Cdt. Makarirus
Respect diplomatique : 1114 22/07/1015 ETU 21:02 |
Score : 8
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L'hologramme de l'Empereur apparut. Tribun des Confins, sachez que je ne souhaite aucunement faire de l'ingérence, mais maintenant que votre secteur est ouvert il est placé sous ma protection. Votre secteur est jeune, en proie à un conflit qui pourrait aboutir à une invasion extra sectorielle... N'en déplaise à la tête bien pensante de San Antonio, dont ses paroles n'ont aucune légitimité à mes yeux temps qu'il n'aura pas fait preuve d'un peu plus de retenue lorsqu'il s'adressera à d'autres dirigeants, mes forces sont en route et prendront pieds dans votre secteur. Ceci uniquement le temps que la situation soit stabilisée. Car quand j'entends les natifs de secteurs fermés, je rie jaune. Décidément ces jeunes nations vont devoir faire de beaucoup d'efforts pour obtenir un jour mon oreille. Vous ne connaissez rien à la guerre, nous avons là un fédéré visiblement prêt à tout qui possède peut être des alliés hors secteur, et vous espérez sincèrement voir les jeunes natifs victorieux? Vous me désespérez... Je n'ai de toute façon pas à obtenir votre accord et votre avis ne m'intéresse guère, seul le Tribun des Confins et ses paroles sont écoutées. Car encore une fois vous parlez sans savoir tous autant que vous êtes, car avec un minimum de connaissances vous saurez que si j'ai la réputation de Tyran de mille mondes, j'ai également celle du Défenseur des faibles... Apprenez à connaitre vos sujets avant d'en parler. Si vous souhaitez obtenir le respect des grandes nations qui vous dédaignent, mon respect, soyez en digne et méritez le, vous en êtes bien loin actuellement et n'avez rien à exiger! Tribun, je m'engage à punir le traître mais je souhaite également entendre ce qu'il a à dire. Dès ce conflit terminé, mes forces repartiront et rendront toutes planètes en leur possession, je ne garderai une ambassade seulement si vous le souhaitez. Je terminerai par répondre aux démocrates qui n'ont visiblement pas conscience des réalités... Oubliez votre idéologie, si vous croyez la voir arriver au pouvoir, vous êtes dans un doux rêve, auquel je me ferai une joie de mettre un terme. Ma patience a été plus que mise à l'épreuve sur ce sujet.
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Cdte. Nereis
Respect diplomatique : 721 22/07/1015 ETU 22:51 |
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Score : 5
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L'hologramme de Ioannis Xargos, chef de la diplomatie des Mondes de Chlorea, apparut dans l'Assemblée. L'homme grisonnant frôlait la soixantaine, et sa stature bien que légèrement vieillie laissait voir le passé d'un homme d'action. Son visage aimable promenait un regard intelligent et conciliant sur l'Assemblée. Commandante Valirea Severus, Tribun des Confins, je tiens à vous exprimer au nom des peuples de Chlorea notre désarroi et notre affliction face à cet acte terroriste qui vous a frappés, vous et vos conatifs. Je suis certain que vous et vos conatifs avez les moyens de parer aux attaques de cette classe, par les armes au cas où la diplomatie devait faire défaut à votre agresseur, le Commandant Koloa. Je vous mets toutefois en garde contre l'hypothèse du "Cheval de Troie" que je redoute par précaution, même si elle est peu probable. Je ne doute pas que l'intervention de l'Empereur est bienveillante. Ce qui m'inquiète, en revanche, c'est la facilité avec laquelle il choisit de balayer les craintes légitimes qui ont été exprimées ici par plusieurs commandants. Je reconnais que l'Empereur est pris dans l'étau d'une contradiction difficile à gérer: son rôle de défenseur versus les souhaits de non-intervention exprimés de toute part. Je n'ai pas d'avis tranché sur la question, et le gouvernement de Chlorea a choisi la neutralité concernant l'intervention de l'Empereur. S'il advenait que votre agresseur, le Commandant Koloa, vous mette cependant en péril, nous répondrons à toute sollicitation que vous nous adresserez. Nous comprenons votre position difficile et nous mesurons ce que vous avez brutalement perdu. Si je pouvais me permettre d'émettre une seule réserve concernant les mesures de rétorsion que vous prendrez légitimement, je vous suggèrerais d'écarter la menace brandie par votre agresseur sans toutefois l'éliminer. La peine de l'élimination, voyez-vous, est à nos yeux une abomination des temps archaïques. Je conclus en vous souhaitant, à vous et à vos conatifs, la bienvenue dans la vaste galaxie car une naissance difficile n'empêche pas un avenir serein. Nous vous souhaitons un avenir serein parmi nous.
