Pour qui vous prenez vous O'Donnell pour jugé du brigandages comme quelque chose de nuisible pour le monde HEIN!!!!!

Êtes-vous Dieu peut-être, pour nous jugés comme mauvais.....vous êtes vous posez la question que nous somme la pour réguler ce qui doit l'être tel un maillon de la chaine alimentaire.

Je ne dit pas que c'est le bien à l’état pur et que c'est ce qui va nous sauvé si nous nous y mettions......mais regardez dans les écrits de nos parents et voyez ce que nous renégats avons accomplis pour une nation.

Commandant O'Donnell qu'essayez-vous de faire en nous pointant du doigts tel des vermines à exterminé, je vous le demande......

Enfin la capitale...

Anubis se leva malgré la manoeuvre et s'approcha du champ de force réfléchissant.

Il observa le spectacle qui s'offrait à lui. L'arrivée dans l'atmosphère d'une planète était toujours un spectacle particulier. Cette descente parmi les nuages donnait la sensation de flotter et de voler parmi eux. Libre. Insouciant. Pensées utopistes certes mais qui en ces temps de troubles post-Apocalyptique allégeaient l'esprit.

Il voyait la terre se rapprocher. Les bâtiments se dessinaient de plus en plus. L'architecture semblait belle et les bâtiments ne semblaient pas trop avoir souffert des bouleversements. Il voyait désormais les plates formes d'atterrissages, les voies de communications, les voies d'eaux...

Des nuées de vaisseaux se présentaient, tous plus gros les uns que les autres. C'était un va et vient incessant.

Il vit la zone qui leur avait été dévouée. Il s'éloigna du champ de force et alla jusqu'à ses appartements où il mit un masque de verre noir sur son visage fin de le dissimuler. Il réajusta son vêtement , lissa sa tunique d'un revers de sa main gantée et se présenta à la passerelle. Chemin faisant, la secousse caractéristique de l'atterrissage se fit sentir.

Kerma ainsi que 3 autres personnes l'attendait. Toutes couvertes de ces masques et tuniques faisant leur particularité.

Claquant des doigts la passerelle s'abaissa et la lumière du jour s'infiltra dans le vaisseau. Il s'avança suivit de ses hommes et se dirigea droit vers l'Assemblée. Ne prêtant que peu attention à ce qui l'entourait. Ses hommes le suivant et l'encadrant.

Il avait pu suivre les débats et savait exactement où aller. Son hologramme était toujours présent. Assis bien sagement à sa place.

Il traversa le hall, toisant les laquais et gardes du haut de ses 2,10m.

Il arriva tandis que le Commandant Barbossa terminait son discours et se rinçait le gosier à grande lampée d'un liquide brin dont les effluves alcoolisées vinrent lui chatouiller les narines.

Il vit son hologramme qui le regardait et sourit. Il semblait bien moins grand que lui. Cela allait changer.

Il gagna sa place, ses hommes l'escortant. Il fit disparaitre l'hologramme et pris la parole de sa voix grave.

L'acoustique était parfaite, sa voix se répandait dans l'hémicycle et semblait encore plus grave, plus profonde.

Il regarda l'assistance, son regard balayant les sièges, scrutant les visages. Il s'assit sur son siège et attendit la suite. Ses hommes disposés en demi-cercle surveillaient les moindres gestes des personnes présentes.

-Je requière l'attention de cette assemblée pour rappeler des propos qui on été annoncés plus tôt, ces anarchistes se regroupent sous une seul bannière, celle du titre de bandits ou brigands mais il ne faut pas oublier que ce son des groupes isolé qui n'ont certainement pas une technologie aussi avancés que la notre, pour le moment ils ont l'avantage du monopole d'une grande partie de la galaxie. Plutôt que de belles paroles d'alliances ou de paix, je vous met en garde contre ces querelles inutiles, ces bandits pourraient profiter de la discorde entre gouverneurs civilisés que nous somme, pour piller nos populations !

j'ai rarement vus des bandits cherchant à s'étendre donc je ne pense pas que la principale menace des bandits soit l'invasion de nos terre.

-Une chose me dérange le plus c'est le fait de rassemblé un groupe de 12 capitaines contre ces bandits, n'a t-on plus le droits de se représenté nous même pour nous défendre, je trouve excessif de rassembler autant de capitaine pour de simple bandits qui pour l'instant à part des messages indéchiffrables n'ont entrepris aucune actions hostiles.

Plus le temps passait, plus les gens semblaient s’éloigner du sujet de base et Miss Tick qui avait finit par changer de fauteuil pour ce jour, avait opté pour une place près du commandant Barbossa qui semblait avoir une bien belle bouteille en main. Quoi de plus agréable que de passer le mauvais temps avec une bonne bouteille ? Miss Tick avait beau avoir des principes et un esprit très ouvert, elle ne disait pas non à quelques gouttes bienfaitrices pour faire passer sa migraine devant des sujets complètements divagants. Bien que la répartie de certain était très intéressante, le sujet d’une alliance pour la paix semblait changer de forme au fil de la conversation et laissait sous entendre des propos contraires à son éventuelle création. Après avoir subtilement dérobée quelques gouttes de rhum au commandant assit près d’elle, elle leva son verre et fit tinter la matière pour avoir un peu attention. Sa coiffure n’était en rien parfaite, ses yeux fatigués semblaient sombrer légèrement dans un néant. Oui, Miss Tick avait un sourire moqueur sur les lèvres et avait bien du mal à s’empêcher de somnoler tellement le sujet devenait lassant et récurant.

