Cdt. Olhorìn
Respect diplomatique : 3203 18/10/1016 ETU 19:08 |
Score : 5
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"Je vous remercie de votre sagesse, commandante. Reprenons donc le déroulement de ce procès. "Si vous parlez de ma collaboration initiale avec l'éventualité d'un complot, je plaide coupable. Je peux difficilement faire autrement : mon nom est tagué partout sur les murs de la taverne. "Concernant l'accusation de Trahison envers le Saint Empire, je plaide non-coupable. Pour trahir, il faut s'être engagée. Ce n'est pas mon cas. Et quand bien même il en serait ainsi, je n'ai absolument rien fait qui puisse me compromettre. Si ce n'est discuter, et ceci n'est point interdit par votre Saint Empire, que je sache... De plus, les raisons de mon implication dans ce complot rocambolesque étant biaisées à la base, je ne saurai être tenue responsable de ladite implication. "Je développerai par ailleurs. "Et afin de nous faire gagner du temps, pour ce qui est de la possession illégale d'apotium, les raisons de ceci étant intimement liées à la première accusation, je plaide également non-coupable."
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Cdt. Chrysalide
Respect diplomatique : 1379 18/10/1016 ETU 19:29 |
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Score : 4
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Chrysalide prit une grande inspiration et se racla un peu la gorge avant de poursuivre. Vous allez un peu vite en besogne, Commandante. Il va falloir développer tout ça car, si les mots ont un sens important pour vous, il en est de même pour moi. Tout d'abord, vous vous déclarez coupable, mais seulement par votre collaboration initiale avec l'éventualité d'un complot. Veuillez me pardonner, mais ce complot n'a rien d'éventuel ! Et je ne vois nulle part que vous vous en êtes détachée... D'autre part, vous dites au sujet de l'accusation de trahison envers le Saint Empire que votre implication est biaisée. Vous reconnaissez donc y être impliquée, mais vous plaidez non coupable. Je pense effectivement que vous allez devoir approfondir ces allégations quelque peu contradictoires à mon sens. Je vous écoute.
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Cdt. Olhorìn
Respect diplomatique : 3203 18/10/1016 ETU 19:41 |
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Score : 4
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"C'est le moment de ma défense, alors ? Le moment où je dois exposer ma version des faits ? "Comprenez-moi, je ne souhaite pas plaider trop tôt dans ce procès si le moment n'était pas encore venu. Pour le moment, j'exposais juste ma ligne de défense. Mais si vous m'autorisez à développer dès maintenant, je le ferai. "Autre chose : l'accusation ne devrait-elle pas avoir la parole en premier ? Dans la majorité des systèmes auxquels j'ai été confrontée jusqu'à présent, il revenait à l'accusation de poruver la culpabilité d'un accusé, et non à ce dernier de prouver son innocence. En toute logique, le dernier mot devrait toujours être celui de la défense. Est-ce différent chez vous ? Ne serait-ce pas au prêtre..." Ruby se pencha vers Ekko d'un air interrogateur. Ce dernier lui murmura quelques mots, le sourire aux lèvres. "Oui, c'est ça. Ne serait-ce pas à ce Marcius de commencer sa mise en accusation ?"
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Cdt. Chrysalide
Respect diplomatique : 1379 18/10/1016 ETU 19:57 |
Score : 3
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Chrysalide sourit. Commandante, c'est justement sur votre ligne de défense que je vous interpelle car elle me paraît contradictoire avec les mots que vous employez et desquels vous avez tenu à me rappeler l'importance. Cela donnera le temps au Haut Prêtre Marcius d'intervenir ensuite. Chrysalide jeta un coup d’œil vers la loge de Marcius pour voir ce qu'il faisait. Veuillez donc me répondre, reformuler ou modifier votre ligne de défense, je vous prie.