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Cdt. Le Lézard
Respect diplomatique : 123 23/07/1015 ETU 00:04 |
Score : 3
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Hola, Hola, Hola, Il y a paix en dehors de votre secteur. Je pense, je l'affirme, j'en suis persuadé et convaincu, la paix dehors signifie la paix dedans, et vous n'avez qu'une seule crainte à avoir: ne pas avoir assez de ressources pour soutenir les possibilités d'un développement très, très rapide. Le terme de crainte est, vous l'avez compris, tout à fait inadapté à votre situation...excepté concernant ce petit voyou du XVII. Un mot donc sur cette faille de défense. Nous soutenons l'initiative des natifs du secteur XVII de se protéger à la fois des les ennemis de l'intérieur, qui privent le SXVII d'un développement légitime rapide, ainsi que des les visiteurs de l'extérieurs qui, je le sais, peuvent rapidement être vus comme des envahisseurs immodérés. Je vous ai proposé, Commandante Tribun, mon aide matérielle, et vous l'avez acceptée. Je sais que vous en ferez bon usage; vous pourrez toujours aisément me contacter. D'autre part, l'empereur a effectivement, de par son honnêteté, sa souveraineté et sa capacité à vous soutenir, un rôle à jouer qui sera influent, sinon déterminant, sur le cours de la guerre intestine du SXVII. J'estime enfin que le SXVII a, dans cette situation, tous les droits concernant une fermeture partielle du secteur.
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Cdt. San Antonio
Respect diplomatique : 387 23/07/1015 ETU 00:54 |
Score : 6
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Je suis réellement blasé par cet argumentaire rétrograde. Balayer nos critiques de la sorte, nous traiter d’incompétents, estimer que les natifs du Secteur 17 sont incapables de s'autogérer... Vous tenez un discours indigne de votre rang, Empereur Makarius. Vous riez jaune devant nos paroles ? Moi je ne ris pas. Je dois faire preuve de retenue ? Là je ris, et pas qu'un peu. Écoutez-vous et comparez vos paroles aux miennes. Là où je critique des actes, vous critiquez des personnalités. Vous arrivez en sauveur quand les natifs vous assurent qu'ils peuvent eux-même gérer le problème. Pourquoi penser qu'ils en sont incapables ? Quand votre civilisation était aussi jeune que les leurs, comptiez-vous sur autre chose que sur vos propres forces ? Vous infantilisez des peuples aussi valeureux que le vôtre, simplement plus jeunes. Vous êtes Empereur, c'est un fait. Tenez-vous prêt à intervenir si la situation dégénère. Mais laissez vos administrés faire leurs preuves, ne serait-ce que par respect. Parce qu'il vous est impossible d'exiger le respect quand vous n'en démontrez aucun. Vous ne faites que jouer de votre supériorité militaire et ne savez plus faire que cela. Il est temps que vous écoutiez et lâchiez du leste. Ça vous tuerait vraiment de ne pas intervenir immédiatement ? Maintenant, si vous me répondez encore que je vous manque de respect, je vous promets que ma prochaine allocution sera agrémentée de toutes les joyeusetés irrespectueuses que comporte mon vocabulaire étoffé. Ça sera fabuleux : enterrée l'arme ADM, surdité et cécité assurées pour tout le public.
