu'un se décide à te faire bouger!" ecran: La femme s'immobilise soudainement. Toujours autant de larmes. Toujours pas de son. Elle regarde derrière elle. Elle commence à lever les bras. Soudainement, l'écran devient entièrement blanc. Il est remplacé rapidement par un nuage de parasite. Connexion perdue: Plus de signal. "...parce qu'un jour, suffisamment de gens se rendront compte de ta folie inquisitrice, pour laquelle tu auras provoqué des guerres, et pour laquelle tu auras sacrifié ton propre peuple. Que tu as poussé un commandant dangereux à bout, pour une rumeur, et qu'il a réagi de la seule manière à sa portée. POUR TON BIEN! Alors qu'il n'y avait que du vent, tu as empilés les morts... ...tu cherchais un monstre? tu en as trouvé... deux! Moi, je me rends... Et toi? qui va te juger?" Mael lache la rambarde... et s'affale par terre. Derrière lui, quelqu'un éteint l'écran et son message laconique.
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Cdt. Chrysalide
Respect diplomatique : 1379 26/10/1016 ETU 22:18 |
Score : 3
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Les Morphes appelés par Moïra finirent par arriver jusqu'à la salle du Tribunal où le procès du Commandant Maël devenait plus qu'un pugilat. Des brancardiers prirent le Commandant en charge tandis que les guerriers en tenues de pierre maintenaient la garde salusienne en retrait. Une voix métallique que l'on ne pouvait reconnaître émit quelques mots dans le silence que cette intrusion avait suscitée. La torture... est abjecte... et signe de peu de foi,... de peu de puissance... L'accusé n'est plus en état de poursuivre son procès... Nous le soustrayons à vos actes iniques... jusqu'au verdict... Saint salut !... Le Commandant Maël fut ainsi soustrait à la torture.
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Cdt. Flavius
Respect diplomatique : 2044 27/10/1016 ETU 00:53 |
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Score : 5
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Flavius avait écouté chaque mot de Mael, plusieurs sentiments l'avaient parcouru, de la consternation à la colère, devant le poison de ses paroles, de chacun de ses mensonges, sa Foi et ses convictions les renvoyaient, imperméable au plaidoyer ultime de son... adversaire ? Oui, il restait convaincu de tout, de chaque chose, les paroles pernicieuses de Mal cherchant à tourmenter son esprit, il les voyait comme tel, comme la dernière tentation de celle-ci... la tentation de céder. Mais il ne broncha pas, ses poings étaient toujours serrés... jusqu'à que l'écran devienne blanc, l'instant lui parût éternellement lent, long, intemporel, il ne savait pas ce qu'il allait ressentir... avant qu'il ne relâche doucement ses poings, car il n'avait plus la force de les serrer, non, il ne l'avait plus, car à cet instant, c'était bien son cœur qui se serrait. Il pensa ironiquement qu'il avait un jour dit à quelqu'un que si l'occasion lui était laissé, c'est sans hésiter qu'il choisirait le sacrifice ultime, et il était sincère quand il le disait... car il avait toujours cru que sa Vie l'était, mais non. Car le vrai sacrifice ultime, celui qui faisait le plus souffrir, ce n'est pas la Vie, car croyant ou non, son glas sonne avec lui la fin des souffrances, non, le vrai sacrifice... celui qui est le plus lourd à porter... c'est d'abandonner ce qui nous raccroche à la Vie. Il pensa tristement que dans ses périodes les plus sombres, il avait secrètement pensé à renoncer, à retourner vers ce bonheur élémentaire, comme un fantasme inavoué et dont la pensée est cathartique, pour ne pas devenir fou devant l'ampleur d'une décision, d'une décision d'une vie entière. Mais qu'était-il dans l'immensité des choix et de la Vie ? Il souffrait, oui, mais celle-ci lui était t-elle propre ? En avait-il l'exclusivité ? Non, car celle-ci n'était qu'éphémère, comme toutes celles que d'autres peuples avaient pu subir, peut-être moins qu'à cet instant... ou peut-être pire, comme cet histoire d'apocalypse, alors non, il n'avait pas le droit de prétendre à plus que les autres dans cette situation, si ce n'est de l'accepter avec dignité. Étrangement, les histoires veulent que la blessure génère la faille, que