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Cdt. Olhorìn
Respect diplomatique : 3203 18/10/1016 ETU 20:25 |
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Score : 5
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Olorìn eut l'air sincèrement ennuyée et prit un instant avant de répondre. "Madame la Juge, avec tout le respect que je vous dois, et croyez bien que j'ai beaucoup d'estime pour votre personne, je ne puis répondre à votre question sans développer longuement ma thèse. Je reconnais que ma position peut paraitre paradoxale, mais elle vous paraitra beaucoup plus claire une fois détaillée. Et logique. Je ne change donc rien à ma ligne de défense." Elle marqua une pause durant laquelle elle plongea ses yeux étranges au fond de ceux de la commandante. "La vraie question est donc celle-ci : donnez-vous la parole en premier à l'accusation ou à la défense ? Soyez consciente également qu'en choisissant la deuxième option, vous me demandez de me défendre sur une accusation qui n'a pas été formulée clairement et qui reste une simple phrase lacunaire." Elle eut un regard irrité vers son pager personnel, prit connaissance du message qui venait de lui arriver et ses yeux mauves se portèrent sur Marcius. Un sourire naquit sur ses lèvres carmin. "Je tiens à informer la Cour que je viens de recevoir une nouvelle proposition de transfert pour mon stock d'apotium. Comme le précédent, aucune réponse ne sera faite à celui-ci tant que certains points ne seront pas éclairés. Veuillez noter que cela ne constitue en rien un refus, la proposition restant dans mes archives."
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Cdt. Chrysalide
Respect diplomatique : 1379 18/10/1016 ETU 20:53 |
Score : 5
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Chrysalide secoua la tête d'une manière irritée et re-coula un oeil vers la loge du Haut Prêtre qui n'apparaissait toujours pas. Il allait s'en prendre plein la face, celui-là ! La procédure est en effet que la défense s'exprime après l'accusation pour que les Jurés aient un avis plus favorable... Nous allons donc attendre le Haut Prêtre Marcius en espérant qu'il n'ait pas prit une cuite au bar du coin... Madame, si vous voulez rejoindre votre cellule et vous restaurer pendant ce temps, je vous y autorise. Elle même resta là, se calant le plus confortablement possible dans son siège, sa grossesse lui pesant un peu plus chaque cycle. Et elle se laissa aller à rêver à son mari, ne sachant pas où il était vraiment ni quelle était sa situation... Maudit Marcius qui lui permettait de penser à lui et de s'inquiéter encore !
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Cdt. Flavius
Respect diplomatique : 2044 18/10/1016 ETU 22:48 |
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Score : 5
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Le Haut Prêtre Marcius apparût, avec son air toujours aussi satisfait, dédaigneux, prétentieux, ronchon, enfin, tout ce qu'il fallait pour ne pas l'aimer quoi. Mais c'était une condition à laquelle Marcius était très bien habituée, les gens ne l'aimaient pas... et si seulement ils savaient à quel point c'était réciproque, ils l'aimeraient encore moins, assurément. C'était d'ailleurs explicitement pour cette raison que Flavius l'avait choisi pour l'accusation. Le Haut Prêtre salua Chrysalide. Me voilà, votre honneur, vous me pardonnerez, mais j'attendais justement que l'on me convie explicitement à m'exprimer, pour ne pas reproduire les même... erreur, n'est ce pas ? Il ne souriait pas, mais il en avait envie. Je vais prendre mon rôle d'accusateur Impérial très à cœur, en commençant par souligner la manière dont l'accusée ici présente, la Commandante Olorìn, joue du langage pour essayer de pervertir les mots et oser plaider non coupable. Votre honneur, vous l'avez vous même remarqué, celle-ci joue sur la forme, non seulement elle affirme