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Cdt. Winston Badwind
Respect diplomatique : 128 23/07/1015 ETU 01:39 |
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Score : 7
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Et bien je constate que vous persévérez non seulement dans l’ingérence mais aussi dans le mépris Herr Kaiser ! Je suis désolé de devoir vous faire quelques leçons de politique élémentaire mais vos assertions grotesques m’y obligent et vos mensonges pourraient être gobés par certains commandants trop naïfs. Comment appelle-t-on une intervention non désirée par autrui? Il me semble qu’il existe un mot ; Ingérence. Voici donc votre programme : prendre pied dans un secteur nouveau qui ne vous y a pas invité, qui s’est déclaré en mesure de résoudre par lui-même la crise qu’il traverse. Je rappelle ici les propos que Valirea vous a adressé tout à l’heure : « Des unités de combat étrangères ne sont pas nécessaires, seules des ressources le sont pour l'heure. » Personne n’a fait appel à vous, personne n’a envie de vous voir jouer le chevalier blanc. On les connait trop bien ces « sauveurs interventionnistes » qui ne sont que la chaste couverture masquant le visage hideux de l’impérialisme. Quel est donc ce saint devoir moral qui vous saisit compulsivement ? Protéger ces « faibles » que vous ne cessez de mépriser d’une intervention à l’autre ? Vous n’êtes pas crédible. Vous êtes d’autant moins crédible que vous aviez de votre propre aveu, envoyé des troupes avant même de connaitre la situation du XVIIème … Croyez-vous que les jeunes commandants sont un cheptel bêlant de moutons apeurés dont vous serez le berger ? Croyez-vous qu’ils soient incompétents et n’ont pas l’expérience de la guerre ? Croyez-vous qu’ils sont impuissants ? La vérité est surtout qu’il sont nés après vous. Quelle fierté en retirer ? De quelle gloire se pavaner ? Les commandants des secteurs fermés sont tout aussi légitimes que vous dans leur droit à exister et à tracer eux-même leur chemin. Votre respect Monseigneur, celui que vous n’accordez qu’au compte-goutte aux plus méritants (comprendre, ceux qui ont fait acte de soumission) et bien gardez-le ! Vous n’êtes pas digne du mien lorsque vous tenez de tels propos. Votre mépris vous retombera dessus commandant; vous régnez par la peur, vous êtes conseillé par la servilité et vous êtes inspiré par la suffisance, autant de serviteurs friables et menteurs qui vont conduiront dans les abysses, car viendra le moment où les peuples vous rejetteront comme un organisme rejette les bactéries qui le rongent.
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Cdte. Lucy 6.9
Respect diplomatique : 585 23/07/1015 ETU 02:33 |
Score : 4
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Le débat est d'une intensité politique étonnante... Étonnante car il néglige l'intérêt du secteur XVII. Cet intérêt est d'abord stratégique. Donc quelques données non partisanes mais militaires : L'Empereur ne peut pas rappeler ses flottes, d'une part, en cours de route. Une fois sur place serait-il avisé de les faire repartir aussitôt ? Le danger d'une tentative de prise de contrôle du secteur par un suicidaire, s'il est négligeable car très peu probable, existe cependant. Des invasions, un barrage HA, c'est vite fait. Envoyer des secours une fois le danger avéré, ça prendrait deux cycles minimum, trois pour sortir du système 0. Un transfert et des livraisons demanderaient la présence d'une sonde, même délai si elle n'est pas sur place ou détruite par surprise. Délai pouvant être fatal ! Enfin les suicidaires, ça existe, sinon comment comprendre l’action du Commandant Koloa ? Peut-être a-t-il un allié externe tout aussi déterminé... Objectivement il y a un risque, minime politiquement (qui serait assez fou ? Et quel intérêt ?), réel militairement. La logique recommande donc à notre avis la présence de la flotte de l’Empire, ou du gouvernement. D'un point de vue militaire, et protection, qui passe quand même bien avant la politique et ses oppositions, à notre avis, pour les Commandants concernés notamment, puisque leur survie peut, éventuellement, sans cela, être en jeu. Un débat plus serein... hmm non sans doute pas... plus réaliste disons, serait ensuite possible sur le maintien de cette force, ou son retrait, et d’une façon générale sur la protection des secteurs ne comportant pas de Commandants de taille à parer à une telle éventualité, toujours possible... Des propositions de protection, réalistes, comme celles de l’Empereur, du Président Le Lézard, et du Seigneur Inimicus, et l’initiative de débats sur l’ouverture des secteurs, comme je l’ai fait, sont sans doute plus dans l’intérêt réel des Commandants des secteurs fermés, que ces débats et ces tentatives d’influence, purement politiques, aussi appréciables soient-ils.