La commandante lasse se leva de son siège, ses jambes la tenant à peine et bu une nouvelle gorgée de rhum. D’un air narquois elle observa les visages, puis ajouta :

Une main dans son dos, l’autre dans l’air à tenir un verre qu’elle n’arrivait probablement pas à finir à cause du goût fort qui réchauffer les entrailles de la commandante, Miss Tick fit quelques pas devant sa chaise tout en regardant le sol, cherchant des yeux quelque chose qu’elle ne semblait pas trouver.

Elle s’arrêta enfin de tourner en rond et après un bref sourire à l’intention des personnes présentes elle se laissa plus ou moins tomber dans son siège et fini son verre en faisant une petite grimace, n’étant apparemment pas encore habitué à l’arrière gout.

Tendant son verre au Commandant Barbossa avec un petit sourire enfantin, elle se demandait si elle aurait droit à un second verre, sans lui en subtiliser un peu, cette fois ci.

"Dame elfe,

Vous désirez que je parle? Je vais m'exécuter, même si je pense qu'il est manifestement impossible de dialoguer avec vous, combien vous répondez à coté de chacune des interrogations que je soulève.

Vous venez encore une fois de vous contredire. Vous prétendez que les 12 ont déjà été sélectionner, mais laissez la possibilité à certain d'être libre de ne pas vous rejoindre? Ne constatez vous pas là une incohérence?

Quant à vos allégations sur la supposé peur que j'éprouve, elles me laissent de marbre. Je connais bien les procédés rhétoriques pour ne pas y céder. Si l'on résume vos propos : ceux qui sont avec vous sont courageux, ceux qui ne vous soutiennent pas sont des couards.

Et bien permettez moi de dire que je considère la position de mon gouvernement sage, et que je juge votre entreprise coalisée de téméraire. Téméraire non pas envers les Brigands, mais envers cette même Assemblée que vous prétendez à vous seul défendre d'une terrible menace.

Aussi, et par pure plaisir de vous ridiculiser, j'ajouterai que les secteurs 1 et 2 ne représente nullement d'intérêt stratégique pour notre galaxie. Leur système 0 respectifs, sans doute, ces secteurs dans leur intégralité non, sans aucune mesure avec le secteur 0 et son propre système 0. Voyez vous, je ris de vous voire dirigé une coalition qui n'a aucune culture stratégique et que de piètre capacité diplomatique pour ce défendre en cet hémicycle.

Je me délecte de vos difficultés à justifier la légitimité que vous n'aurez jamais, et de constater le manque de compréhension et d'empathie dont vous faites preuves. Plus grandes sont les ambitions, plus vertigineuse est la chute. En ce qui vous concerne, vous risquez de ne jamais toucher terre et de vous perdre dans l'immensité de notre cosmos.

N'avez vous donc pas compris que ce que New Florentina réclame est un débat préalable et comme le disait d'autre avant moi, un accord sur la méthode a adopté pour faire face collectivement à la "menace" des Brigands? Je ne vous contredis pas par plaisir, mais par intérêt.

Vous prendrez sans doute cela pour une provocation supplémentaire, mais je n'en ai cure. Je commence a penser qu'il serait plus facile de déchiffré l'alphabet des Brigands que de vous faire comprendre notre position...

Aussi, considérez qu'avant que nous constations une amélioration dans vos raisonnements, nous ne réagirons plus à vos propos.

Madame, je ne vous salue pas."

Plissant ses yeux clairs, Miss Tick zieutait ce volatile sombre qu’elle n’arrivait plus à supporter. Elle prenait celui-ci très mal, car alors qu’ils étaient tous en train de débattre, cette bête venait mettre son grain de sel et parler politique. Ne supportant plus de voir telle bête cracher son venin, elle ôta sa veste et ne se gêna pas pour surprendre la bête et l’enfermer dans le vêtement. Sourire radieux aux lèvres, elle regardait la selle avec une pointe d’amusement.

La jeune femme tenant tant bien que mal la bête avec tendresse et fermeté, retourna s’assoir à sa place.

- Or, voyez vous, mon peuple est sédentaire ainsi qu’agriculteur. Cette bête est donc néfaste aux miens, si je dois tirer une conclusion de mes croyances. Et je pense que, comme pour les enfants qui s’expriment à la troisième personne, ou ont un ami imaginaire, le corbeau qui est là, dans mes bras, n’est qu’une copie tantôt sombre tantôt lumineuse de cette bonne vi… Vivante Narusegawa.

Avec un grand sourire défiant la représentante du peuple elfique, Miss Tick ajouta.

Miss Tick gardait l’animal plus ou moins enfermé contre elle. Attendant patiemment que sa propriétaire lui réclame avec politesse et courtoisie.