que les raisons de son implication étaient biaisée, et que donc elle est innocente, mais aussi qu'elle n'y a fait "que parler". Il se retourna, le regard sévère vers Olorin. A l'entendre, on pourrait presque croire que parler de meurtre, de viol, de destruction, de perfidie et de toute autre infamie n'est en rien reprochable, car vous comprenez, vous n'avez fait qu'en parler et que participer à cela, mais au nom d'un principe de Justice biaisée qu'elle tentera d'invoquer, cela ne pourrait pas l'inculper, car nous aurions du attendre d'avoir le couteau planter dans le dos pour certifier de cette trahison selon elle ! J'"hyperbolise" volontairement l'exemple pour prouver la faux du raisonnement que l'accusé invoque pour plaider non-coupable, une honte ! Quant à sa ligne de défense indiquant que les raisons de son implication étaient "biaisées", je continuerai d'appuyer l'absurdité de ce raisonnement, quand l'accusé aura pris la peine de développer plus celui-ci. Mais l'accusée va d'abord devoir répondre devant ce tribunal de bien d'autres choses ! Le Prêtre lança un regard rapide à Ekko, de toute évidence il était au courant, et le regard du prêtre était vraiment... mauvais, d'un mauvais satisfait et étant loin des vertus Salusiennes : le prêtre semblait prendre plaisir à la tâche. Car oui ! L'accusée ose, je dis bien ose, plaider non coupable, sous seule prétexte que celle-ci n'a fait que discuter ! Alors soit, Commandante Olorìn, comment expliquez-vous que vous avez, dans la taverne des comploteurs, partagées des informations sur comment pouvoir dissimuler des stocks apotiques dans une coalition cachée dans une autre Galaxie, pour pouvoir échapper au contrôle du Saint Empire ? Déjà, niez-vous simplement avoir dit de telle-chose, ou dois-je ressortir l'intégralité de la taverne sous archive ? Comment pouvez-vous nier une participation après cela ? Oui, il se retenait vraiment de sourire. De plus, vous étiez totalement au fait du reste, et l'approuviez, ce n'est pas parce-que ce n'est pas vous qui alliez tenir l'arme que vous pouvez vous prétendre innocente ! Voici une citation d'un de vos dires : "Sans déc', j'comprends pas pourquoi vous faites une fixette sur l'apotium. Savez pas vous battre sans, ou quoi ? Y a eu des guerres sans apotium avant Renaissance, y en aura après. [...] Il récupère tous les stocks et, grâce à mon intervention, le Conseil vote pour sa destruction. Plouf, plus une goutte d'apotium en Révolution. Bingo. Nous n'avons pas d'apotium, mais l'aut' non plus. On joue désormais à armes égales. Juste une différence de stocks, mais à moyen terme, on peut compenser. Y peut pas nous priver de produire des ressources basiques. Et j'épargnerai d'autres preuves justifiant de votre implication dans cette opération, il y en a déjà bien assez ! J'y reviendrai, mais avant, ça, parlons de votre transgression Apotique ! Le prêtre jubilait intérieurement. Commandante Olorìn, lors de la saisie Apotique, un transfert vous avez été proposé pour cette dîtes saisie, dis transfert auquel vous n'avez jamais répondu malgré le délai d'une semaine que celui-ci accordait. Vous ne pouvez donc pas volontairement nier que vous n'avez pas parjurer votre serment, d'autant plus qu'après votre reconnaissance d'autorité tardive, si vous étiez vraiment de bonne foi et... honnête ! Oui, honnête, vous auriez de vous même mis à jour la situation, comme l'on fait tous les autres Commandants et le font encore. Tout argumentaire minable prétextant que un jeu de délai sur votre parole publique vous mets hors de cette accusation serait un manque évident de respect envers le jury et ce noble tribunal, que vous prendriez pour des imbéciles ! Le Haut Prêtre marqua une pause, laissant bien au gens le temps d'apprécier son côté insupportable quand celui-ci prenait une pause et un regard auto-satisfait. Mais j'en reviendrai maintenant au premier chef