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Cdt. San Antonio
Respect diplomatique : 387 23/07/1015 ETU 10:52 |
Score : 7
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Cdte. Lucy, nous connaissons les réalités militaires et savons pertinemment que les flottes envoyées ne peuvent être rappelées en cours de route. Nous savons également que le risque zéro n'existe pas, sur tout lors d'un conflit. Mais toute la magie de la politique réside dans sa capacité à trouver des compromis. Le juste milieu entre votre interventionnisme et notre envie d'autonomie serait que la flotte impériale stationne en système 0, le temps du conflit. Qu'elle y éradique les flottes de Kaolo si l'inaction lui pèse et se tienne prête à intervenir plus profondément si demande lui en est faite, mais laisse les natifs se battre s'ils en éprouvent l'envie et en ont la capacité. Parce que les risques de barrage HA sont minimes. C'est à peine si les bombardiers ioniques commence à se généraliser en Secteur 17. Que l'Empereur se fixe une nouvelle priorité. Plutôt que de châtier une civilisation que les natifs veulent se réserver, qu'il s'assure à tout prix qu'aucune flotte extérieure ne puisse intervenir. Un réponse mesurée, en adéquation avec nos revendications et les besoins des natifs de la zone de guerre. C'est ce que nous demandons.
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Cdte. Valirea Severus
Respect diplomatique : 89 23/07/1015 ETU 10:56 |
Score : 7
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Un soupir. Pas de lassitude, ni d'agacement. Un simple soupir, comme lorsqu'on s'assoit dans son fauteuil préféré après une dure journée à enguirlander les chercheurs. Valirea se penche vers l'holocom, un mince sourire aux lèvres. - Commandantes et commandants, entités respectables et humanoïdes en tous genres, dit-elle d'une voix douce, je vous en prie, cessez là vos altercations. Elles sont inutiles et donnent une image tout à fait faussée, j'en suis sûre, de la paix qui, selon vos dires, règne dans Décadence. Puisque c'est moi qui ai lancé ce sujet et ai fait appel à vos bonnes volontés, j'estime que cela fait trop longtemps que je n'ai pas pris la parole. Et cela tombe bien, puisque j'ai plusieurs points à éclaircir. D'abord, le cas des commandants des secteurs encore fermés, notamment messieurs San Antonio et Winston Badwind. Comme vous le savez, nos deux secteurs sont en étroits contacts, et ce depuis ma nomination en tant que Tribun des Confins. Ces deux hommes ont toute ma confiance et mon amitié. Votre Majesté, quiconque souhaite apporter son soutien au secteur 17 doit avoir votre écoute, que ses opinions politiques vous déplaisent ou non. Si vous avez à coeur la protection de ce secteur, vous aurez à coeur de travailler avec ses autres protecteurs. Ce qui m'amène au deuxième point. Empereur, je ne peux donc plus vous empêcher d'arriver en secteur 17. Croyez bien qu'après vous avoir entendu dire que seules mes paroles seront écoutées, et qu'après avoir clairement signifié à tous que des unités extérieures ne seraient pas les bienvenues, cet acte délibéré de votre part rajoute un souci de plus aux commandants du secteur 17. Que vont-ils penser de cette arrivée massive ? Et que vont-ils penser de moi, leur Tribun et représentante, qui n'ait été capable de vous faire comprendre uniquement que notre secteur était enfin ouvert aux opportunistes ? Mais je garde en tête votre parole de de rester que le temps de la crise et de ne garder aucun avant-poste sans notre accord. Cette parole ne sera pas oubliée. Et c'est par là que j'en arrive à mon troisième point. La crise que nous subissons aujourd'hui n'en sera bientôt plus une. Nouveau sourire, un peu plus prononcé, cette fois. - Je ne saurai jamais comment remercier ceux qui nous ont aidés. Ce soutien a réveillé les ardeurs guerrières de nos Fédérés, et motivé de façon surnaturelle les chercheurs de nos membres de la Guilde. Je ne sais quand l'arrivée de Votre Majesté est prévue, mais il est plus que probable que vous n'ayez aucun besoin d'établir un avant-poste chez nous. Puisque de toute façon, je ne peux vous empêcher d'arriver, je garde en tête votre parole que vous ne resterez que le temps de la crise. Mais comme je l'ai dit, la crise est bientôt terminée, et j'espère simplement que vos hommes auront tout de même le temps de prendre une rafraîchissement avant de repartir chez eux. Nous le leur offrirons de bon coeur. J'en arrive à mon quatrième et dernier point. Monsieur de Chlorea, merci pour votre soutien. J'aimerais, comme vous, que cette menace soit simplement écartée, mais pour tout vous dire, le comportement actuel de notre cible est incompréhensible pour nos états-major. Ses planètes sont au fur et à mesure vendues à mon confrère de la Guilde, et il n'en possède plus que quatre à l'heure où je vous parle. J'ignore son but, et ses agissements nous rendent tous perplexes. Les mots "fou" et "idiot" ont été prononcés. Croyez-vous que nous devions laisser une telle créature, folle et dénuée de sens, en liberté, lui accorder grâce en échange de bonne conduite, et risquer de voir à nouveau des mondes perturbés, vendus, échangés, colonisés puis abandonnés ? Que se passera-t-il si, animé par je ne sais quelle illusion, il tente la même chose dans d'autres secteurs ? Le laisseriez-vous faire ? Non, ce n'est pas ma philosophie. Cette tique doit être arrachée du dos de notre secteur, pour éviter qu'elle ne ponde ses oeufs ailleurs. Et nous avons justement les pinces adéquates...
