Cdt. Arkhangel Hismer
Respect diplomatique : 1079 27/03/1016 ETU 04:12 |
Score : 2
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Claviériste et peintre autodidacte, une banalité? Mademoiselle, si cela est votre point de vu alors la plupart des personnes pratiquant un art similaire sont banales. "Non, évidemment. Je voulais simplement dire que certaines personnes excellent dans certains arts par passion pure. D'autres, par contre..." Alice ne termina pas sa phrase, concentrée qu'elle était sur son esquisse. Dans les faits, elle n'avait simplement pas envie de terminer son raisonnent. L'officielle maîtrisait le clavier du fait de son éducation. Elle ne pouvait pas, même en le souhaitant, se défaire de cet apprentissage. Elle ne jouait d'ailleurs que rarement, y prenait qu'un plaisir très relatif. Quant à ses talents de peintre, elle les observait avec humilité. M'ennuyer? Mademoiselle, qui suis-je pour vous empêcher de peindre? Si la poésie du ce lieu ou du moins son ambiance touche votre fibre artistique, je serais un barbare ou un insensible pour ne pas la laisser s'exprimer. Elle ne répondit pas mais eut un petit rire, très doux. Ce Suno était d'une gentillesse rare. Un oasis de bonté dans la jungle obscure et pleine de fiel qu'était l'espace obscure. Lorsque les autres cynos se mirent à "danser", les deux gardes, qui observaient paisiblement le paysage, se tournèrent vers eux. Comprenant instinctivement la rareté de la scène, ils ne dirent rien. Ils avisèrent simplement Alice de ce qui se passait, en lui tapant sur l'épaule. Elle sembla surprise puis, sans perdre de temps, fis apparaitre un second cadre, plus petit. Fixant les danseurs avec une curiosité féline, elle se résigna finalement à prendre des notes et effaça la surface blanche d'un geste de main. Elle approcha de Suno. "C'est beau, assurément. Est-ce là ce que vous appeliez vos "Katas" ? Dans l'état, j'ai du mal à imaginer que cela puisse vraiment être... Efficace." Elle observait avec attention les danseurs. Soudainement, ses poings la démangèrent. Dès qu'ils finiraient, se dit-elle, j'attaquerai mes hommes. ... Pour un Kaiserdien, c'était une pensée tout à fait normale. Enfin. Relativement normale. ... Pas trop trop surprenante, disons. Un peu excentrique, mais pas trop surprenante. ... Enfaite, ils aimaient bien se foutre sur la gueule, parfois, comme ça. Mais les officiels évitaient soigneusement ce genre de comportement, en général.
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Cdt. Suno
Respect diplomatique : 632 27/03/1016 ETU 15:39 |
Score : 2
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Suno était plongé dans l'observation de ses amis. Il sentait l'excitation parcourir ses membres. L'adrénaline parcourait ses veines. Il l'a sentait pulser dans son organisme. "C'est beau, assurément. Est-ce là ce que vous appeliez vos "Katas" ? Dans l'état, j'ai du mal à imaginer que cela puisse vraiment être... Efficace." Il sourit et eut un rire poli. Oui, je peux comprendre votre réflexion mais je peux vous assurer que cela est efficace. Mortellement efficace. Il se redressa, et se fit jouer sa nuque afin de se désankyloser. Ils pratiquent ici une manière plus, comment dire, légère dirons-nous. Ils se tiennent à une distance raisonnable et ne cherchent pas à porter les coups. Ils cherchent simplement l'execution du geste. S'ils devaient les porter, malgré leur niveau, l'un d'eux finirait blessé, au mieux. Il continuait à regarder ses deux gardes. Les figures acrobatiques s'enchainaient, les coups de pieds et de poings s'effectuaient avec fluidité et grâce. Il perçut un léger changement et se mit à sourire. Il sentait son adrénaline augmenter encore, il savait que c'était pareil pour eux. La fièvre du combat les prenaient. Si Alice avait pu le voir sourire, elle l'aurait prit pour un fou. Il avait le visage qui devenait extatique, les yeux légèrement fous. Regardez. Ils accélèrent... Les mouvements des Cynos gagnaient en intensité, ils se rapprochaient. La vitesse d'éxécution des Katas avait doublée. Les coups n'étaient toujours pas portés, ils s'arrêtaient où il fallait et quand il le fallait. Aux bruits de la nature s'ajoutait le bruissement des étoffes et le bruit desmembres fendant l'air. Suno faisai jouer ses épaules, il sentait des fourmillements dans ses jambes et ses bras.. --- Tarlen avait attendu un peu avant de se redresser, pour être sur de ne pas déranger la commandante. Il s'éloigna alors, la tête toujours courbée et tourna les talons à une distance respectable avant de poursuivre son chemin pour rejoindre les autres. Il sentait une tension palpable dans l'air. Ses sens s'activaient..