le Mal génère l'erreur, que le chemin soit détourné quand l'événement est brutal. Oui, c'est ce que racontaient les histoires, combien de preux chevalier ou d'être vertueux s'étaient détournés du droit chemin à l'instant fatidique où la souffrance était grande, à l'instant où la haine prenait leur cœur ? Combien d'histoire tragique où le héros vivait assez longtemps pour devenir le méchant ? Combien... ? Pas une de plus pensa t-il, non, l'envie était grande, la corruption était proche, basculer dans une colère sans nom, une horreur sans précédent, apprendre à tous ce qu'était réellement le Mal... pour les châtier d'en avoir tolérer un autre jusqu'ici, pour les châtier d'avoir nier sa vérité. Mais non, pas un de plus, non, il tiendrait bon... et suivrait le chemin, ne s'en détournerait pas, et plus que jamais il se le répétait, il leur prouverait à tous, que le Bien n'amène pas forcément au Mal... car le Bien peut y survivre... si il sait se montrer fort. L'instant passé, Flavius leva dignement la tête, le regard maintenant vide. Ainsi soit-il. Il descendit les marches lentement, faisant un simple signe de tête aux Paladins pour qu'ils n'abattent pas sans sommation Mael et les Morphes s'étant malencontreusement joint à la fête, leur laissant faire leur office "bienveillante", geste nécessaire devant la colère bien naturelle qui commençait à monter chez les Salusiens présent, lentement, peu à peu alors qu'ils commençaient à réellement saisir ce qu'il venait de se passer. En passant, il lança tristement un regard au Morphe qui s'était exprimé, ce peuple venait-il de préférer l'accuser indirectement d'avoir "torturer", un bien grand mot, un être aussi malfaisant que Mael, au lieu d'accuser ce que cet être venait à l'instant de faire ? Peut-être, peut-être, ainsi était l’instigation pernicieuse du Mal par la haine, ainsi pouvait être la pensée de certain, car combien à cet instant pensait secrètement le fameux, l'ultime argument : "Il le mérite". Peut-être plus que ceux qui auraient réellement l'audace de le faire savoir, mais auraient-ils réellement tord ? La question restait ouverte, mais la réponse apporterait aussi son lot d'indice sur chacun, Flavius quant à lui, quitta la salle, accompagné de ses Paladins, alors que les derniers présent, malgré leur armure cachant jusqu'à leur visage, laissaient tomber un certain mélange d'apathie de désespoir et de la colère dans la salle qui était bien perceptible, et qui laissait craindre de la suite.
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Cdt. Suno
Respect diplomatique : 632 27/10/1016 ETU 15:31 |
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Score : 5
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*Il a eut ce qu'il voulait. Se faire passer pour une victime alors qu'il n'est qu'un être abject. Comment peut on le défendre? Il y a droit en t'en qu'être vivant mais le permettrait il pour nous autres?.. De la torture? Des tranquillisants? Le monde part mal... Suno devra se débrouiller, j'ai perdu espoir dans le vivant. Peut être que le désert d'Ostan serait une bonne destination qui sait?* Ilan regardait d'un oeil distrait la scène. Ne réagissant pas, bien qu'un signe de main aurait suffit à empêcher les Morphes de repartir avec leur déchet. Mais les Morphes étaient un peuple ami. Il soupira et se redressa, attendant la suite.
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Cdt. Mael
Respect diplomatique : 1034 27/10/1016 ETU 21:42 |
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Score : 6
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Par terre, du moins, sur le brancard posé par terre, entre les mains qui le maintiennent et les appareils qui l'auscultent, Mael tremble. Violemment. Il se serre la gorge d'une main. De l'autre, se griffe le torse du coté du coeur. toux rauque, sifflante. encore. Il tape des pieds par terre, désordonné. L'équipe "médicale" s'écarte en chuchotant. Mael se tourne sur le coté...écarquille les yeux. Il cherche quelqu'un du regard....puis s’arrête sur Olorin.. Il ouvre la bouche. " Toi! Qu-" et vomit un mélange de sang et de bile. puis tousse bruyamment. Ses mains se crispent.
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