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Cdt. Makarirus
Respect diplomatique : 1114 23/07/1015 ETU 18:51 |
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Score : 5
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San Antonio, il y a compromis lorsqu'il y a négociation. Hors aucune négociation n'est en cours avec vous. Cessez de vous donner l'importance que vous n'avez pas. Vous n'êtes qu'un nuisible planqué au fin fond d'un secteur fermé. Vous êtes ce que le peuple appelle, "une grande gueule" mais vous n'êtes rien de plus! Je vous reconnais une habilité à user des mots mais malheureusement pour vous, cette habilité ne sert à rien contre l'Empire. D'autres avant vous, et ce bien avant que j'accède au pouvoir, ont tenté de me parler comme vous le faites, ont tenté d'être à une place qui n'était pas la leur, ont tenté tout simplement de salir l'Empire. Les grandes et anciennes nations se souviennent qu'ils ont fini en salade d'Ananas... Vous manquez cruellement de connaissance et de savoir. Et quand bien même vous sauriez parler, cela ne fait pas de vous un sage, car un tel individu sait que s'opposer frontalement à un puissant peut être mortel... Le Seigneur Inimicus, avec qui nos relations ont été tendues au départ, est aujourd'hui le commandant à qui j'accorde le plus de crédit. Pourtant, il arrive régulièrement que nous soyons en désaccord, mais il a su gagner mon respect car il est réfléchi et respectueux contrairement à vous! Oui je vous dénigre, oui vous ne représentez rien aux yeux de l'Empire, et ne croyez pas que votre récente nomination ministérielle y changera quoique ce soit. Au moindre faux pas ou à la moindre parole anti impériale, je vous éjecterai de ce gouvernement! Quant à votre menace, c'est la dernière que j'accepterai et je vous en fait une en retour. Adressez vous encore une seule fois à moi sur ce ton, ou dénigrez encore une seule fois les partisans de l'Empire, et je jure qu'à la seconde qui suivra l'ouverture de votre secteur, je vous écraserai comme un insecte! Cela est également valable pour votre ami démocrate au sourire complaisant, qui n'est qu'un lâche bien planqué parlant sous la protection d'un secteur fermé. J'espère m'être bien fait comprendre cette fois ci. Tribun, je suis navré de voir que vous préférez le soutien de commandants qui rien qu'en étant proches de vous, pourraient vous éloigner de mon amitié... cela étant dit, sachez que si votre rôle est de représenter la volonté des secteurs fermés, le mien est de garantir la paix et de prémunir tout déclenchement de conflits importants. Ne voyez donc pas en mal, l'arrivée de la flotte impériale. Si mon intervention s'avère inutile tant mieux, mais je préfère ne pas prendre de risque, aussi infime soit il. Car votre ami se ridiculise en disant que le ionnique commence à peine à se généraliser chez lui, ici dans l'Empire de Décadence, l'Hyper Atomique se généralise, encore un manque cruel de connaissances du terrain et du sujet traité... Je me tiendrai à mes paroles, et ne serai chez vous uniquement le temps de ce conflit, sauf si vous faisiez une demande contraire une fois la menace écartée.
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Cdt. San Antonio
Respect diplomatique : 387 23/07/1015 ETU 19:03 |
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Score : 7
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Votre Altesse, je ne peux que m'incliner devant pareil discours et m'empresser de retourner à mes occupations de Ministre où, je l'espère, je vous donnerai entière satisfaction.
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