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Cdt. Arkhangel Hismer
Respect diplomatique : 1079 28/03/1016 ETU 01:07 |
Score : 2
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Elle observait le combat silencieusement. S'ils ne pouvaient pas s'entrainer sérieusement sans se blesser, quel intérêt de s'entrainer tout court ? Cette question la tarauda un instant, puis les deux cynos accélérèrent et la kaiserdienne fut forcée de constater qu'elle n'avait pas envie de se retrouver face à ce genre d'adversaire. Du moins au corps à corps. En soit, un blaster laser leur réglerait sans doute leur compte. Sauf s'ils étaient dotés de protections déviant ce genre d'arme. Elle hésita un instant. Quelque-chose, dans l'air, lui déplaisait. Elle porta instinctivement une main à sa ceinture, et ses deux gardes s'approchèrent. Malgré tout, elle trouva le moyen de se targuer d'un "Impressionnant." prononcé avec un pragmatisme glaçant. De telles techniques, utilisées par le Parti, pourraient se révéler très utile. Même si elle se doutait bien que les cynos ne seraient pas prompt à les partager. Peut-être en les filmant à leur insu ? Non, ce serait malvenu. Elle se promit d'y réfléchir.
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Cdt. Suno
Respect diplomatique : 632 28/03/1016 ETU 14:46 |
Score : 3
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"Impressionnant." Suno tourna légèrement sa tête vers Alice. Elle était concentrée, la main posée sur son holster et ses hommes s'étant approchés. Il sourit un peu plus et tourna de nouveau la tête vers ses Cynos. Oui.. Cela fait souvent ça. On a souvent l'impression d'entendre cela avant que l'on ne tue notre adversaire. Ce n'est qu'une impression car en général ils sont trop paralysés par la peur. Son ton devenait plus ferme. Durant de nombreuses années mon peuple a vécut sous domination et nous connaissions la peur. Puis nous avons décidé d'y faire face et que plus jamais nous ne céderions face à elle. C'était à nous de l'inspirer, que plus jamais nos oppresseurs ne connaitraient le repos tant que nous serions en vie. La terreur a alors changé de camp et la résistance s'organisa... Il baissa les yeux. Mais passons, nous ne sommes pas là pour parler de ça. Il s'était redressé, les mains sur la rembarde. Vous n'aurez pas besoin de votre arme Mademoiselle, ils ne vous attaquerons pas. Ils sont prit par la fièvre du combat mais ils savent se tenir. Nous la ressentons au plus profond de notre être et quand nous avons apprit à la canaliser alors elle devient un atout. Elle nous galvanise et accroit nos sens. Il se retourna. Vous la sentez également, cette tension, presque palpable. Il s'approcha d'elle. Vous la ressentez, je le sais. Je le sens. Elle emplit l'air et vous y êtes sensible. Il s'approcha un peu plus, laissant ses mains le long de son corps, pour que les gardes puissent les avoir à vu. Il était à une trentaine de centmètre d'elle et parlait doucement, uniquement pour elle. Vos hommes aussi ont ressenti ses picotements.. Certaines personnes se laissent griser et perdent tout contrôle. D'autres la concentrent et s'en ennivrent. Qu'en est-il de vous, Mademoiselle?