d'accusation, Commandante Olorìn. Vous qui affirmez être non coupable, pourrez-vous expliquer au jury pourquoi, dans cette grande certitude d'innocence, vous aviez pour volonté de détruire toutes les preuves de ce complot ?! Oui, vous m'entendez bien ! Il n'y a que les coupables qui cherchent à cacher définitivement les faits, et c'est ce que vous avez essayé de faire, preuve à l'appuie : Je suis en train de positionner mes vaisseaux pour récupérer la taverne de Londo. Je déteste laisser des traces, et celles-ci ne me plaisent pas. Dans 4 heures maintenant, mes canons et diplomates seront au-dessus de la planète et prêts à recevoir mes ordres. Je compte bien récupérer ce lieu et le vider de toutes ses discussions. De toute façon, pour ce qu'elles contiennent d'intéressant... Mais elle m'incriminent dans leur complot et ça, ça me plait pas. Marcius était presque en train de sautiller sur place, et les petits plis d'un sourire pouvaient commencer à se dessiner, mais rapidement effacés, il ne fallait pas, il ne voulait pas prendre le risque d'être apprécié, même un peu. Les preuves sont ac-ca-blantes ! Votre honneur, il en sera tout pour moi pour l'instant, je pense que l'accusation a déjà porté bien assez de preuve contre l'accusée, je prendrai suite à ses possibles réponses, quand vous me l'autoriserez ! Le Haut Prêtre retourna s'asseoir, et Flavius lui murmura quelque chose à l'oreille. Marcius tira un regard encore... désespéré, et se releva. Mais avant... j'appellerai l'Empereur à témoigner... Empereur... Marcius se rassit, alors que Flavius se levait, encore content, agitant ironiquement sa main d'un geste signifiant "Eh bah, ça a bien chauffé dit donc". Il prit place et s'exprima. Je témoignerai en effet, souhaitant rajouter en accord avec mes vœux pour la défense de la vérité, que tous les propos tenus par l'accusation portent dans le vrai que je sache, mais qu'avant que la défense n'use d'elle même de cette parole, je lui épargnerai en avançant qu'effectivement, la Commandante Olorìn semblait vouloir se dissocier de ce mouvement de comploteur après un certain moment, preuve à l'appuie : Olorìn : 10/10/1016 Je suis persuadée qu'il y a une taupe dans l'équipe de bras cassés. Voire plusieurs. Et je n'ai plus du tout confiance en ce groupe. [...] Mais je suis presque sûre qu'il y a des fuites. Et je veux pas être assimilée à ce fiasco. [...] Si j'ai cru à un moment qu'il était possible de faire quelque chose en étant tous réunis, je me suis décillée depuis. En gros, c'est chaque groupe pour sa gueule. J'préfère bosser avec toi et les lâcher. Je... Grmmbllrr... Flavius se tourna vers Marcius, qui s'agitait encore, grommelant. Ah oui, c'est vrai que vous préférez que ce soit vous qui réagissiez aux preuves... allez y Prêtre Marcius, je ne vais pas vous retirer ce plaisir ! Et Flavius retourna s'asseoir, avec entrain, il semblait être plus détaché de la situation, presque avec naïveté, mais ceux qui le connaissaient savaient qu'il n'en était rien. Marcius reprit place. Ac-ca-blantes ! La Commandante Olorìn souhaitait certes se dissocier de ce complot... à trois jour du début des opérations ! Et encore, regardez les raisons, celle-ci n'a pas volonté de le quitter par conviction, mais simplement par certitude que celui-ci ne marchera pas ! La défense serait donc bien avisée de ne pas clamer ce fait pour son innocence ! Mais je reste bien curieux de voir ce que celle-ci osera avancer, pour peu que celle-ci puisse encore avancer quelque chose après tout ça ! Marcius se retourna vers Chrysalide. Votre honneur, il en sera tout pour moi à présent ! Enfin... Marcius lança un regard en arrière à Flavius, qui mit la main devant lui accompagné d'un petit hochement de tête désapprobateur disant que "c'était bon pour lui". Oui votre honneur, nous n'avons rien à ajouter pour l'instant, nous vous laissons la parole. Et Marcius retourna s'asseoir.