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Cdt. Arkhangel Hismer
Respect diplomatique : 1079 29/03/1016 ETU 18:21 |
Message édité -
Score : 3
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La jeune femme ne répondit d’abord rien. Elle affichait un air impassible. Le petit passage historique de son explication l'avait frappé, certains terroristes affichaient un discours assez similaire sur Kaiderse, peu après la prise de pouvoir du Parti. Enfin, ils n'avaient pas gagnés car ils étaient faibles, et ne méritaient pas de gouverner. Contrairement au Parti, et sans doute contrairement aux cynos. Dans l'état, donc, elle fixait le masque de Suno. Comme il était tout près, et aussi bien plus grand qu'elle, elle était obligée de lever la tête. Instinctivement, elle se sentit un peu inférieur et, de fait, vexée. Elle cligna des yeux et inspira. "Les officiels du Dominium sont au dessus de ça." Alice plissa un peu les yeux et écarta la main de sa ceinture. Après un temps, l'officielle reprit. "Du moins, ils aimeraient. Cette sensation ne me laisse pas froide. Ils me donnent envie de me battre." Mais le terme "enivrer" ne lui plaisait pas. Elle considérait le combat comme quelque-chose d'assez peu instinctif. Bien entendu c'était faux, surtout dans son cas, mais l'idée d'admettre le fait qu'elle ne se contrôlait pas entièrement lui déplaisait.
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Cdt. Suno
Respect diplomatique : 632 30/03/1016 ETU 20:13 |
Score : 2
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"Les officiels du Dominium sont au dessus de ça." Suno haussa les sourcils. *Tiens donc? Ca j'en doute..* La suite des paroles d'Alice confirma ce qu'il pensait. "Du moins, ils aimeraient. Cette sensation ne me laisse pas froide. Ils me donnent envie de me battre." Il sourit et détourna la tête, les regardant. Oui.... Je comprends tout à fait. Si mon rang ne m'imposait pas une certaine retenue, je serais déjà avec eux. Je suis un soldat avant tout et l'esprit de compétition est important afin de toujours maintenir ses capacités. En somme, ils sont un peu plus libre que moi. Toutefois, il faudrait que j'effectue quelques recherches dans les archives de l'Assemblée, une salle d'entrainement est peut être à disposition, cela serait intéressant. La seule limite est que seuls les Cynos disposent des clés pour pratiquer cet art, du coup je devrais me mesurer à eux. Il se tourna de nouveau vers Alice. Disposez vous également d'un art martial d'état, dirons-nous ? Ou encore avez-vous certaines préférences pour les cas où vous devez combattre? Vous ne me ferez pas croire que vous laisseriez ces deux soldats vous défendre sans réagir. Vous êtes une femme d'action, cela se ressent. Il entendit un craquement terrible et se retourna doucement. Il savait ce qu'il s'était passé. Dans son élan, un des Cynos s'était rapproché des arbres et le second, au prix d'une belle esquive, avait évité son coup de pied. Le tronc qui était derrière n'avait pas eut cette chance. Il était fendu en deux. Le Cynos ne sembla pas s'en alarmer et s'éloigna d'un simple salto arrière. Cela marqua un ralentissement dans leur enchainement, ils se stoppaient, s'appaisaient.
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Cdt. P'fen
Respect diplomatique : 3 31/03/1016 ETU 01:29 |
Score : 1
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Il faut se préesnster, ils ne .. eux ? Nous ? Avons pas besoin. Actes parlent. Actions, menaces. Réagissont aux ennemis. Eux veulent tuer, nous. Nous, lutterons : Preuve du mal fait ; Malefices reconnus ; Restitution planètes. N'estimez pas en dessous les Givres.
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Cdt. Arkhangel Hismer
Respect diplomatique : 1079 31/03/1016 ETU 15:08 |
Message édité -
Score : 1
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Une salle d'entrainement. Bonne idée. En soit, le territoire de la capitale occupé par le Dominium jouissait déjà de petites arènes prenant la forme de cercle de sable, mais une vraie salle d'entrainement, dotée du confort et du luxe de la technologie, serait la bienvenue. Et s'il n'existait pas de telle salle, et bien... Oh, il suffirait qu'elle demande aux ingénieurs de Kaiserde d'en créer une ici. Un petit cadeau fait à la communauté international des pugilistes, en quelque sorte. Et en parlant de pugiliste, Suno avait raison sur un point. Elle était une femme d'action. Lors de l'attaque des rebelles sur l'assemblée, par exemple, elle avait chèrement défendue sa vie. Ce trait de caractère n'était d'ailleurs pas forcement apprécié par ses collègues, qui la jugeait instable. Les cons, dans une société militaire, il est bon de savoir se battre avec les soldats. Ainsi, un large, très large sourire éclaira son visage tandis que son regard se fit plus sombre. Elle recula de quelques pas et attrapa le sabre qui pendait à sa ceinture. Il y eut un bruit sec, et une diode située à la garde s'activa. Elle pointa l'arme vers un de ses gardes, sans se retourner. L'homme tressaillit puis, presque aussitôt, se jeta au sol. Il y eut une brève déflagration accompagnée d'un flash lumineux verdâtre. "Nous recevons des formations militaires, mais il n'existe pas exactement d'art martial étatique." Elle abaissa son sabre et approcha du soldat avec un pas de félin, lui tendant une main, pour l'aider à se relever. Un air cynique se dessinait peu à peu sur son visage. Elle se débarrassa de sa casquette, de son manteau et de sa cravate, les laissant sur une rambarde du kiosque et, après un moment d'hésitation, retroussa ses manches. "De toute façon à quoi servent de tels arts face aux lasers ? Enfin. Mettons, qui sait, que mon ennemi arrive au corps corps..." Elle se retourna et envoya un puissant coup de pied dans le dos du soldat, qui dégaina aussitôt sa propre arme, un sabre télescopique. Son collègue en fit de même. Désormais ils entouraient leur chef, qui affichait un air ravis. Les deux chargèrent. Elle évita une première attaque en se baissant, envoyant au passage un coup dans le genou du garde fautif et, ralentissant au dernier moment, frappa de son sabre la base de son cou, où l'armure était plus légère. Comprenant qu'il devrait être mort, il laissa Alice l'envoyer au sol. Cette dernière se retourna ensuite vers son autre assaillant. Ce dernier envoya un puissant coup verticale. Elle l'esquiva d'un bond en arrière, para quelques coups par pur jeu mondain, prenant même la peine de mettre une main dans le dos, comme dans un match d'escrime. Finalement, la jeune femme bondit sur le côté et roula pour se retrouver derrière le garde. Le coup qui suivit fut stoppé juste avant que l'arme ne touche le casque. Elle rangea l'épée, le garde fit de même. La jeune femme ferma les yeux et inspira profondément. Quelque-chose dans sa posture était assez sauvage. Son sourire carnassier, sa dégaine un peu défaite... Ses cheveux formaient désormais un joli bordel. Elle les recoiffa d'une main. "C'est ainsi que j'aime me battre. Le raffinement d'une lame contre une chair faible, pouvoir observer mes adversaires de près avant d'en finir. Vous savez, on peut toujours regarder leurs cadavres mais c'est comme une photo ou une statue de cire. Ça manque de vie." Bref silence. Elle se redressa un peu et fit rouler ses épaules. "Il arrive toutefois que le charme luxueux des armes blanches nous soit refusé, laissant alors place à la violence crue des poings. Ce n'est sincèrement pas ce que je préfère. Je suis fluette, faible. Mes os se brisent aisément, et c'est à peine si j'ai la force de frapper." Elle eut un petit rire innocent et bondit soudainement sur le garde le plus proche, qui ne s'y attendait manifestement pas. Ils connaissaient bien leur patronne, mais se faisaient assez rarement tabasser par cette dernière. Quoi qu'il en soit, le garde se défendit, enchainant les coups et prises, se contorsionnant pour attraper sa chef qui, de son côté, esquivait sans chercher à parer, bondissant d'un côté, de l'autre, glissant, enchainant les pas sur le côté. On aurait dit une danse latine. Un mélange de valse privée de rythme et de tango nerveux. On pouvait clairement constater que les deux avaient reçus des entrainement militaires. A priori, le garde avait le dessus. Il attrapa le poignet d'Alice, qui tentait de lui asséner un coup, lui fit une clé de bras et, s'en servant comme d'un levier, la renversa. Elle poussa un petit cri endoloris et éclata de rire. Il l'aida à se relever. Malgré la douleur, elle trouva l'audace de faire comme si de rien était, se frottant les mains avant de minutieusement se recoiffer. Une balafre marquait sa joue droite, elle ne s'en souciait pas. Sa chemise avait miraculeusement survécut à la violence de l'affrontement. L'un des gardes lui ramena son attirail, casquette manteau et cravate, et elle se rhabilla comme si de rien était. "Enfaite j'ai menti sur un point. Nous avons un art martial standard. Cependant il s'agit simplement d'un ensemble de coups visant à tuer, briser, malaxer et disperser. C'est un art disgracieux et violent. Très utile cependant." Elle chancela, inspira et s'appuya sur la rambarde. Bien que bonne épéiste et excellente tireuse, elle n'était pas une soldate entrainée. La violence la fatiguait rapidement, même si elle l'adorait viscéralement. "Hm, j'espère que le bruit n'a pas alerté inutilement les autres."