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Cdt. Olhorìn
Respect diplomatique : 3203 19/10/1016 ETU 02:00 |
Score : 5
Détails
La commandante Olorìn s'était laissée aller à poser sa tête sur l'épaule d'Ekko, sa main allant chercher celle d'Harley. Ekko répondit à ce geste tendre en passant son bras dans sa nuque et en lui posant la main sur l'épaule. La jeune femme regardait le Haut-Prêtre débiter son récit et ses yeux papillotèrent un instant. Elle reprit pied dans la réalité en entendant les derniers mots du prêtre. Elle lâcha la main d'Harley, souleva sa tête en posant un baiser sur la joue du Gardien et se frotta les yeux. "Heuu... Veuillez me pardonner ce petit assoupissement mais je dois dire que vous avez une très jolie voix, Prêtre Martius." Elle reçut un coup dans la jambe de la part d'Ekko. "Marcius, pardon. Elle est presque douce, berçante... Vous n'avez jamais pensé à faire chanteur ? Pas maître chanteur, hein, juste chanteur." Elle rigola à sa blague, s'aperçut qu'elle était à peu près la seule, et reprit son sérieux. "'ttendez une seconde..." Elle fit défiler sur l'écran devant elle les dernières déclarations de l'accusation et laissa échapper un sifflement. Les commandants autour d'elle purent l'entendre murmurer : "Oulà ! Y sait pas dans quoi y s'engage, là..." Elle s'éclaircit la gorge et se leva. Toute trace d'humour avait disparut de son visage, mais elle conservait un petit sourire. Elle fit un petit geste de la main, ses doigts dansèrent une demi-seconde et un petit tube apparut devant la commandante Chrysalide. "Ne vous inquiétez pas, il ne s'agit pas de poison, Madame la Juge. Je ne souhaite pas vous voir morte, votre vie m'est précieuse. Juste un type d'aspirine très puissant fabriqué lorsque j'étais en Utopie, afin que mes concitoyens puissent survivre à mes discours. Je crois que vous allez en avoir besoin." Elle baissa la tête et la releva aussitôt. "Ah ! Et n'allez surtout pas croire que c'est une tentative de corruption, juste un geste de sollicitude envers vous." Elle griffonna quelques mots sur un papier, prit un moment de réflexion et s'adressa de nouveau à Chrysalide. "Bien. Préférez-vous que je réponde à Tarpius..." Coup de coude. "...Marcius d'un bloc, ou préférez-vous que je réponde point par point en lui laissant le temps de répondre, afin que le développement des argumentations ne soit point trop indigeste ? Autre question : nous autorisez-vous à nous répondre mutuellement sans vous obliger à nous accorder chaque fois la parole ? Ceci encore, dans le seul but d'alléger votre tâche."
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Cdt. Chrysalide
Respect diplomatique : 1379 19/10/1016 ETU 09:10 |
Score : 5
Détails
Chrysalide fit disparaître le petit tube dans les plis de sa robe de Juge avant de répondre et nota au passage la énième tentative de "séduction" de la part de l'Accusée. ... votre vie m'est trop précieuse... La Cour préfère que vous répondiez point par point à l'Accusation et, dans la mesure où vous restez courtois l'un envers l'autre, je vous permets ainsi qu'au Haut Prêtre Marcius d'intervenir l'un après l'autre sans mon accord. Toutefois, j'interromprai les débats si j'ai moi-même une question ou si vos propos exigent une explication que vous omettriez. Commandante Olorin, vous avez la parole. Elle se cala dans son fauteuil, la journée promettait d'être longue !
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Cdt. Ekko
Respect diplomatique : 857 19/10/1016 ETU 10:17 |
Score : 5
Détails
Ekko avait laissé glisser sa main sur la nuque de sa compagne. Geste protecteur mais qui se traduisait pour eux plus comme une marque de soutien, elle n'avait jamais eu besoin de la protection d'Ekko, même si il serait là si elle en avait besoin. Au moment où elle se leva, il fit une légère pression de ses doigts sur la peau de son cou pour l'encouragée. Il s'installa au fond de son siège et commença à sourire. Il regarda le prêtre et à mesure que sa compagne écorchait son nom, il fit de petits gestes pour qu'elle se reprenne, voulant clairement montrer un faux respect envers le prêtre puisqu'il souriait à chaque fois dans sa direction. Si tu penses que j'ai été dur et que je t'ai humilié mon petit père, accroche toi bien à ton siège, parce que vu les ouvertures dans ton discours, ce que je t'ai envoyé ressemblera à une messe de printemps à coté de ce qui t'attend... Elle va te manger tout cru. Il jeta un coup d'oeil à Harley à sa droite. Elle manchonnait du pop-corn et il commença presque à regretter de ne pas en avoir, lui aussi.
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