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Cdt. Suno
Respect diplomatique : 632 02/04/1016 ETU 19:59 |
Score : 2
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Suno sentait que cette tension l'avait grisée, bien qu'elle ne l'avouait pas. Toutefois sa réaction le surpris. Il s'adossa à la rambarde, les bras croisés, afin d'observer le combat. Oui, disons cela. Bien que là les gardes semblaient totalement dépassés. Etait-elle très forte ou bien avaient-ils un certain respect qui les retenait? Il le regarda d'un oeil de connaisseur. Effectivement si les passes d'escrime avaient une certaine grâce, il est vrai que le combat au corps à corps était plus brouillon, plus instinctif se dit-il, mais il gardera cette remarque pour lui. L'échange se termina et l ne put s'empêcher de laisser échapper un petit rire lorsqu'elle se rhabila, presque avec nonchalance. Quel contraste entre ces deux moments. Il leva les mains et applaudit. Bravo. Bravissimo Mademoiselle. Quel tempéramment de feu. Non vraiment, je suis impressionné. Qui pourrait croire que se cache un tel potentiel en une personne aussi gracieuse que vous.. Toutes les femmes de votre civilisation sont-elles ainsi? Il s'écarta légèrement pour la laisser s'appuyer. Qu'importe si cela les a attiré, quel mal avez vous fait? Aucun. Il n'y a aucune raison qu'ils disent quoique ce soit. Il la regarda de nouveau et regarda ses Cynos qui revenaient vers eux. Attirés, eux, par l'affrontement, toutefois ils avaient loupé ce dernier. Pour ma part, je préfère les affrontements l'arme blanche ou bien au corps à corps. Les épées et les sabres sont, pour mo, les armes les plus nobles. Le poistolet laser à son utilité certes mais je trouve cela moins gracieux. A la limite les sabres lasers, cela forme un bon compromis. Les deux Cynos étaient arrivés devant lui, mirent leur main droite sur leur coeur et la gauche dans le dos et ils le saluèrent. Il se redressa et fit de même. En se redressant, il jeta un oeil à Alice. C'est une tradition, Mademoiselle. Après un combat improvisé, les pugilistes saluent ceux ayant observés leur combat. A la fois pour les remercier de leur attention mais également pour s'excuser de la gène que cela aurait pu occasionner. Il s'éloigna de la rambarde et descendit les marches, allant de l'autre côté, proche d'un arbre. Il mit sa main dessus, la fit courir sur son écorce puis se retourna, comme pour prendre la parole. Il décocha alors un coup de poing dans l'arbre et le transperça. Lorsque l'on sait canaliser l'excitation du combat, celle-ci peut s'avérer dévastatrice. le pendant négatif c'est qu'il est nécessaire de l'évacuer rapidement, sous peine de ne pouvoir contrôler ses réactions. Il retira le poing de l'arbre, un trou béant en son centre. Toutefois, Mademoiselle, je serais ravi un jour de pouvoir vous affronter à l'épée. Dans le cadre d'un échange cordial, bien entendu. Si nous pouvions trouver une salle à l'Assemblée, ce pourrait être une expérience intéressante, tout du moins pour moi. Qu'en dites vous? Il mit sa main sur le kiosque et s'intéressa aux arabesques qui le parcourait.
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Cdt. Jigen no masuta
Respect diplomatique : 28 02/04/1016 ETU 23:02 |
Score : 4
Détails
un être de métal approcha du groupe présent, il était impossible de savoir si c'était une armure, un cyborg ou un automate, tant le travail était bien exécuté. bien le bonjour, je suis Jigen no masuta, n'esse pas un bien beau lieu de rencontre ?
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